<center>LE BEDEGAR.</center>
*1. — II pousse souvent sur Téglantier l'églantier une excroissance <sup>(^1) </sup> qui ressemble à*un nid d*oiseau <sup>(^2) </sup> ou à une éponge, qui est due à un insecte appelé*cynips <sup>(3)</sup>. Elle est appelée :*bedeguard, lat. du 15« s., De Bosco, Luminare majus, 1496, f^ 58, verso.*(De l'arabe beda-ouard = vent de la rose, rose venteuse.)
*bedegar, bedegaris, bedegarium, redargar, 1. du m. â., Diefenbach.
**0____________________ (1) C'est Due une excroissance ou galle dével:ppée sur les rosiers sauvages, par la piqûre d'on*insecte du genre cynips (cynips rosse, L.).Ëlle est spongieuse et remplie de cellules intérieu-*rementintérieurement, irrégalièrement arrondie, de la grosseur du pouce, recouverte d'une espèce de*mousse ou de bourre très serrée ; sa couleur est verte mélangée de rouge. Sa saveur est*austère. Cette production végétale a été autrefois employée en médecine i les auteurs anciens*la plaçaient parmi les médicaments propres à dissoudre les calculs urinaires ; on l'a égale-*ment également administrée comme un puissant vermifuge. Mais aujourd'hui on ne l'emploie plus, si*ce n'est quelquefois comme un léger astringent. A. Richard.*Ne pas confondre ce bedegar avec un autre bedegar également employé en médecine et qui*est une espèce de chardon.*(2) J'ai va des enfants déchirer leurs vêtements et se donner bien du mal pour prendre*ce nid»nid. *(3) Vespa rotea, lat.. , dans Ephemerides naturae curiosorum, 46831683. p. 30.**ROSA CANINA [245]*
*bodegar, 1. du m. â., Du Gange.
*bodogar, 1. du m. à., Mone, Quell. d. teutsch. Lit., 1830, p. 285.
*bedeguar officinarum, spongta bedeguaris, spongiola sylvestris rosae, 1. du*i616* s., Ephemer, naturae curios.y 1683, p. 3i.
*cornu bedeguar^ cornu cynosbati^ 1. du 16« s., Ardoino.
*spondogos^ spongia, 1. du 4* s. ap. J., Marcellds Empiricus.
*bedegar^ m., français, Fdretiére, 1708. — Montpellier, Plancron.
*bédégua, m., français, Lelieur, Cultm'e du rosier, 1811, p. 47.
*éponge de bedegar, f., franc., De Blegny, Secrets, II, 1688, p. 396 et*p. 469.
*esponge d*anglantiery franc., Lespleigney, 1537.
*esponge de Véglantier sauvage^ f., franc. J. Fontaine, 1612.
*éponge du rosier, éponge du rosier sauvage^ franc., De Blegny, Secrets, 1688.
*esponge, f., franc., Joseph du Chesne, Pharmacopée^ 1629, p. 429.
*esponge esglantiney f., anc. fr., Bretonnayau, Générât, de l'homme, 1583,*f«^ 139, r\
*espongette de rosier sauvage, f., franc., Duez, 1664.
*espongette, f., franc, du 16" s., L. Fuchs, Commentaires,
*éponge, f., Izé (Mayenne), r. p. — Authon (Eure-et-Loir), r. p.
*pomme d'églantier, f., français, Louyse Bourgeois, Recueil des secrets,*1635 ; FÉRAUD.
*pomme d'arliantin, f., Deux-Sèvres, Souche, Croyances,
*pomme de rose, f., Bléneau (Yonne), r. p.
*bëtchino, f. (= petite vesse), Bourg-Lastic (Puy-de-D.), r. p.
*bâbe do bon Dju, f. (= barbe de bon Dieu), Spa, Lezaagk. [Ainsi appelée
*parce que cette excroissance est rousse comme la barbe du Ghrist.]*c. p. M. J. Feller.*noû dé roumélo ovaro, f., Le Buisson (Dordogne), r. p. [Les enfants en*mangent l'intérieur.]**[246 ROSA DOMESTICA]*
*spugna di rosôf italien.
*spoTisa di rosi, sicilien, Mortillaro.
*manna, milanais, Gherdbini.
*rosenschwamm, schlafkume, schlafapfel^ rosenapfel, aMeaidoid. (On croit que*le bédégar mis sous Toreiller l'oreiller d*un enfant le fait dormir profondément.)
*roseniopfj Carinthie, Zwanziger.
*Herrgottskisseny Eifel, Wirtgen.
