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Orge (Cazin 1868)

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|nomcourtsuivant=Origan
}}
 
 
__TOC__
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== Orge ==Nom accepté : ''[[Hordeum vulgare]]''
Voir la page ''[[]]''
<center>ORGE. Hordeum vulgare. L.
... ''Hordeum polysticum hibernum vemumvernum''. GC. BAUHBauh., TOURNTourn. - '■•."'.■•:,.•Hordeum polysticum''- Sfordeum polysticum. 3J. BAUHBauh.
' ge Orge commune, — orge cultivée, — orge de printemps et d'hiver, improprement scourgeon,■"'-.--.■.'■•. épeautre,—grosse — grosse orge, — sucrion,—socrion— socrion.
'^: -GRAMINÉES. Fam. nat. — TRIANDRIE DIGYNIE. L.</center>
Il ^ue^ante annuelle, qu'on croit originaire de la Russie, et dont on dis-
SUe plusieurs variétés, est cultivée depuis la plus haute antiquité pour
W Cotmit. etobserv. Cette plante annuelle, qu'on croit originaire de méd.la Russie, et dont on distingue plusieurs variétés, p. 176.downloadModeText.vue.download 741 sur 1308est cultivée depuis la plus haute antiquité pour
[712 ORGE.]
l'usage alimentaire et médical, surtout dans le Nord, clans dans les terrainsmaigres.
'''Description'''. — Racine composée d'une grande quantité de petites fibres rajicalesradicales. — Tiges droites, glabres, articulées, hautes de 1 mètre et quelquefois ploe Jplus. - Feuilles longues, aiguës, d'un vert clair, un peu rudes à leurs deux faces, glabres»glabres sur leur gaîne.—Fleurs — Fleurs formant un épi.un peu comprimé, presque à quatre faces, Ion»dlong d'en-viron environ 6 centimètres (mai-juin). —Calice — Calice bivalve, terminé par un long filet barbu rude etpiquant, épillets réunis trois par trois sur chaque dent de l'axe commun. — Corolleli-valveCorolle bivalve. — Trois etaminesétamines. — Un style bifide. — Deux stigmates. — Fruit : cariopsesoblongs, renfermés dans les écailles.
'''Parties usitées'''. — Les fruits.
'''Récolte'''. ■— Elle est du domaine de l'agriculture.
Dépouillées-de leur enveloppe, les semences portent le nom dd’''orge mondé, lorsqu'un'. Lorsqu'en les privant de leur écorce on leur donne la forme sphérique, elles portent le nom dd’'jrji'orge perlé''. Réduites en farine grossière et séchées au four, elles constituent Yorge gml’''orge grue'',''griot '' ou ''gruau''. L'orge germée, dont on a arrêté la germination par une forte chaleur (iet dont on a détaché les germes, constitue le malt; celui-ci, moulu et portant le nom de''drèche'', contenant plus de sucre, d'amidon et de gomme, l'ait fait la base de la bière. OiOn nomme ''essence de malt '' l'infusé de drèche évaporé en consistance de miel.
['''Culture'''.— L'orge de printemps ou escourgeon de printemps, ''Hordeum vulgtnvulgare'',lL.est la plus hâtive des orges (si on excepte l'orge a deux rangs), c'est celle qui convientle mieux aux semailles faites tardivement, c'est-à-dire en mai et juin ; on dit qu'elleréussit mieux que les autres dans les terres médiocres.
Nous citerons encore l'orge carrée nue, petite orge, orge céleste, orge nue à six rangs,''Hordeum vulgare nudnmnudum'', ''Hordeum coeleslecœleste'', que l'on cultive beaucoup en Belgiquesous les noms impropres de ''blé de mai '' et de ''blé d'Egypte''.
