A'fs (Ibn al-Baytar)
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Nom accepté : [[]]
[2-457]
- Dioscorides, 1, 146. Il s’en trouve une espèce que l’on retire de l’arbre encore verte; elle est petite, tubéreuse, lisse et sans perforation. On lui donne le nom d’omphacis. Elle est plus efficace que l’autre espèce.
- Galien, VII. Quant à la galle verte, c’est un médicament très-astringent.
- Dioscorides. Les deux espèces sont astringentes.
- Avicenne. On fait avec succès des embrocations de sa poudre avec du vinaigre, sur l’impétigo.
- Livre des Expériences. Pour arrêter les flux, on la prend en poudre avec un jaune d’œuf cuit à la coque, ou dans une dissolution de gomme arabique, à cause de l’irritation qu’elle causerait à la gorge. Sa décoction aqueuse est utile en fomentations contre l’exomphale des enfants. Bouillie dans du vinaigre, sa décoction est utile en embrocations contre l’érysipèle au début. Employée de la même manière, elle combat l’extension des myrmécies.
- Ishak ibn Amrân. Réduite en poudre fine et insufflée dans les narines, elle arrête l’épistaxis. Triturée avec du vinaigre fort et employée en frictions, elle guérit les tubercules développés dans la bouche.
Nous lisons dans les notes de la traduction arabe de Dioscorides que la galle se dit en latin djala, 1’^Xss- ^jJaiîL»."
