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|nomcourtsuivant=Campanule

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le quinquina de cette époque. Dioscoride recommande la poudre des fleurs

(1) ''American Journal of Pharmacy'', IX, p. 384.

morbides, les appliquer à propos, et en continuer l'usage assez

(1) ''Medic. ægypt.'', lib. IV, p. 315.

aussi comme véhicule de liniments calmants, antispasmodiques, camphrés,

(l) ''Bulletin de la Société médicale de Poitiers'', 1858.

trouvé de l'infusion de cette plante dans des pneumatoses des voies digestives

qui avaient résisté pendant longtemps à tous les remèdes appropriés.

'''CAMOMILLE des champs'''. (''Anthemis arvensis'', L.) Cette camomille exhale une odeur moins forte, mais elle a une amertume prononcée. D'après plusieurs observations recueillies à la campagne. Roques n'hésite pas à l'admettre au rang de nos fébrifuges indigènes. Tournon (1) a guéri un bon nombre de fièvres intermittentes avec la camomille des champs. On la substitue souvent à la matricaire.

(1) ''Flore de Toulouse''.

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'''CAMOMILLE des teinturiers''', œil-de-boeuf. (''Anthemis tinctoria'', L.) — Elle est rarement mise en usage, quoiqu'elle ait des propriétés analogues à celles des espèces précédentes. Elle fournit à la teinture une couleur jaune.

'''CAMOMILLE commune''' ou d'Allemagne. (''Matricaria chamomilla'', L.) Voyez l'art. Matricaire.

[[Catégorie:Cazin 1868]]