Hellébore

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Nom des espèces du genre Helleborus, en particulier :

mais aussi :

Quant à ἐπιπακτίς - epikaktis ou ἐλλεβορίνη - elleborinê, littéralement "la petite hellébore" (Dioscoride, 4.108), ce serait Herniaria cinerea (Amigues, HP IX, 12, note 8). Au Moyen-Age, la plante de Dioscoride a été identifiée comme une sorte de vératre, puis une orchidée dont les feuilles ressemblent à celles du vératre, appelée précisément Epipactis helleborine.

Références

  • Amigues, Suzanne, 1999. Note sur l’ « ellébore blanc » de Dioscoride, IV, 148. Revue de Philologie, 73 (1) : 7-13.
  • Deroux, Carl, 1976. Note sur l’ellébore et le faux ellébore. Latomus, 35 : 875-878. sur JSTOR
  • Girard, M.-C., 1986. Connaissance et méconnaissance de l'hellébore dans l'Antiquité. Québec, Université Laval (Etudes, 3).
  • Girard, M.-C., 1990. L’hellébore, panacée ou placebo ? in P. Potter, G. Maloney, J. Desautels, La maladie et les maladies dans la collection hippocratique. Actes du VIe colloque international hippocratique (Québec, 28 septembre - 3 octobre 1987), Québec, Éditions du Sphinx. p. 393-405.
  • Stadler, 1913. Helleboros. Realencyclopädie der classischen Altertumswissenschaft (RE), 8 (1) : 163-170.

Liens

  • Histoire de l'ellébore médicinal durant l'Antiquité gréco-romaine. Wikipédia
  • Ellébore dans l'Encyclopédie.