Ces caractères distinctifs sont d'autant plus importants que l'on se tromperait gran-dement grandement si on s'attachait seulement à la coloration, que la pluie modifie plus on mokmoins.
La fausse oronge présente trois autres variétés qui se distinguent par la couleur duchapeau : VAl’''A. m. formosa'', jaune citrin, à verrues farineuses teintées de jaune, fugaces;''regalis'', foncé, quelquefois marron ; ''umbrina'', jaune livide.
La fausse oronge a les spores ovales, résistantes, grosses, avec un apicule dirigé decôté; elles mesurent 0"""0mm.01 à 0mm.015 sur 0""\0mm.008 à 0""\0mm.0085 de largeur (Der-tillon) (1Bertillon)<ref>''Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales'', t. III, p. 505.</ref>.
'''Parties visitéesusitées'''. — Toute la plante ; suivant certains auteurs, la base (lu i*-diculedu pédicule.
Kécolte'''Récolte, préparations'''. — On récolte ce champignon à l'entrée de l'au-tomneautomne, époque où il croît; on le coupe par tranches, on l'enfile pour le faire sécher ausoleil ou au four, on le pulvérise ensuite et on le conserve clans dans un flacon bien ta*bouché et placé dans un endroit sec. — On en a préparé aussi une teinture alcoolique.
('''Propriétés physiques et cluai&iqnueschimiques'''. — La fausse oronge a ■une odeur peu marquée, une saveur salée.)
Letellier (2) <ref>''Essai sur les propriétés chimiques et toxiques du poison des agarics à volve''. Paris, 1826. Thèse.</ref> y a découvert, ainsi que dans quelques espèces voisines, une su*»*substance particulière qu'il appelle amaniline''amanitine'', et dans laquelle résiderait, selon lui, le pr«F-principe vénéneux de ce champignon. Cette matière, dont l'alcalinité est encore incertaine,ess-teraitexisterait, combinée avec le fungate de potasse, dans les champignons. .
(Réveil (3) Reveil<ref>''Mémoire couronné par l'Académie de médecine'', 1865.</ref> trouve dans Y l’''A. muscaria '' trois principes toxiques différents il0™! 1cipe : 1° un principe volatil, odorant, très-fugace obtenu par la distillation aqueuse. Cette eau mdistillée peut être préparée en distillant 1 partie de champignon avec 2 parties d 'eau, Ppar trois fois, afin d'avoir pour résultat 1 partie d'eau distillée. Elle est transparente, neuue.neutre ; au bout de quinze jours elle est inerte; 2° un principe extractif, soluble dans 1 l'eau, ~ .^prochant se rapprochant de l'amanitine de Letellier; 3" un principe résineux, soluble ™sladans l'alcool,L^s.lubie insolubie dans l'eau quand il est pur, mais pouvant s'y dissoudre à l'aide des nuitractivesmatières extractives.
(1) Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales, t. III, p. 505. , paris, is-'____________________
(2) Essai sur les propriétés chimiques et toxiques du poison des agarics .1 vou ■■ Thèse.<references/>
(3) Mémoire couronné par l'Académie de médecine, 1805.
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•ORONGELa dessiccation et la cuisson diminuent le degré d'énergie toxique de l'amanite. La cuisson prolongée dans l'eau salée ou le vinaigre rend les champignons vénéneux inoffensifs mais aussi les espèces comestibles insipides et indigestes. 719
La dessiccation et Il n'y a rien de vrai dans la cuisson diminuent le degré vertu de certains indicateurs (cuiller d'énergie toxique argent, etc.) de l'amaniteinnocuité des champignons. Laraisson prolongée dans l'eau salée ou le vinaigre rend les champignons vénéneux inof-fensifs mais aussi les espèces comestibles insipides et indigestesconnaissance exacte de leurs caractères doit être seule invoquée pour arriver à une sécurité complète.)
