Noms des plantes en grec ancien : Différence entre versions

De PlantUse Français
Aller à : navigation, rechercher
(Références spéciales)
Ligne 30 : Ligne 30 :
 
*Egetmeyer, Markus, 2010. ''Le dialecte grec ancien de Chypre: Tome I: Grammaire. Tome II: Répertoire des inscriptions en syllabaire chypro-grec''. Walter de Gruyter. 1065 p. sur GoogleBooks : [https://books.google.fr/books?id=YJOayqdpqOgC&printsec=frontcover&dq=dialecte+grec+ancien+de+Chypre&hl=fr&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q=dialecte%20grec%20ancien%20de%20Chypre&f=false tome 1], [https://books.google.fr/books?id=ltgOkAEACAAJ&dq=dialecte+grec+ancien+de+Chypre&hl=fr&sa=X&redir_esc=y tome 2].
 
*Egetmeyer, Markus, 2010. ''Le dialecte grec ancien de Chypre: Tome I: Grammaire. Tome II: Répertoire des inscriptions en syllabaire chypro-grec''. Walter de Gruyter. 1065 p. sur GoogleBooks : [https://books.google.fr/books?id=YJOayqdpqOgC&printsec=frontcover&dq=dialecte+grec+ancien+de+Chypre&hl=fr&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q=dialecte%20grec%20ancien%20de%20Chypre&f=false tome 1], [https://books.google.fr/books?id=ltgOkAEACAAJ&dq=dialecte+grec+ancien+de+Chypre&hl=fr&sa=X&redir_esc=y tome 2].
 
*Hemmerdinger, Bertrand, 1970. De la méconnaissance de quelques étymologies grecques. ''Glotta'', '''48'''(1-2): 40-66.
 
*Hemmerdinger, Bertrand, 1970. De la méconnaissance de quelques étymologies grecques. ''Glotta'', '''48'''(1-2): 40-66.
 +
*Irby, Georgia L., 2019. ''A Companion to Science, Technology, and Medicine in Ancient Greece and Rome, 2 Volume Set''. John Wiley & Sons. 1096 p.synhtèse de la botanique antique.
 
*Liddell, Henry Georges & Scott, Robert, 1983. ''A Greek-English Lexicon''. Revised and augmented throughout by Henry Stuart Jones. With a supplement 1968, edited by E.A. Barber. Oxford, Clarendon Press. XLVI-2042 p. Suppl. : XI-153 p. ed. 1: 1843. ed. 9 revue par Henry Stuart Jones: 1940. Les modifications ultérieures font l'objet du supplément de 1968. Noms botaniques fournis ou révisés par William Thiselton-Dyer et Arthur Hort. Ce dictionnaire est la référence des spécialistes ; il est plus complet et plus précis que le Bailly, et il donne les noms scientifiques des plantes et des animaux, ce que ne fait pas Bailly. Mais les noms de Hort s'appuient sur les identifications proposées par Sprengel et Fraas au XIXe siècle, qui sont souvent hasardeuses. en ligne sur le [http://stephanus.tlg.uci.edu/lsj/#eid=1&context=lsj Thesaurus Linguae Graecae], mais il faut entrer les noms en caractères grecs.
 
*Liddell, Henry Georges & Scott, Robert, 1983. ''A Greek-English Lexicon''. Revised and augmented throughout by Henry Stuart Jones. With a supplement 1968, edited by E.A. Barber. Oxford, Clarendon Press. XLVI-2042 p. Suppl. : XI-153 p. ed. 1: 1843. ed. 9 revue par Henry Stuart Jones: 1940. Les modifications ultérieures font l'objet du supplément de 1968. Noms botaniques fournis ou révisés par William Thiselton-Dyer et Arthur Hort. Ce dictionnaire est la référence des spécialistes ; il est plus complet et plus précis que le Bailly, et il donne les noms scientifiques des plantes et des animaux, ce que ne fait pas Bailly. Mais les noms de Hort s'appuient sur les identifications proposées par Sprengel et Fraas au XIXe siècle, qui sont souvent hasardeuses. en ligne sur le [http://stephanus.tlg.uci.edu/lsj/#eid=1&context=lsj Thesaurus Linguae Graecae], mais il faut entrer les noms en caractères grecs.
  