L'orge de Guimalaya ou Nanito n'a aucun avantage réel, elle présente une variété vio-letteviolette ; enfin, nous citerons encore l'orge noire, l'orge chevalier, l'orge annalannat, l'orged'Italie, l'orge nue à deux rangs ou grosse orge nue, orge éventail ou orge riz, et l'oigeorge bifurqué.,]
'''Propriétés physiques et cniiini(|ues chimiques ; usages économiques.''' — L'orge non germée est composée, d'après Proust, d'amidon, de gluten, de sucre, de résine jaune, d’''hordéine''. On trouve dans l'orge germée plus d'amidon, de sucre et de gomme, mais moins d'hordéine. (Suivant certains auteurs, l'hordéine ne serait que du son très-divisé.) — La farine d'orge est formée, suivant Einhof, de : amidon, 60 ; sucre, 5 ; gluten sec, 3.5 ; albumine, 1 ; enveloppe, 19.3 ; eau, 11.2. — (Le gluten qu'elle contient diffère de celui du froment et porte le nom de glutine. Il est tellement adhérent à la fécule, que la malaxation sous un filet d'eau ne les sépare pas.)
—LLa germination de l'orge non germée est composéeproduit un principe particulier, d'après Proustun ferment azoté, dnommé 'amidon, de gluten, de sucre, de résinejaune, dhordéine. On trouve dans l'orge germée plus ddiastase'amidon, de sucre et de gomme,mais moins d'hordéine. (Suivant certains auteursCette substance, pulvérulente, lpossédant des propriétés curieuses, peut s'hordéine ne serait que du obtenir en humectant le malt avec la moitié de son In-divise.)— La farine poids d'orge est formée, suivant Einhof, de: amidon, 60; sucre, 5;glu-ten sec, 3.5; albumine, 1; enveloppe, 19.3; eaufroide, 11.2. — (Le gluten qumêlant le liquide exprimé avec la quantité nécessaire d'elle contientdiffère-de celui du froment alcool pour détruire la viscosité, filtrant et porte le nom ajoutant alors de glutinenouvel alcool. Il est tellement adhérent à la féUne quantité très-cule, que minime de cette substance peut produire la malaxation sous un filet transformation d'eau ne les sépare pasune quantité considérable de fécule en dextrine.)
La germination de Suivant Pline, l'orge produit a été un principe particulier, un ferment azoté, nommediastase. Cette substance, pulvérulente, possédant des propriétés curieuses, peut s»tenir en humectant le malt avec la moitié premiers aliments de son poids l'homme civilisé. La farine d'eau froideorge, mêlant leliqu*exprimé avec la quantité nécessaire dcuite dans l'alcool pour détruire la viscositéeau ou le lait, filtrant et ajouforme une bouillie très-tant alors de nouvel alcoolnutritive. Une quantité très-minime On en fait du pain dans certaines parties de cette substance peut produirela transformation dFrance ; mais le peu de gluten qu'une quantité considérable de fécule en dextrineil contient rend ce pain friable et prompt à se dessécher.