Il n'y a rien de vrai dans la vertu de certains indicateurs (cuiller La fausse oronge est très-vénéneuse, et d'argent, etc.) deautant plus dangereuse que l'innocuité odeur nauséabonde, le goût âcre et repoussant des autres champignonsnuisibles indiquent leurs qualités délétères, tandis qu'ici, suivant l'expression pittoresque de Bertillon, ces ''garde-fous'' font défaut. La connaissance exacte L'intensité d'action tonique est d'autant plus grande que le champignon est plus âgé ; de leurs caractères doit être seuleses différentes parties, le stipe et le chapeau sont les plus actives ; les lames n'arrivent qu'en troisième ligne (Reveil). Ces différences, quant à l'âge et auxparties employées, jointes à certaines circonstances de préparation, etc. invoquée pour , expliquent peut-être les cas d'innocuité publiés par Bulliard, Mérat et d'autres.arrivera une sécurité complète.)
(ACTION SUR LES ANIMAUX. — La fausse oronge est très-vénéneusepour les mammifères, et d'autant plus dangereuse quel'odeur nauséabondeles oiseaux, le goût acre et repoussant des autres champignonsnuisibles indiquent leurs qualités délétèresles grenouilles, tandis qu'ici, suivant les serpents et les poissons ; les limaces l'expres-sion pittoresque de Bertilloh, ces garde-fous font défautentament sans danger. LOn assure que la décoction laiteuse tue les mouches. Reveil donne 2 gr. de chair d’'intensité d'actiontonique est dA. muscaria'autant plus grande que le champignon est plus âgé; de ses'différentes parties, le stipe à des moineaux qui meurent dans un espace de temps qui varie entre trente-neuf et soixante-deux minutes. Les chiens et le chapeau sont les plus actives; les lamesn'arrivent quchats meurent, suivant Bulliard, s'ils en troisième ligne (Réveil)ont ingéré une certaine quantité, en six ou huit heures. Ces différencesDans la plupart des cas, quant à l'âge on observe une irritation violente des voies digestives et auxparties employées, jointes à certaines circonstances en même temps des phénomènes de préparationnarcotisme ; mais tantôt ce sont les premiers symptômes qui prédominent, etctantôt ce sont les seconds, tantôt la pupille est dilatée, tantôt elle serait rétrécie.Comme Claude Bernard l'a fait pour l'opium,expliquent peut-être Reveil a étudié isolément les cas différents principes de la fausse oronge, et il a pu ainsi se rendre compte de ces irrégularités d'innocuité publiés par Bulliardaction, Mérat eldsuivant que l'autres.un de ces principes agissait plus que l'autre :
ACTION SUR LES ANIMAUX1° ''Eau distillée''. — La fausse oronge est vénéneuse pour les mam-mifères,les oiseaux, les grenouilles, les serpents et les poissons ; les limaces2 gr. injectés sous la peau d'une grenouille l'entament sans danger. On assure que là décoction laiteuse tue les mouches.Réveil donne ont fait périr en trente-huit minutes, 2 gr. de chair en sept minutes ; 60 gr. ont déterminé la mort d'A. muscaria à des moineaux qui meurent dansun espace de temps qui varie entre trentecabiai en quatre-neuf et soixantevingt-deux dix-huit minutes; 40 gr.Les chiens et les chats meurent, suivant Bulliard, scelle d'ils un lapin en ont ingéré une cer-taine quantité,quinze minutes.en six ou huitheures. Dans la plupart Elle détermine des casvertiges, on observe des tremblements, puis uneirritation violente des voies digestives et en même temps des phénomènesdenarcotisme; mais tantôt ce sont paralysie portant plus sur les premiers symptômes nerfs sensitifs que les moteurs qui prédomi-nent,ne sont affectés que d'tantôt ce sont une façon apparente (puisque chez les secondsgrenouilles ils répondent à l'excitation galvanique) ; un ralentissement progressif du pouls, tantôt la dilatation de la pupille est dilatée, tantôt elleserait ré trécie. Comme Claude Bernard le coma, la mort ; à l'a fait pour l'opiumautopsie, Réveil a étudiéisolément les différents principes de la fausse orongecongestion du péricarde et des méninges, et il a pu ainsi se rendrecompte turgescence des vaisseaux de ces irrégularités dl'actionencéphale, suivant que l'un de ces principes agis-sait plus que Fautre :et même épanchement sanguinolent.
