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Punica granatum

1 961 octets ajoutés, 17 janvier 2020 à 16:37
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*Voir l'[[Grenadier (Candolle, 1882)|''Origine des plantes cultivées'' de Candolle (1882)]]
*Voir les [[Grenadier (Cazin 1868)|''Plantes médicinales'' de Cazin (1868)]]
{| class="wikitable" style="width:100%;"|Douée de propriétés anthelmintiques au niveau de l'écorce de la racine, cette espèce a également des propriétés tannantes. Le fruit est consommé et était autrefois pressé pour obtenir la grenadine. Les feuilles sont employées comme ''hémostatique'' alors que l'écorce du tronc et de la racine a des propriétés ''vermifuges'' (TROT­TER, 1915). De nombreux autres emplois au Maghreb sont, en plus, signalés par BOUQUET (1921) et GATTEFOSSÉ (1921) :*Voir les feuilles et les écorces du fruit sont utilisées contre les ''hé­moptysies'',* les fleurs, macérées dans du lait de chamelle, guériraient des ''dartres'' du visage ; mais il faut que les fleurs soient tombées rou­ges d'un arbre ne portant pas de fruit,* la poudre de fleurs et d'écorce s'emploie comme dentifrice pour fortifier les dents et guérir les saignements des gencives,* cette même poudre additionnée de charbon de bois et de « noix de galle » sert pour sécher et cicatriser les plaies purulentes,* les feuilles et l'écorce du fruit sont fortement astringentes et antidiarrhéiques. Les fleurs sèches de ''Punica granatum sylvestris'' L. (ar. = gol­nar) seraient, en thérapeutique traditionnelle, en Egypte (DUCROS, 1930), employées à l'intérieur en infusion ou décoction comme ''astrin­gent'' et à l'extérieur en application comme ''collutoires''. De fait, selon MOLAINE (1962) ce sont les alcaloïdes qu'elle contient qui confère à l'écorce de la racine ses propriétés d’''anthelmintiques'' signalées depuis l'antiquité, époque à laquelle l'écorce du fruit était déjà utilisée pour les soins ''en cas de diarrhées et d'hémorragie''. Selon MOLAINE l'écorce du fruit est utilisée depuis l'an­tiquité pour le ''tannage'' des peaux. Elle est encore employée en ''teinturerie'' (TROTTER, 1915 ; POINSOT et REVAULT, 1937 ; COUSTILLAC, 1958), et cette teinture sert éventuellement au marquage des animaux (RENON s.d.).{{droite|[[Punicacées (Le Floc'h, 1983)#|Edouard Le Floc'h, 1983, ''Contribution à une étude ethnobotanique de la flore Ethnobotanique tunisienne'', 1983170]].}}|}
== Propriétés ==
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