Suivant PlineSous ces différentes formes, l'orge a été un est nourrissante, émolliente, adoucissante, rafraîchissante. On l'emploie en décoction dans la plupart des premiers aliments de maladies aiguës et inflammatoires, et comme analeptique dans les maladies chroniques, fébriles ou avec irritation, telles que la fièvre hectique, la phthisie pulmonaire et les consomptions, l'homme^civilisehémoptysie, la néphrite, la cystite, etc.La farine J'ai souvent employé à la campagne la semence d'orge, cuite en nature pour tisane dans les maladies aiguës. Suivant Dubois, de Tournai, l'eau orge hexastique ou le laità six rangs (orge carrée, forme une bouillie très-nutri-tive. On sucrion), employée en fait du pain nature, décoctée dans certaines parties de la France; mais le peuflgluten qul'il contient rend ce pain friable et prompt à se desséchereau, est un des plus puissants diurétiques connus.Ce médecin rapporte cinq cas d'anasarque promptement guéris au moyen d'une décoction concentrée de
Sous ces différentes formes, l'orge est nourrissante, émolliente, adoucis-
sante, rafraîchissante. On l'emploie en décoction dans la plupart des nia -
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OPiCxEcette semence entière, telle qu'on l'emploie dans les usages domestiques. Elle a été sans effet dans deux cas d'anasarque ; mais ces derniers faits ne détruisent en rien ceux qui militent en faveur des propriétés diurétiques de la semence brute. Dans l'un de ces cas, la maladie avait également résisté à la digitale et à une foule d'autres médicaments successivement employés. 713
cette semence entière, telle qu'on l'emploie dans les usages domestiques.Elle a été sans effet dans deux cas d'anasarque; mais ces derniers faits nedétruisent en rien ceux qui militent en faveur des propriétés diurétiques dela semence brute. Dans l'un de ces cas, la maladie avait également résisté àla digitale et à une foule d'autres médicaments successivement employés.: Afin que la matière amylacée de l'orge mondé ou perlé puisse se dissou-dre dissoudre entièrement dans l'eau et donner à la décoctiori décoction divers degrés de con-sistanceconsistance, suivant les différents états de la maladie, il faut prolonger l'ébulli-tibn ébullition à un feu doux pendant sept à huit heures. Sans cette précaution, celtecette boisson est dénuée de vertu, ou bien elle est même un peu excitante, àcause de la matière extractive qu'elle a enlevée à l'enveloppe de la semence.C'est ainsi que les anciens préparaient l'eau d'orge, qui alors fournissaitdans les maladies aiguës une boisson mucilagineuse et nourrissante, que nousavons à tort remplacée par les bouillons de viande.
Il résulte des expériences de Magbridge, de Lind, d'Huxam, de Percy, etd'autres médecins, que le malt et la décoction qu'on en prépare sont émi-nemment éminemment antiscorbutiques, et ont été comme tels employés avec succès dansles voyages de long cours, tant comme préservatifs que comme curatifs.Le navigateur Coôk Cook en a préparé une espèce de bière fort utile aux marins.Macquart en a éprouvé de bons effets dans une épidémie de scorbut et dedysenterie, qui régna sur la flotte deDorvilliersde Dorvilliers, en 1778. Quarin (1) <ref>''De morb. acut. et chron.''</ref> a indiquélà formulé la formule suivante : malt, 192 gr.; faites bouillir pendant un quart d'heuredans 3 kilogr. d'eau; ajoutez ensuite 4 gr. de fenouil et 12 gr. de racine deréglisse; laissez digérer pendant quatre heures. Rush dit avoir vu différentssymptômes, reliquats de la syphilis, céder à l'usage du malt, après avoirrésisté à tous les remèdes. Percival lui attribue-de l'efficacité contre lesscrofules.' Mais la bière, qui est composée avec le malt et le houblon, estlien bien plus utile contre cette dernière maladie. Amère, nourrissante et to-nique* tonique, la bière apaise la soif sans débiliter, augmente l'action de l'estomacet excite lés les sécrétions.
Dans le Nord, où le vin est d'un prix trop élevé pour le pauvre, on em-ploie emploie souvent la bière pour faire macérer les plantes qu'on veut administrersous cette forme.
J'ai vu employer à la campagne, comme anthelminthique et purgatif, à la.dose d'un à trois verres, la bière qu'on avait laissé éventer pendant trois ouquatre jours. Ce moyen provoque souvent l'expulsion des lombrics dès lepremier jour de son usage.