Ligne 98 : Ligne 99 :
 
*Fellner, S., 1897. ''Die homerische Flora''. Wien, Hölder.
 
*Fellner, S., 1897. ''Die homerische Flora''. Wien, Hölder.
 
*Fohalle, R., 1930. Noms d'animaux et noms de plantes en grec ancien. ''Serta Leodiensia'', '''44''' : 141-157.
 
*Fohalle, R., 1930. Noms d'animaux et noms de plantes en grec ancien. ''Serta Leodiensia'', '''44''' : 141-157.
*Forster E., 1936. Trees and plants in Homer. ''Classical Review'', 50 : 97-104. [https://books.google.fr/books?id=x2i-tAEACAAJ&dq=Trees+and+plants+in+Homer&hl=fr&sa=X&redir_esc=y GoogleBooks].
+
*Forster E., 1936. Trees and plants in Homer. ''Classical Review'', 50 : 97-104. [https://books.google.fr/books?id=x2i-tAEACAAJ&dq=Trees+and+plants+in+Homer&hl=fr&sa=X&redir_esc=y GoogleBooks]. Homère aurait nommé 50 plantes.
*Forster E., 1942. Trees and plants in Herodotus. ''Classical Review'', 56 : 57-63.
+
*Forster E., 1942. Trees and plants in Herodotus. ''Classical Review'', 56 : 57-63. Hérodote aurait nommé 60 plantes.
 
*Forster E., 1952. Trees and plants in the Greek tragic Writers. ''Greece and Rome'', 21 : 57-63.
 
*Forster E., 1952. Trees and plants in the Greek tragic Writers. ''Greece and Rome'', 21 : 57-63.
 
*Fournet, Jean-Luc, 1989. Les emprunts du grec à l’égyptien. ''Bulletin de la Société de Linguistique de Paris'', Peeters Publishers, LXXXIV (1) : 55-80. [https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00001023/document HAL].
 
*Fournet, Jean-Luc, 1989. Les emprunts du grec à l’égyptien. ''Bulletin de la Société de Linguistique de Paris'', Peeters Publishers, LXXXIV (1) : 55-80. [https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00001023/document HAL].
Ligne 123 : Ligne 124 :
 
*Stadler, 1913. ''Helleboros''. ''Realencyclopädie der classischen Altertumswissenschaft (RE)'', '''8''' (1) : 163-170.
 
*Stadler, 1913. ''Helleboros''. ''Realencyclopädie der classischen Altertumswissenschaft (RE)'', '''8''' (1) : 163-170.
 
*Strömberg, R., 1940. ''Griechische Pflanzennamen''. Goteborg.
 
*Strömberg, R., 1940. ''Griechische Pflanzennamen''. Goteborg.
 +
*Théocrite a nommé 87 plantes.
 
*Thomson, Margaret H., 1955. ''Textes grecs inédits relatifs aux plantes''. Paris, les Belles Lettres. 179 p. L'auteur publie divers manuscrits byzantins du XIIe au XVIe siècle.
 
*Thomson, Margaret H., 1955. ''Textes grecs inédits relatifs aux plantes''. Paris, les Belles Lettres. 179 p. L'auteur publie divers manuscrits byzantins du XIIe au XVIe siècle.
 
*Thomson, Margaret H., 1960. ''Le jardin symbolique. Texte grec tiré du Clarkianus XI''. Paris, les Belles Lettres. 99 p.
 
*Thomson, Margaret H., 1960. ''Le jardin symbolique. Texte grec tiré du Clarkianus XI''. Paris, les Belles Lettres. 99 p.

Version du 9 novembre 2021 à 13:32

Introduction

Comme pour toute langue, l'étude des noms de plantes en grec ancien a un intérêt intrinsèque tant du point de vue de l'histoire des sciences que de la linguistique. Mais le grec joue un rôle unique du fait que, dans l'empire Romain, il est devenu la langue par excellence de la médecine et des sciences en général, y compris à Rome. On a ainsi assisté à un transfert massif du grec au latin de mots désignant des concepts scientifiques, des objets techniques ou des êtres vivants. Ces mots sont restés dans le latin du Moyen-Age et de la Renaissance, et les scientifiques ont pris l'habitude d'emprunter de nouveaux mots tant au grec qu'au latin. Cette tradition a perduré jusqu'à aujourd'hui dans les langues modernes.

