(Bosc, ancien consul aux États-Unis, a constaté l'identité complète du rhus radicans et du rhus toxicodendron. Ce sont deux états différents d'un même individu. Dans sa jeunesse, ce végétal rampe sur terre, et ses feuilles sont toujours dentelées ou sinuées, toujours velues : il est ''toxicodendron'' ; mais aussitôt que sa tige rencontre un arbre, il s'y cramponne par des suçoirs radiciformes, et s'élève graduellement contre son tronc : il devient ''radicans''.)
'''Description'''. — Racines latérales, nombreuses, se fixant sur les arbres par depetits suçoirs. — Tiges rampantes et divisées en rameaux nombreux et grimpants, pa-venant parvenant quelquefois jusqu'au sommet des arbres. — Feuilles alternes, longuementpe-tioléeslonguement pétiolées, à trois folioles pédicellées, minces, ovales, dont deux latérales à court peuoie eipétiole et une impaire. —- Fleurs d'un vert blanchâtre, dioïques, disposées \ers vers l'extrémiiicus.extrémité des rameaux, en grappes courtes, latérales, axillaires, glabres, peu ramifiées (ju"leH°ujuillet-août).1''— Fleurs mâles plus grandes que les femelles et sur des pieds différents, coml)0r°composées d'un calice très-petit à cinq divisions. — Corolle à cinq pétales allonges'allongés, obtus, IM. — Cinq étamines courtes et saillantes à anthères très-petites. — Fleurs femelles : un ouovaire uniloculaire sui monté surmonté d'un style court à trois stigmates. — Fruit : petite drupe îtmmant renfermant un noyau dans lequel se trouve une petite graine globuleuse et osseuse.^^
(1) Annales d'oculistique, septembre et octobre 1861.
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SUMAC VÉNÉNEUX'''Parties usitées'''. — Les feuilles.
1033['''Culture'''. — Le sumac vénéneux est originaire de l'Amérique du Nord et plus particulièrement de la Virginie et du Canada. Il croît en pleine terre dans nos climats. Tous les sumacs peuvent être propagés par semis en pépinière que l'on repique plus tard par drageons, par boutures, et par éclats de racines. On les trouve dans les jardins botaniques et d'agrément.]
parties usitées('''Récolte'''. — Les feuillesPour que ce végétal qui nous occupe jouisse de toute son activité, on doit le recueillir dans le mois d'août, et surtout en automne.Il faut le choisir de préférence dans un lieu humide exposé au midi.)
[Culture'''Propriétés physiques et chimiques'''. — Le sumac vénéneux est originaire de La saveur et l'Amérique odeur du Nord et plusparticulièrement de la Virginie et du Canadarhus toxicodendron sont peu remarquables. Il croît existe autour de cette plante une atmosphère malfaisante formée par les effluves qui s'en pleine terre dégagent ; elle s'étend dans nos climatsun rayon de 5 à 6 mètres, et produit, sans contact de l'arbre, des accidents divers.Tous les sumacs peuvent être propagés par semis Les produits de l'exhalation naturelle de la plante, recueillis en pépinière plein jour, sont du gaz azote et une eau insipide, tous les deux fort innocents ; au contraire, le gaz que l'on repique plustard par drageons^ par boutures, et par éclats recueille après le coucher du soleil est de racinesl'hydrogène carboné mêlé à un principe âcre particulier. On Séchées où seulement fanées, les trouve dans les jar-dtns'botaniques et feuilles de cet arbrisseau ne fournissent plus d'agrémentémanations nuisibles ; la coction produit le même effet.]
(Récolte. —• Pour que ce végétal qui nous occupe jouisse Le bois de toute son activité, ondoit le recueillir dans le mois cet arbuste est rempli d'aoûtun suc jaunâtre, et surtout en automne. Il faut le choisir gluant, laiteux, abondant lors de préfé-rence dans un lieu humide exposé au midila floraison, et qui disparaît à la maturité des fruits.)