_ La levure levûre de bière a été considérée comme antiseptique et administréedans les fièvres putrides. J'en ai remarqué de bons effets dans un cas defièvre muqueuse vermineuse chez une petite fille de dix ans, qui, pendantleco,ur,s le cours de cette maladie, n'a fait usage d'aucun autre moyen, à l'exceptiondelipéeacuanhade l'ipécacuanha, qu'elle avait pris au début comme vomitif. La levure levûre demère bière était prise par petites cuillerées fréquemment répétées. Cette levuresest levûre s'est montrée, suivant Hufeland, fort salutaire dans le scorbut de terre, tantai à l'intérieur qu'à l'extérieur. Un médecin anglais, Moss (2)<ref>''Union médicale'', 1852, 1re série, t. VI, p. 616.</ref>, a eu recours avecavantage à la levure de bière contre les éruptions furonculeuses, très-fré-quentes fréquentes dans les contrées occidentales de l'Angleterre. 11 I1 administre cettesubstance délayée, dans l'eau, à la dose d'une cuillerée à soupe, trois foisaans dans la journée. Dans un cas de diabète sucré, Bird Herepath (3) <ref>''Ass. med. Journ.'', et ''Gazette hebdomadaire'', 1854.</ref> a employéaiecsuccès avec succès la levure levûre de bière à la dose d'une cuillerée à bouche dans du'^ lait, deux ou trois fois par jour.
-ansles Dans les circonstances ordinaires, la glucose se convertit, comme on sait,
(1!lLm'1':ÎPut- et °hron.____________________
AHT) 0' 116' 1852' lr° série<references/> *• VI> P- 616-v ) a«s. med. Journ., et Gazette hebdomadaire, 1854-downloadModeText.vue.download 743 sur 1308
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sous l'influence de la levure levûre de bière ( à la température de 15 à 20 degréscentigr.) en alcool et en acide carbonique. Mais si la réaction se produitdans l'obscurité au contact de substances albumineuses et protéiquescomme dans l'estomac (à une température de 25 degrés centigr.), le produitest alors de l'acide lactique, de l'acide acétique, et peut-être aussi de l'ai.cool alcool et de l'acide carbonique. Ces données théoriques engagèrent l'auteur ià essayer du ''torula cerevisioe cerevisiæ'' (levure levûre de bière) dans le seul cas que nous venonsde citer, et qui nous paraît d'autant moins concluant, que, sur trois cas deglucosurie rebelle, dans lesquels Bouchardat (1) <ref>''Annuaire de thérapeutique'', 1855, p. 147.</ref> a conseillé la levure levûre debière, il a complètement échoué deux fois, et que le troisième il n'a obtenuqu'une amélioration douteuse, accompagnée de dégagements de gaz pénibles,. Ernest Baudrimont (2) <ref>''Compte-rendu de l'Académie des sciences'', février 1856.</ref> n'a pas été plus heureux chez un jeune garçon atteintde glucosurie, traité sans aucun succès par la médication alcaline depuisdeux mois. On constata, dès le cinquième jour du traitement par la levurelevûre de bière, des symptômes d'ivresse, preuve de la transformation du glucoseen alcool; mais leur intensité décrut "peu à peu, la soif diminua de moitié;,cependant les urines étaient presque toujours également denses, et conte-naient contenaient 81 gr. de glucose par litre.
La levure levûre de bière a été appliquée à l'extérieur comme antiseptique, lafarine d'orge peut être employée en cataplasme comme émolliente. Williamsapplique sur les plaies de mauvais caractère, pourriture d'hôpital, plaiesgangreneuses, etc., un cataplasme fait avee l'orge fermentée et la bière bouil-lantebouillante. Ce cataplasme, qui a paru supérieur à tous les moyens de même na-turenature, doit être changé deux ou trois fois en vingt-quatre heures.
La drèche ou marc de la bière a été conseillée par Gibson et Magbridge,en décoction contre le scorbut. Henning la recommande dans les maladieséruptives du printemps. Rush en a obtenu de bons effets dans les ulcères demauvais caractère. Les bains de drèche chauds sont employés avec avantagedans le rhumatisme et les engorgements articulaires chroniques, la paralysie,les névralgies, les rétractions musculaires, l'oedèmeœdème, l'anasarque, etc. C'estun moyen populaire qui n'est pas à dédaigner.