Quiconque s'intéresse à l'étymologie des noms de plantes arrive ainsi souvent à un étymon grec. Il est d'ailleurs de tradition chez les botanistes de mentionner l'étymologie des noms scientifiques qu'ils utilisent. L'étymologie aide certes à mémoriser les nombreux noms scientifiques nécessaires aux botanistes. Mais ces derniers ont une fâcheuse tendance à ne consulter pour cela que les ouvrages de leurs prédécesseurs botanistes, et reproduisent ainsi à l'infini bien des erreurs.

"Le recensement de toutes ces citations [de noms de plantes dans la litterature grecque] serait une entreprise considérable qui n'a d'ailleurs jamais été tentée. L'abondance des références botaniques dans certains ouvrages a toutefois conduit quelques spécialistes à effectuer des inventaires complets des plantes qui y sont mentionnées. C'est ainsi qu'ont été publiées des Flores d'Homère, d'Hérodote ou de Théocrite ou encore de simples Index de noms de plantes relevés dans une œuvre particulière. Malheureusement, leurs auteurs sont loin d'être toujours parvenus à identifier correctement les plantes qu'ils avaient soigneusement dénombrées et le nombre de textes qui ont fait l'objet de tels inventaires demeure fort modeste à ce jour." (Ducourthial, 2003, p. 17-18)

A cela il faut ajouter que les versions imprimées des textes concernés ne comportent habituellement pas d'index des noms de plantes, quand leur orientation principale n'est pas botanique.

Les auteurs et leur influence

Trois auteurs grecs ont eu une profonde influence sur l'émergence de la botanique et les noms des plantes, Théophraste, Dioscoride et Galien.

Le plus important est Dioscoride, qui cite environ 1500 plantes. Le livre écrit par Dioscoride (Ier siècle après JC.), connu sous les noms de De Materia Medica ou Peri hulês iatrikês, a eu une profonde influence, étant recopié et modifié, pendant tout le Moyen-Age, commenté et interprété à la Renaissance, utilisé et cité jusqu'à l'époque contemporaine, et pris comme modèle par plusieurs auteurs. De nombreux manuscrits sont connus en grec, latin, arabe et persan (les manuscrits syriaques semblent perdus).

Quant à Théophraste, il cite environ 500 plantes. Bien que cité par Pline l'Ancien, son œuvre a été inconnue de tout le Moyen-Age, et peu de manuscrits ont survécu. Il n'a commencé à être connu que par sa traduction latine par Gaza (vers 1450), imprimée en 1483, le texte grec étant imprimé en 1497. On a alors découvert qu'il avait élaboré une véritable vision scientifique de la botanique, alors que Dioscoride se concentrait sur la matière médicale. Voir les Noms grecs de Théophraste sur Pl@ntUse.

Par contre, Galien, avec son œuvre De Simplicibus, composée vers 180 après JC., allait fonder tout un courant de la médecine du Moyen-Age, appelée galénique en Occident, Iunani par les Arabes, et Unani en Inde. Galien cite souvent Dioscoride.

Dioscoride et Galien ont également été largement à la base de la médecine arabe, et leur influence s'est étendue jusqu'à l'Inde.