Propriétés physiques et chimiques. — La saveur et Van Mons, qui s'est particulièrement occupé de l'odeur analyse du ''rhustoxicodendron sont peu remarquables. Il existe autour de cette plante une atmosphèremalfaisante formée par les effluves qui sradicans'en dégagent ; elle s'étend dans un rayon de 5 à6 mètres, et produity a trouvé du tannin, sans contact de l'arbreacide acétique, des accidents divers. Les produits un peu del'exhalation naturelle gomme, un peu de résine, de la plantechlorophylle, recueillis en plein jourun principe hydrocarboné. La matière hydrocarbonée serait, sont du gaz azote et une eauinsipidesuivant cet observateur, tous la partie âcre et vénéneuse de la plante. Van Mons ne parle pas de la matière qui existe dans les deux fort innocents; au contrairefeuilles, le gaz qui devient noire à l'air, et que l'on recueille après acide nitrique ou lecoucher du soleil est de chlore fait également passer au noir. Le suc exprimé se couvre à l'hydrogène carboné mêlé à un principe acre particulier. Séchéesoù seulement fanées, les feuilles air de cet arbrisseau ne fournissent plus pellicules formées par la même altération, résultat d'émanations nui-sibles; une véritable oxydation. Il paraît que cet effet cesse de se manifester dans la coction plante sèche. (Ce suc, qui se dessèche et noircit aux points de section des branches, est luisant, rappelle la fausse gomme copale, produit le d'une espèce américaine (''rhus copallinum''), et pourrait être utilisé de même effet, en ayant soin de l'extraire en novembre, époque où le suc n'est plus vénéneux.)
Lebois de cet arbuste est rempli d'un suc jaunâtre, gluant, laiteux, abondant lors de
la floraison, et qui disparaît à la maturité des fruits.
Van Mons, qui s'est particulièrement occupé de l'analyse du rhus radicans, y atrouvé du<center>PRÉPARATIONS PHARMACEUTIQUES ET DOSES.tannin, de l'acide acétique, un peu de gomme, un peu de résine, de la chlo-rophylle, un principe hydrocarboné. La matière hydrocarbonée serait, suivant cet obser-vateur, là partie acre et vénéneuse de la plante. Van Mons ne parle pas de la matièrequi existe dans les feuilles, qui devient noire à l'air, et que l'acide nitrique ou le chlorefait également passer au noir. Le suc exprimé se couvre à l'air de pellicules formées parla même altération, résultat d'une véritable oxydation. Il paraît que cet effet cesse de semanifester dans la plante sèche. (Ce suc, qui se dessèche et noircit aux points de sec-lion des branches, est luisant, rappelle la fausse gomme copale, produit d'une espèceaméricaine (rhus copallinum), et pourrait être utilisé de même, en ayant soin de l'ex-traire en novembre, époque où le suc n'est plus vénéneux.)</center>
PRÉPARATIONS PHARMACEUTIQUES ET DOSES.
{|align="center"| style="padding:0.5em; width:300px; text-align:left; border-right: solid 1px black;" | A L'IHTÉHIEOUINTÉRIEUR.— Infusion, 1 à 2 gr. par 150d'eau bouillante.<br \>Extrait aqueux, de 30 centigr. à 1 gr., trois ou quatre fois par jour, et progressivement de 4 et 8 gr. chaque fois. (Cette préparation doit être faite avec la plante fraîche.)<br \>Sirop (2 de teinture sur 7 d'eau et 25 de sucre), de 15 à 30 gr., en potion.<br \>Teinture, 4 à 10 gouttes dans 60 gr. d'eau| style="padding:0.5em; width:300px; text-align:left;" | distillée, à prendre par cuillerées à thé plusieurs fois par jour, progressivement jusqu'à 30 gouttes.<br \>(Alcoolature : doses moitié moindres que la teinture ; car, faite avec parties égales d'alcool et de feuilles fraîches triturées, elle contient un principe âcre, mais fugace.)<br \>Poudre, 6 décigr. par jour en plusieurs prises. (Bréra.)|}
Estait aqueux, de 30 centigr. à 1 gr., trois
ou quatre fois par jour, et progressivement
de 4 et 8 gr. chaque fois. (Cette prépara-
tion doit être faite avec la plante fraîche.)
