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« ''A Toussan L'oulivo à la man''. » cévenol, Sauv., 1785. — « Fày mi veïré uno ooulivo a san Jan, T'én farày veïré milo à Toussan. » Bouches-du-Rh., Villeneuve, 1821, IV, 348.
« ''Quand trouono dins lou mes de fébrié Toutt l'ouoli claou dins un culié'' = quand il tonne en fèvrier , toute l'huile tient dans une cuiller ; c.-à -d. il n'y a ura aura pas d'olives. » Aveyron, J. Duval.
« Sésoun de néjo Sésoun d' ooulivo. » ''Franc-prouvençau'' per 1880. — « Il faut du froid pour que l'olivier charge. » Prov. provenç., Barjavel., ''Cult. de l ‘oliv'oliv''., 1830.
" A santo-Catarino L'oli és à l 'ourivo ; à san-Blày L'és éncaro mày. » Cassis (B.-du-Rh.), A. Saurel, ''Statist. de Cass.'', 1857, p. 151.
« ''Ouncho -mé lou pé, T''ouncharày lou bé'' = graisse-moi le pied , je te graisserai le bec. » cévenol, D’Hombres.
« Fày mi paouré et ti farày ric. » Alpes-mar., Cauvin, ''Commune de Contes'', 1885, p. 115.
« Espélio -mé (''taille-moi'') dit l'ouliviè, té véstirày. » cévenol, Sauv., 1785. — « Désabiyo mi , iou t'abiyarày. » Var, Pellicot, ''Calendr. provenç''., 1846, p. 109. — « ''Paouré dé bo és riché d'oli'' = l'olivier pauvre de bois est riche en huile. » cévenol, D'Hombres. — « Tant mày l'on li fay, tant mày l'on né tiro. » cévenol, D'Hombres.
« Celuy qui laboure I'olivier le supplie de fructifier ; celuy qui le fume a sa requeste enterinée, mais celuy qui le taille le contrainct de tout poinct à fructifier. » XVI<sup>e</sup> s., ''La Maison rustique''.
« May ''Mày péndou, Mày réndou '' = plus les olives restent sur l'arbre, plus elles rendent d'huile. » Gard, ''Statist. de la Fr.''
« Il faut que l'olivier soit : ''fumat coumo un ouor e lourât lourat da un pouor'' = fumé comme un jardin et labouré avec un porc, c.-à-d , . retourné complètement comme fait le porc qui fouille la terre avec son groin. » Alpes-Marit., Cauvin, ''La Commune de Contes'', 1885, p. 116.
« ''Olivié rar, Tén-lo-ti car'' = olivier rare, c.-à-d. espacé, tu dois l'estimer. » Alpes-Mar., Cauvin, ''La Commune de Contes'', 1885, p. 115.