Les noms grecs sur Pl@ntUse

Références générales

  • Bailly Anatole, 1950. Dictionnaire grec-français. Edition revue par L. Séchan et P. Chantraine. Paris, Hachette. XXXII-2200 p.
  • Chantraine Pierre, 1968-1980. Dictionnaire étymologique de la langue grecque. Histoire des mots. Paris, Klincksieck. 2 vol, 28 cm, XVIII-1368 p. en ligne sur archive.org.
  • Egetmeyer, Markus, 2010. Le dialecte grec ancien de Chypre: Tome I: Grammaire. Tome II: Répertoire des inscriptions en syllabaire chypro-grec. Walter de Gruyter. 1065 p. sur GoogleBooks : tome 1, tome 2.
  • Hemmerdinger, Bertrand, 1970. De la méconnaissance de quelques étymologies grecques. Glotta, 48(1-2): 40-66.
  • Irby, Georgia L., 2019. A Companion to Science, Technology, and Medicine in Ancient Greece and Rome, 2 Volume Set. John Wiley & Sons. 1096 p.synhtèse de la botanique antique.
  • Liddell, Henry Georges & Scott, Robert, 1983. A Greek-English Lexicon. Revised and augmented throughout by Henry Stuart Jones. With a supplement 1968, edited by E.A. Barber. Oxford, Clarendon Press. XLVI-2042 p. Suppl. : XI-153 p. ed. 1: 1843. ed. 9 revue par Henry Stuart Jones: 1940. Les modifications ultérieures font l'objet du supplément de 1968. Noms botaniques fournis ou révisés par William Thiselton-Dyer et Arthur Hort. Ce dictionnaire est la référence des spécialistes ; il est plus complet et plus précis que le Bailly, et il donne les noms scientifiques des plantes et des animaux, ce que ne fait pas Bailly. Mais les noms de Hort s'appuient sur les identifications proposées par Sprengel et Fraas au XIXe siècle, qui sont souvent hasardeuses. en ligne sur le Thesaurus Linguae Graecae, mais il faut entrer les noms en caractères grecs.