. 1? Eau distillée. —- 2 gr. injectés sous la peau d2° 'une grenouille l'ont faitpérir en trenteExtrait sec''. -huit minutes, 2 gr. en sept minutes ; 60 (quantité répondant à 300 gr. ont déterminéde champignon frais), délayés dans l'eau et injectés dans la mort région inguinale d'un cabiai en quatre-vingt-dix-huit minutes ; 4chien de 5 kilogr.,0 gr. celle dont produit une respiration haletante, l'un lapinen quinzeaugmentation des pulsations artérielles (126 à 146), minutes. Elle détermine des vertiges, des tremblements, puiset la titubation ; une paralysie portant plus sur les nerfs sensitifs que les moteurs qui ne sont, affectés que-d'une façon apparente (puisque chez les grenouilles ils répon-dent ^ heure et demie après l'excitation galvanique)injection, contraction pupillaire, coma ; un ralentissement progressif du trois heures après, le poulstombe à 80, état qui dure jusqu'à ladilatation douzième heure ; au bout de la pupilledix-huit heures, le comadiminue, la mort; à et l'autopsie, congestion du périanimal se rétablit au bout de quarante-carde et des méninges, turgescence des vaisseaux de l'encéphale, et môme. épanchement sanguinolenthuit heures.
3° ''Principe résineux''.i;?,,%ra!tseC- ~ 2 — 12 gr. (quantité répondant d'extrait alcoolique de muscaria sont administrés à 300 grun chien qui, le deuxième jour, meurt après avoir éprouvé des évacuations fréquentes, sans désordres nerveux marqués ; à l'autopsie, on rencontre une phlegmasie intestinale des plus intenses. de champignon
. ™)Ainsi, ctekyes uans reau trois principes : le premier agissant comme les narcotico-âcres, le deuxième comme sédatif du cœur et injectes dans la région Inguinale d'un chien denarcotique, le troisième comme irritant du tube digestif.
:|™°gr., ont produit une respiration haletante, l'augmentation des pulsa-
; tlôûs artérielles (1261146), des vertiges et la titubation ; une heure et demie[720]
CHEZ L'HOMME. — Ici le tableau change peu : après à petites doses, la fausse oronge a des effets enivrants, fort bien décrits par Krachinonimkov<ref>''Effets toxiques de l'injectionagaricus muscarius''. Lemgo, contraction pupillaire1776, coma in-4° (en russe).</ref> ; trois heures aprèsil rapporte, et ces détails sont confirmés par Langsdorf<ref>''Dissertation sur l'agaricus muscarius''.</ref>, que les habitants du Kamtschatka coupent l’''amanita muscaria'' en petits morceaux qu'ils font sécher pour la conserver ; ils en préparent aussi avec le poulssuc du ''vaccinium uliginosum'', ou en les faisant infuser avec les feuilles d'une espèce d’''epilobium'', une boisson dont ils se servent au lieu de vin. Quand ils ont bu de ces liqueurs ou mangé le champignon sec, il se manifeste chez eux une ivresse particulière, dans laquelle les facultés intellectuelles sont anéanties ; il survient des tremblements, des soubresauts dans les tendons, quelquefois des convulsions. Les uns sont gais, chantent ou sautent ; les autres, au contraire, sont tristes et abattus. Le plus souvent, les forces musculaires paraissent considérablement augmentées ; puis, les malades tombent, le sommeil s'en empare, calme cette étrange exaltation, et bientôt ils se réveillent dans leur état naturel ; quelques-uns même prolongent ce triste état par des libations successives. On a observé qu'il survient quelquefois des vomissements, mais l'ivresse n'en est pas diminuée. L'urine de ceux qui se sont ainsi enivrés jouit des mêmes propriétés que le champignon ; aussi voit-on les indigents rechercher celle des personnes riches, afin d'y puiser cette ivresse. Langsdorf fait observer que ceux qui s'adonnent habituellement à ce genre de crapule finissent par devenir fous.