-Sirop (2, de teinture sur 7 d'eau et 25 de su-
cre), de 15 à 30 gr., en potion.
TeintureLe résultat de l'absorption des émanations du sumac a lieu au bout de peu d'heures, et parfois après plusieurs jours seulement ; il consiste en démangeaisons, gonflement, rougeur, douleur et pustules plus ou moins vésiculeuses sur la région qui a été en contact avec les parties du végétal, et même, comme nous l'avons déjà dit, sur celles où il n'y a eu nul attouchement, comme le visage, le scrotum, les paupières, etc. Cet état est ordinairement accompagné de fièvre, de malaise, d'oppression. Fontana ayant touché, 4 à io gouttes dans 60 grtrois reprises différentes, quoique à plusieurs jours d'intervalle, les feuilles du rhus toxicodendron, éprouva quatre à six jours après un érysipèle à la face, sur la main, qui dura quinze jours. On cite un cas mortel<ref>''Bibliothèque médicale'', t. XXXVI, p. 395.</ref> par suite d'eauattouchement des parties sexuelles, après avoir manié des rameaux de ce végétal. Cependant, Double<ref>''Journal de médecine et de chirurgie pratiques'', t. III, p. 278.</ref>, ainsi que d'autres médecins, s'est frotté les poignets et les bras avec le suc de rhus radicans sans en éprouver le moindre malaise. Versé sur la peau, le suc des feuilles la noircit comme le ferait un
distillée, à prendre par cuillerées à thé plu-sieurs fois par jour, progressivement jus-qu'à 30 gouttes.____________________
(Alcoolature : doses moitié moindres que lateinture ; car, faite avec parties égales d'al-cool et de feuilles fraîches triturées, ellecontient un principe acre, mais fugace.)<references/>
Poudre, 6 décigr. par jour en plusieurs prises.
(Bréra.)
Le résultat de l'absorption des émanations du sumac a lieu au bout de peudheures, et parfois après plusieurs jours seulement; il consiste en déman-geaisons, gonflement, rougeur, douleur et pustules plus ou moins vésiculeusessurlarégion qui a été en contact avec les parties du végétal, et même, comme"pus l'avons déjà dit, sur celles où il n'y a eu nul attouchement, comme leWage, le scrotum, les paupières, etc. Cet état est ordinairement accompa-?T de fièvre, de malaise, d'oppression. Fontana ayant touché, à trois re-prises différentes, quoique à plusieurs jours d'intervalle, les feuilles du rhustsicodendron, éprouva quatre à six jours après un érysipèle à la face, surla.mam, qui dura quinze jours. On cite un cas mortel (1) par suite d'attou-™ePient des parties sexuelles, après avoir manié des rameaux de ce végé-W- Cependant, Double (2), ainsi que d'autres médecins, s'est frotté les poi-Wsetles bras avec le suc de rhus radicans sans en éprouver le moindre[1034]
laise- Versé sur caustique, mais sans causer d'autre accident. Fontana<ref>''Traité du venin de la peauvipère'', le t. II, p. 160.</ref> a vu ce suc des feuilles la noircit comme ne produire aucun effet sur le ferait untissu cellulaire de plusieurs animaux, ni même en le leur faisant avaler, et Boulon (''in'' Alibert) se l'est inoculé impunément. Bulliard<ref>''Plantes vénéneuses'', p. 334.</ref> dit en avoir mâché sans inconvénient.
g) Bibliothèque médicale(Du reste, t. XXXVI, p. 395les inégalités d'action du sumac tiennent au moment de l'année où on observe et aussi aux dispositions individuelles inconnues où se trouvent les organismes sur lesquels ce poison agit.)