Références spéciales

  • Amigues, Suzanne, ?. De la toupie aux pignons.
  • Amigues, Suzanne, ?. La signature des plantes, source de croyances ou de savoir dans l'antiquité gréco-romaine ? Etudes, p. 149-159.
  • Amigues, Suzanne, 1983. Sur l'arbre sinistre de Théophraste et de Pline. Journal des Savants, 33-43.
  • Amigues, Suzanne, 1986. Sur le perséa d'Egypte. in Hommages à F. Daumas. Montpellier. 25-31.
  • Amigues, Suzanne, 1994. Une famille d’assassins : les akoniton. Nomina rerum : hommage à Jacqueline Manessy-Guitton, textes réunis par Ch. Kircher-Durand, composés et mis en page par D. Pastor-Lloret, Nice, 1994, p. 11-33 (Centre de recherches comparatives sur les langues de la Méditerranée ancienne, 13).
  • Amigues, Suzanne, 1995. Des plantes nommées moly. Journal des Savants : 3-29. (= Etudes, 429-445).
  • Amigues, Suzanne, 1999. Note sur l’ « ellébore blanc » de Dioscoride, IV, 148. Revue de Philologie, 73 (1) : 7-13.
  • Amigues, Suzanne, 2002. Études de botanique antique, Paris, Institut de France (Mémoires de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 25). Préface de Pierre Quézel. 501 p., nombr. fig. coul.
  • Amigues, Suzanne, 2002-2003. Végétaux étranges ou remarquables du Maroc antique d'après Strabon et Pline l'Ancien. Antiquités africaines, 38-39 : 39-54.
  • Amigues, Suzanne, 2004. Les plantes du ramassage dans l'alimentation gréco-romaine. Pallas, 64 : 169-182.
  • Amigues, Suzanne, 2004. Du jujubier des Lotophages à l'arbre sacré du Temple d'Or. Mélanges Arion Roşu. Bucarest - Paris. 51-68. décrit les différents lôtos.
  • Amigues, Suzanne, 2008. Remèdes et poisons végétaux transmis à l’homme par l’animal. In: Le médecin initié par l'animal. Animaux et médecine dans l'Antiquité grecque et latine. Actes du colloque international tenu à la Maison de l'Orient et de la Méditerranée-Jean Pouilloux, les 26 et 27 octobre 2006. Lyon : Maison de l'Orient et de la Méditerranée Jean Pouilloux, pp. 97-107. (Collection de la Maison de l'Orient méditerranéen ancien. Série littéraire et philosophique) en ligne sur Persée
  • André, Jacques, 1958. Notes de lexicographie botanique grecque. Paris, Honoré Champion. 76 p. Recense les noms grecs présents dans les auteurs latins et non mentionnés par Liddell-Scott.
  • Basmadjian, K. J., 1938. L'identification des noms de plantes du Codex Constantinopolitanus de Dioscoride. Journal Asiatique, 30 : 577-621.
  • Baum, Nathalie, 2005. S. Amigues, Études de botanique antique, 2002. Topoi, 12-13 : 2 : 415-428. Persée à consulter pour la biblio.
  • Blasquez, F., 1998. La ciguë dans l'Antiquité gréco-romaine : la plante, ses utilisations, son image dans le monde antique, avec un regard sur les époques postérieures. Université Aix-Marseille I. Thèse.
  • Bourguignon, Alexandra, 2012. Les emprunts sémitiques en grec ancien. Étude méthodologique et exemples mycéniens. Bruxelles, thèse Université libre. 310 p.
  • Carnoy Albert, 1956. Notes d'étymologie grecque. Revue des Études Grecques, 69 (326-328): 279-289. DOI : 10.3406/reg.1956.3452 en ligne sur Persée
  • Carnoy Albert, 1958. Noms grecs de plantes d'origine pré-hellénique. L'antiquité classique, 27(2) : 305-327. en ligne sur Persée
  • Carnoy Albert, 1959. Dictionnaire étymologique des noms grecs des plantes. Louvain, Publications universitaires.
  • Carnoy Albert, 1960. Les suffixes toponymiques pré-grecs. L'antiquité classique, 29(2) : 319-336. DOI : 10.3406/antiq.1960.3481 en ligne sur Persée
  • Casevitz Michel, 1993. Sur les « mots voyageurs » de l'Inde jusqu'en Grèce. Topoi, 3/2 : 401-406. doi : 10.3406/topoi.1993.1477 et en ligne sur Persée
  • Chantraine, Pierre, 1933. La formation des noms en grec ancien. Paris.
  • Dawkins, R. M., 1936. The semantics of Greek names for plants. The Journal of Hellenic Studies, 56 (1) : 1-11. doi : 10.2307/626030 compare grec ancien et moderne.
  • Delatte, A., 1927. Anecdota Atheniensia. Textes grecs inédits relatifs à l'histoire des religions. sur Internet Archive
  • Delatte, A., 1939. Anecdota Atheniensia et alia. Liège. tome II. 504 p. : contient, pp. 273-454, l'édition de quinze glossaires de botanique.
  • Fée, Antoine L. A., 1821. Les plantes d'Homère. in Eloge de Pline le naturaliste: lu à la Société de pharmacie, dans sa séance du 15 mars 1821. notes, pp. 19-21. Paris, de Dondey-Dupré. 33 p. sur GoogleBooks.