tombe à 80A dose élevée, état qui dure jusqul'agaric moucheté cause des empoisonnements que l'imprudence rend trop fréquents, surtout dans le Midi. L'effet délétère se fait assez souvent longtemps attendre après l'ingestion et ne se produit que 10à la douzième heure; au bout 15 heures après le repas. Les jeunes sujets sont frappés les premiers. Il est fréquent de dix-huitvoir mourir ainsi successivement une famille tout entière.
fwes, Cet effet se porte tout d'abord sur le coma diminuetube digestif ; nausées, coliques atroces, déjections abondantes, glaireuses, bientôt sanguinolentes ; puis, secondairement, excitation, ivresse, vertiges, tremblements, titubation, respiration haletante, irrégularité des mouvements du coeur, quelquefois syncope, pupille dilatée ou contractée (suivant, comme nous l'avons dit, la prédominance d'action d'un des principes), trouble de la vue, perte de l'intelligence, délire gai ou maniaque, pâleur, sueur froide, ralentissement considérable du pouls, coma et mort. On voit que ces symptômes sont, pour ainsi dire, calqués sur ceux que l'animal se rétablit au bout on peut faire naître à volonté par l'expérimentation sur les animaux ; à l'autopsie, même similitude d'observations. Les sinus et les artères de quarantela base sont distendus par le sang ; l'arachnoïde et la pie-huitmère sont congestionnées; ce tissu du cerveau est rouge dans un cas rapporté par Christison<ref>''On poisons'', p. 777.</ref> ; on a trouvé même un caillot sanguin dans le cervelet.
heuresOn doit traiter l'empoisonnement au début par les vomitifs ;puis faire boire de l'eau acidulée et salée ; aucun neutralisant absolu n'a donné jusqu'à présent de résultat favorable. Bertillon<ref>''Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales'', t. III, p. 510.</ref> recommande les inhalations d'oxygène pour s'opposer à l'arrêt de l'hématose, - - • ■ et les diurétiques pour faciliter l'expulsion du poison.
;3Briand et Chaudé, dans leur '[Principe résineux. — 12 gr'Traité de médecine légale'', disent qu'aucune recherche ne peut faire reconnaître l'empoisonnement par les champignons. Cependant on pourrait retrouver les spores de certains d'extrait alcoolique entre eux ; celles de l’''A. muscaria sont ad-ministrés à un- chien qui, le deuxième jour, meurt après avoir éprouvé desévacuations fréquentes, sans désordres nerveux marqués ; '' résistent à l'autopsie, onrencontre une nhlegmasie intestinale action des plus intenses.Ainsi, trois principes : le premier agissant comme les narcotico-âcres, leeuxiemecomme sédatif du coeur sucs digestifs et narcotique, le troisième comme irritant"u tube digestifont été observées et reconnues dans les déjections. ■downloadModeText(Voyez ''Description'', p.vue718).download 749 sur 1308
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720 ORONGE.<references/>
CHEZ L'HOMME. — Ici le tableau change peu : à petites doses, la faussp
oronge a des effets enivrants, fort bien décrits par Krachinonimkov (()• '
rapporte, et ces détails sont confirmés par Langsdorf (2), que les habitants
du Kamtschatka coupent l'amanita muscaria en petits morceaux qu'ils font
sécher pour la conserver; ils en préparent aussi avec le suc du vactinim
uliginosum, ou en les faisant infuser avec les feuilles d'une espèce d'raf
lobium, une boisson dont ils se servent au lieu de vin. Quand ils ont bu de
ces liqueurs ou mangé le champignon sec, il se manifeste chez eux me
ivresse particulière, dans laquelle les facultés intellectuelles sont anéanties'
il survient des tremblements, des soubresauts dans les tendons, quelquefois
des convulsions. Les uns sont gais, chantent ou sautent; les autres, au con-
traire, sont tristes et abattus. Le plus souvent, les forces musculaires parais-
sent considérablement augmentées ; puis, les malades tombent, le sommeil
s'en empare, calme cette étrange exaltation, et bientôt ils se réveillent dais
leur état naturel ; quelques-uns même prolongent ce triste état par des liba-
tions successives. On a observé qu'il survient quelquefois des vomissements
mais l'ivresse n'en est pas diminuée. L'urine de ceux qui se sont ainsi enivrés
jouit des mêmes propriétés que le champignon; aussi voit-on les indigents
rechercher celle des personnes riches, afin d'y puiser cette ivresse, Langs-
dorf fait observer que ceux qui s'adonnent habituellement à ce genre de
crapule finissent par devenir fous.