1 D' mml & médecine et après Orflla<ref>''Traité de chirurgie pratiquestoxicologie'', 5e édit., t. IIIII, p. 278132.downloadModeText</ref>, la plante ingérée enflamme le tissu de l'estomac ; un chien est mort vingt-neuf heures après avoir avalé 16 gr.vuede son extrait aqueux ; on trouva l'estomac enflammé : 12 gr. de poudre sèche n'avaient produit aucun effet.download 1063 sur 1308
Les observations de Fontana, Gouan, Amoureux, Van Mons, et les expériences d'Orflla, tendent à prouver : 1° que la partie la plus active du rhus toxicodendron est celle qui se dégage à l'état de gaz lorsqu'il ne reçoit pas les rayons directs du soleil ; 2° qu'elle agit comme les poisons âcres ; 3° que l'extrait aqueux de cette plante, administré à l'intérieur ou appliqué sur le tissu cellulaire, détermine une irritation locale suivie d'une inflammation
plus ou moins intense, et qu'il exerce une action stupéfiante sur le système nerveux après avoir été absorbé ; 4° qu'il paraît agir de la même manière quand il a été injecté dans la veine jugulaire.
103Zi SUMAC VÉNÉNEUX(A dose thérapeutique, l'estomac est très-légèrement excité, les urines et la transpiration deviennent un peu plus abondantes.Dufresnoy a observé que les malades, après un certain temps de l'usage des préparations de sumac, étaient plus gais, plus satisfaits des autres et d'eux-mêmes.)
caustiqueSelon Trousseau et Pidoux, mais sans causer il ne résulte de son administration aucun inconvénient ; les fonctions digestives ne sont pas troublées, et elles acquièrent au contraire plus d'autre accidentactivité. Fontana (1) a vu ce suc Ils ajoutent qu'il neproduire se manifeste aucun effet sur le tissu cellulaire phénomène nerveux, si ce n'est quelquefois un spasme de plusieurs animauxla vessie, ni mêmequi fait éprouver aux malades un besoin fréquent d'uriner, une sorte de ténesme vésical ; mais cet inconvénient cède promptement à l'emploi de lavements et de bains généraux. Toutefois, il ne faut jamais, sans précaution, ainsi queen le leur faisant avalerfait judicieusement remarquer Giacomini, et Boulon (in Alibert) se permettre de prescrire une forte dose d'extrait tiré d'une plante vénéneuse, malgré l'est inoculé impunémentBulliard (2) dit en avoir mâché sans inconvénientinefficacité des doses ordinaires indiquées dans les bons traités de thérapeutique.
(Du resteDufresnoy, les inégalités d'action du sumac tiennent au moment professeur de botanique à Valenciennes, publia en 1788 des guérisons de paralysies, soit récentes, soit anciennes, par l'an-née où on observe usage de cette plante. Depuis cette époque, Van Baerlen, Rumpel, à Bruxelles ; Poutingon et aussi aux dispositions individuelles inconnues où setrouvent les organismes sur lesquels Gouan, à Montpellier ; Alderson, Kellie et Duncan, en Angleterre, ont employé ce poison agitvégétal avec succès, surtout dans le traitement de la paralysie des membres inférieurs. Givesius<ref>''Bulletin des sciences médicales de Férussac'', 1825, t. VI, p. 98.</ref> dit avoir guéri par ce moyen quatre malades sur cinq. Il est à remarquer que c'est particulièrement dans les cas où cette maladie est due à la débilité générale, au rhumatisme ou à la goutte, et non lorsqu'elle est le résultat d'une lésion cérébrale apoplectique.)