  • Fée, Antoine L. A., 1832. Flore de Théocrite et des autres bucoliques grecs. Paris, Didot. XVI-118 p. reprint Vaduz, Sändig, 1873. sur Gallica.
  • Fellner, S., 1897. Die homerische Flora. Wien, Hölder.
  • Fohalle, R., 1930. Noms d'animaux et noms de plantes en grec ancien. Serta Leodiensia, 44 : 141-157.
  • Forster E., 1936. Trees and plants in Homer. Classical Review, 50 : 97-104. GoogleBooks. Homère aurait nommé 50 plantes.
  • Forster E., 1942. Trees and plants in Herodotus. Classical Review, 56 : 57-63. Hérodote aurait nommé 60 plantes.
  • Forster E., 1952. Trees and plants in the Greek tragic Writers. Greece and Rome, 21 : 57-63.
  • Fournet, Jean-Luc, 1989. Les emprunts du grec à l’égyptien. Bulletin de la Société de Linguistique de Paris, Peeters Publishers, LXXXIV (1) : 55-80. HAL.
  • Girard, M.-C., 1986. Connaissance et méconnaissance de l'hellébore dans l'Antiquité. Québec, Université Laval (Etudes, 3).
  • Girard, M.-C., 1990. L’hellébore, panacée ou placebo ? in P. Potter, G. Maloney, J. Desautels, La maladie et les maladies dans la collection hippocratique. Actes du VIe colloque international hippocratique (Québec, 28 septembre - 3 octobre 1987), Québec, Éditions du Sphinx. p. 393-405.
  • Hemmerdinger, R., 1968. Noms communs grecs d'origine égyptienne. Glotta, 46 : 245.
  • Jeanselme, E., 1930. Sur un Aide-Mémoire de Thérapeutique byzantin contenu dans un manuscrit de la Bibliothèque Nationale de Paris (Supplé. grec 764). Traduction, Notes et Commentaires. in Mélanges Charles Diehl, tome 1 : 147-170. Paris.
  • Kanngiesser, Friedrich, 1910-12. Die Flora der Herodot. Leipzig, E.C.W. Vogel.
  • Kühn & Fleischer. Index hippocraticus.
  • Lefranc, E., 1867. Sur les plantes connues des Grecs sous les noms de chaméléon noir et chaméléon blanc (Atractylis gummifera - Cardopatium orientale et C. boryi sp.). Bull. Soc. Bot. de France, 14 : 48-55.
  • Luccioni, Pascal, 2008. Asclepios montagnard. (re-) Cueillir la montagne, Oct 2008, Saint-Etienne. 211-225. Hal
  • Luce, J.-M., 2000. De l’ers ou du bonheur chez les bœufs. Pallas, 52 : 109-114.
  • Manessy-Guitton Jacqueline, 2008. Sur trois noms à suffixe -sc- : uerbascum, Crespuscus et coruscus. In: Des formes et des mots chez les Anciens. Besançon, Institut des Sciences et Techniques de l'Antiquité. pp. 133-142. (Collection « ISTA », 1120) [en ligne sur Persée
  • Masson, Emilia, 1967. Recherches sur les plus anciens emprunts sémitiques en grec. Paris, Klincksieck (Etudes et commentaires, 67). 127 p.
  • Masson, Michel, 2013. Du sémitique en grec. Paris, alfAbarre. 340 p.
  • Moisan, M., 1990. Lexique du vocabulaire botanique d'Hippocrate. Laval (Canada), Université de laval, Laboratoire de recherches hippocratiques.
  • Robert, L., 1961. Lettres byzantines. Journal des Savants, 135-137. (usages du gattilier)
  • Skoda, Françoise, 1993. Principes de formation du vocabulaire botanique grec, illustrations et hypothèses. Actes du colloque international, Les phytonymes grecs et latins, Nice, mai 1992, Nice, L.A.M.A. n°12 : 271-283.
  • Skoda, Françoise, 1983. Le redoublement expressif: un universal linguistique : analyse du procédé en grec ancien et en d'autres langues. Volume 15, Numéro spécial, Société d'Études Linguistiques et Anthropologiques de France, Peeters Publishers, 269 p.
  • Skoda, Françoise, page institutionnelle
  • Skoda, Françoise, 1994. Les noms grecs de la serpentaire. Mélanges offerts à J. Manessy, Nomina rerum, Nice, 373-381.
  • Skoda, Françoise, 2001. Galien lexicologue. In: Dieux, héros et médecins grecs. Hommage à Fernand Robert. Besançon, Institut des Sciences et Techniques de l'Antiquité. pp. 177-196. (Collection « ISTA », 790) en ligne sur Persée
  • Stadler, 1913. Helleboros. Realencyclopädie der classischen Altertumswissenschaft (RE), 8 (1) : 163-170.
  • Strömberg, R., 1940. Griechische Pflanzennamen. Goteborg.
  • Théocrite a nommé 87 plantes.
  • Thomson, Margaret H., 1955. Textes grecs inédits relatifs aux plantes. Paris, les Belles Lettres. 179 p. L'auteur publie divers manuscrits byzantins du XIIe au XVIe siècle.
  • Thomson, Margaret H., 1960. Le jardin symbolique. Texte grec tiré du Clarkianus XI. Paris, les Belles Lettres. 99 p.
  • Verpoorten, J.-M., 1962. Les noms grecs et latins de l'asphodèle. Ant. Class., 31 : 111-129.

Liens