A dose élevée, l'agaric moucheté cause des empoisonnements que l'impru-dence rend trop fréquents, surtout dans le Midi. L'effet délétère se l'ailassez souvent longtemps attendre après l'ingestion et ne se produit que 19à 15 heures après le repas. Les jeunes sujets sont frappés les premiers. 1est fréquent de voir mourir ainsi successivement une famille tout entière.[721]
Cet effet se porte tout d'abord sur le tube digestif; nausées, coliquesatroces, déjections abondantes, glaireuses, bientôt sanguinolentes; puis,secondairement, excitation, ivresse, vertiges, tremblements, titubation, res-piration haletante, irrégularité des mouvements du coeur, quelquefois syn-cope, pupille dilatée ou contractée (suivant, comme nous l'avons dit, laprédominance d'action d'un des principes), trouble Nous rapprocherons de la vue, perte de ll’'in-telligence, délire gai ou maniaque, pâleur, sueur froide, ralentissementconsidérable du pouls, coma et mort. On voit que ces symptômes sont, pwainsi dire, calqués sur ceux que l'on peut faire naître à volonté par l'expéri-mentation sur les animaux; à l'autopsie, même similitude d'observations.Les sinus et les artères de la base sont distendus par le sang; l'arachnoïdeet la pie-mère sont congestionnées; ce tissu du cerveau est rouge dans uncas rapporté par Christison (3) ; on a trouvé même un caillot sanguin dans lecervelet. On doit traiter l'empoisonnement au début par les vomitifs ; puis faire boirede l'eau acidulée et salée; aucun neutralisant absolu n'a donné jusqu'à pré-sent de résultat favorable. Bertillon (4; recommande les inhalations d oxy-gène pour s'opposer à l'arrêt de l'hématose, et les diurétiques pour faciliterl'expulsion du poison. Briand et Chaude, dans leur Traité de médecine légale, disent qu'aucunere-cherche ne peut faire reconnaître l'empoisonnement par les champign<*Cependant on pourrait retrouver les spores de certains d'entre eux; cede l'A. muscaria résistent à l'action des sucs digestifs et ont été obsenet reconnues dans les déjections. (Voyez Description, p. 718). (1) Effets toxiques de Vagaricus muscarius. Lemgo, 1776, in-4° (en russe). (2) Dissertation sur l'agaricus muscarius. (3) On poisons, p. 777. (i) Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales, t. III, p. 510.downloadModeText.vue.download 750 sur 1308 ORPIN. Yil' i Nous rapprocherons de l'A. muscaria, comme composition et mode d'ac-te action, les ''A. phalloïdes'', amanite bulbeuse; ''A. virosa '' et ''A.pantherina''.)
'l'étude physiologique de la fausse oronge fait présager qu'on pourrait en