DBretonneau<ref>''Revue de thérapeutique médico-chirurgicale''après Orflla (3), la plante ingérée enflamme le tissu t. I, p. 91.</ref> assure avoir retiré de bons résultats de l'estomac■ unchien est mort vingt-neuf heures après avoir avalé 16 gremploi du rhus radicans dans les paralysies consécutives à des commotions traumatiques de la moelle épinière ou à des affections n'entraînant pas de lésion organique. Ce médecin se sert de son l'extraitaqueux; préparé avec le suc non dépuré de la plante. On met les feuilles mondées dans un mortier de marbre, et on trouva lles pile avec un pilon de bois, en y ajoutant une petite quantité d'estomac enflammé : 12 greau. On exprime et l'on évapore le suc en couches minces sur des assiettes, à la chaleur de poudre sèche nl'avaientproduit aucun effetétuve.Le
Les observations de Fontana, Gouan, Amoureux, Van Mons, et les expé-riences d'Orflla, tendent à prouver : 1° que. la partie la plus active du rhustoxicodendron est celle qui se dégage à l'état de gaz lorsqu'il ne reçoit pasles rayons directs du soleil; 2° qu'elle agit comme les poisons acres; 3°quel'extrait aqueux de cette plante, administré à l'intérieur ou appliqué sur letissu cellulaire, détermine une irritation locale suivie d'une inflammationplus ou moins intense, et qu'il exerce une action stupéfiante sur le systèmenerveux après avoir été absorbé; 4° qu'il paraît agir de la même manièrequand il a été injecté dans la veine jugulaire.____________________
(A dose thérapeutique, l'estomac est très-légèrement excité, les urines etla transpiration deviennent un peu plus abondantes. Dufresnoy a observéque les malades, après un certain temps de l'usage des préparations de su-mac, étaient plus gais, plus satisfaits des autres et d'eux-mêmes.)<references/>
Selon Trousseau et Pidoux, il ne résulte de son administration aucun in-
convénient; les fonctions digestives ne sont pas troublées, et elles acquiè-
rent au contraire plus d'activité. Ils ajoutent qu'il ne se manifeste aucun
phénomène nerveux, si ce n'est quelquefois un spasme de la vessie, qui fait
éprouver aux malades un besoin fréquent d'uriner, une sorte de ténesme
vésical; mais cet inconvénient cède promptement à l'emploi de lavements
et de bains généraux. Toutefois, il ne faut jamais, sans précaution, ainsi que
le fait judicieusement remarquer Giacomini, se permettre de prescrire une
forte dose d'extrait tiré d'une plante vénéneuse, malgré l'inefficacité des
closes ordinaires indiquées dans les bons traités de thérapeutique.
Dufresnoy, professeur de botanique à Valenciennes, publia en 1788 desguérisons de paralysies, soit récentes, soit anciennes, par l'usage de cetteplante. Depuis cette époque, Van Baerlen, Rumpel, à Bruxelles; Poutingonet Gouan, à Montpellier; Alderson, Kellie et Duncan, en Angleterre, ontemployé ce végétal avec succès, surtout dans le traitement de la paralysiedes membres inférieurs. Givesius (4) dit avoir guéri par ce moyen quatremalades sur cinq. Il est à remarquer que c'est particulièrement dans les casoù cette maladie est due à la débilité générale, au rhumatisme ou à lagoutte, et non lorsqu'elle est le résultat d'une lésion cérébrale apoplec-tique. Bretonneau (S) assure avoir retiré de bons résultats de l'emploi du rhusradicans dans les paralysies consécutives à des commotions traumaliques dela moelle épinière ou à des affections n'entraînant pas de lésion organique.Ce médecin se sert de l'extrait préparé avec le suc non dépuré de la plante.On met les feuilles mondées dans un mortier de marbre, et on les pue avecun pilon de bois, en y ajoutant une petite quantité d'eau. On exprime et ionévapore le suc en couches minces sur des assiettes, à la chaleur de l'étuve. i (1) Traité du venin de la vipère, t. II, p. 160. (2) Plantes vénéneuses, p. 334. (3) Traité de toxicologie, 5e édit., t. II, p. 132. (4) Bulletin des sciences médicales de Férussac, 1825, t. VI, p. 98. (5) Revue de thérapeutique médico-chirurgicale, t. I, p. 91.downloadModeText.vue.download 1064 sur 1308 SUMAC VENENEUX. [1035]
mélangé de S gr. de cet extrait avec quantité suffisante de poudre inerte,
m compte-rendu de la Société médicale de Chambéry.
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(3) Journal de la littérature étrangère, t. XI, p. 222.
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<references/>