[Pendant l'acte de la germination, il se forme dans l'orge, avons-nous dit(voyez ''Propriétés chimiques''), un ferment azoté particulier nommé diastm''diastase'',qui jouit de la propriété de transformer l'amidon et toutes les fécules endextrine et en sucre; une matière analogue que l'on a désignée tour à toursous les noms de ''ptyaline '' et de ''diastase animale'', existe dans la salive; c'estun des ferments digestifs qui a pour but d'opérer dans la bouche la saccha-rification saccharification des fécules : de même que l'on a cherché à suppléer au défaut Mde quantité ou d'activité du suc gastrique chez l'homme, en administrant le sucgastrique des animaux, de même on a, nous le croyons avec juste raison,associé la diastase végétale à la pepsine lorsqu'on croyait qu'il y avait a à lafois défaut de digestion des fécules et des matières protéiques._ ChassamgChassaing,pharmacien à Maisons-Alfort, a présenté à l'Académie de médecine un ««?''sirop'' et ''un vin nutrimentifs de malt et depepsinede pepsine''. Arnal, Barth et d'autrespralici*autres praticiens distingués se sont bien trouvés de l'emploi de ces deux médicaments, ua. Oncomprend qu'il serait difficile et coûteux d'isoler la diastase delorjde l'orge germé; c'est pour cela que Chassaing propose l'emploi de ll’''orge germegermé'' en poudre ou ''malt''. . ,
Ces applications des faits physiologiques à la thérapeutique ont soi*souvent donné de bons résultats ; mais il est arrivé ici ce qui arrive presque toujou.toujours,c'est qu'on a poussé les choses à l'excès : c'est ainsi que l'on asSOCI'a]aassocie à la pepsine la ''pancréatine '' du suc ''pancréatique'', qui achèvent dans l'intestiniintestin la digestion des matières albuminunoïdes qui n'a pu se terminer dans lel'esto-
(1) Annuaire de thérapeutique, 1855, p. 147.____________________
(2) Compte-rendu de l'Académie des sciences, février 1856.<references/>
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mac ; mais on n'a pas songé que la ''pepsine '' et la ''pancréatine '' dans le canal:'digestif n'agissent que successivement, et que lorsqu'on les associe, elles dé-duisent détruisent naturellement leurs effets. En voulant mieux faire, on a fait plusmal. Enfin, rappelons que, depuis quelques années, les bières concentrées, les bières de malt ont été employées avec quelque apparence de succès dans certaines maladies de l'estomac.]
"Enfin rappelons que, depuis quelques années, (Fremy regarde la poudre de malt comme un tonique analeptique puissant ayant une action modificatrice dans les bières concentréesaffections pulmonaires chroniques, et même dans la phthisie : non pas que son action s'attaque à la maladie elle-même ; mais cet agent exerce une influence heureuse sur lesbières sueurs, la diarrhée et la dyspepsie concomitantes<ref>''Bulletin général de malt ont été employées avec quelque apparence de succès danscertaines maladies de lthérapeutique'estomac]', 1862.</ref>.
. femy regarde Skoda préconise comme liqueur antiscorbutique à la poudre dose de deux ou trois verres par jour le mélange suivant : décoction de malt comme un tonique analeptique puissant ayant une action modificatrice dans les affections pulmonaires chroniquesavec bourgeons de sapin, et même dans la phthisie : non pas que son action s'attaque à la 275 gr. ; maladielevûre de bière, elle-même 25 gr. ; mais cet agent exerce une influence heureuse sur les ïsueurssirop d'écorce d'oranger, la diarrhée 25 gr. ; mêlez, laissez fermenter et la dyspepsie concomitantes (1)filtrez.)
' 'Skodapréconise comme liqueur antiscorbutique à la dose de deux ou____________________
* trois verres par jour le mélange suivant : décoction de malt avec bourgeons<references/>
* de sapin, 275 gr.; levure de bière, 25 gr.; sirop d'écorce d'oranger, 25 gr. ; mêlez, laissez fermenter et filtrez.)
[[Catégorie:Cazin 1868]]
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