*Robin Redbreast's cushion (= oreiller de Robin Rouge-gorge), West Sussex,*Latham» p. 38.* 2. — « On s'en sert dans les églises comme de goupillon. » Italie, De Bosco,*Luminare majus, 1496, ^ 58, verso.* 3. — (( Ceux qui se font des fouets emmanchent quelquefois cette excrois-*sance excroissance au dessus de la poignée comme ornement, mais c*est difficile*à réussir parce que le bédégar crève souvent. » Glerval (Doubs), r. p.* 4. — <( Quand un enfant a des coliques il faut mettre dans ses langes de*la mousse d'églantier. » Bessiéres, p. 37. — Si vous trouvez, sans la*chercher, une pomme d'églantier^ mettez-la dans votre poche, elle*vous préservera du mal de dents. » Env. de Pamproux (Deux-Sèvres),*B. Souche, Croyances ; Indre, c. p. M. A. Ponroy. — « Porter de la*mousse d'églantier sur soi, sans le savoir, préserve du mal de dents. »*Montargis (Loiret), r. p. — Porter cette mousse sur soi, dans sa poche,*préserve des hémorrhoïdes. » Suisse, Savoy. — « Porter sur soi de la*mousse tl'églantier porte bonheur. » Loiret, r. p.*ROSA DOMESTICA == ''Rosa domestica'' == <center>'''''Rosa domestica''. (Linné). - LE ROSIER.'''</center> *1. — Noms de Tarbuste l'arbuste :
*rosarium, rosetum, lat. de Varron, l»»" s. avant J.-C.
*ro%er, anc. prov., P. Meyer, Chans. de la crois, contre les Alb., 1875,*p. 438.
*arrouiéy\ m., La Teste (Gironde), Moureau.
*arrouzè, m., Gers, Cénac. — Chalosse (Landes), c. p. M. J. de Lapor-*terieLaporterie. — Labouheyre (Landes), c. p. M. F. Arnaudin. — Béam,*Lespy. — Arrens (Hautes-Pyr.), c. p. M. M. Camélat.
*rougiè, m., Thérondels (Aveyron), r. p.
*rougè^ m., Martigny (Valais), r. p.
*ràgîy m., Boyeux, Corlier (Ain), Ann. de la soc. d'émul. de VAin, 1885,*p. 77.**ROSA DOMESTICA gif[247]
*rougU m., Vaudioux (Jura), Thévenin.
*rôgé, m., Jujurieux (Ain), Philipon.
*ro%liy m., wallon, Poederlé.
*réaôrté, m., mentonais, Andrews.
*tradafiUié, m., français de Chypre en 1468, Gaudry, Htch. scient, en*Onen/, 1855, p. 175. (Du grec du moyen âge rptavTà^'j/Xiïv «om de cet*arbuste.)* 2. — Noms de la fleur :
*rosa, f., roso, f., midi de la France.
*roscy f., français.
*rou%a, f., Bas-Valais, Gilliéron. — Nantua (Ain), Ann. 4e ta toc. (tém«L*de VAin, 1885, p. 81.*rô%a, f., Rosières-aux-Salines (Meurthe), r. p. (Sic malgré l*étraiiget(? de la*finale.)
*rcûta, f., Groissiat (Ain), ilnn. de la soc, d'émul. de l'Ain, iWi, p. 81- — Coligny (Ain), Clédat.
*roou%ay f., Saint-Maurice-de-l'Exil (Isère), Rev. d. l. rom., IH5)7, p. 85.
*roîiozo, f., Lot, Mém. de la Soc. de Ling., III, 166.
*rouëie, f., Xertigny (Vosges), r. p.
*ràsse, f., Hesdin, DainvilUe (P.-de-C.). r. p. — Samer (Pas-de^C), c. p.*M. B. de Kerhervé. — Somme, Ledieu. — Pouilly (Nièvre), r. p.
*rousse f f., Palaiseau (Seine-et-Oise), r. p.
*arrôi', f., Landes, Beaurr. — La Teste (Gir.), Modread. — Béarn, Lespy.
*roda, f., Luchon, Sacaze.
*réwra, f., mentonais, Andrews.
*Nous ne jugeons pas utile de donner toutes les formes dialectales du mot rose.* 3. — Un endroit planté de rosiers et appelé :
*roMréda, f., Montpellier, Armanac mountpelieirenc, 1895, p, 7i.
*roseraye, f., franc., Furet., 1708.
*arrouiaray f., Arrens (Hautes-Pyr.), c. p. M. M. Cahélat.
* 4-,— On appelle onglet la partie blanche de la feuille de la fliïur qtiî est la*plus proche de la queue. » Furetiére, 1708.**[248 ROSA DOMESTICA]**5.— « Rosée = plat sucré fait avec des feuilles de rose. » Ancien franc. d'An-*gleterreAngleterre, P. Meyer (dans BulL delà Soc. des anc. textes, 1893, p. 52).* 6.— « Le teint de cette fille ! figurez-vous du tait où l'on eût effeuillé des*roses ! » L...., Les héros subalternes, 1749, !'• partie, p. 73.* 7. — Une couleur spéciale est celle de la rose quand elle est desséchée : u Un*velours rose seiche. » franc, de 1599, Laborde, Gloss. du m. a.;, 1872,*p. 229. — « Le bleu et le demi rouge cramoisi composent la rose*sèche. » Savary, 1741.* 8. — ( Vous perdez en moy la plus belle rose de vostre chappeau. » franc,*de 1461, Laborde, Gloss. du m. d., 1872, p. 207. « Une femme*qui avait perdu son mari disait ; fat perdu la plus belle rose de*mon rosier. » Paris, r. p. — « C*est la plus belle rose de notre*bonnet. » Théâtre ital, 1695, p. 19. — « Elle a perdu la plus belle*rose de son chapeau, se dit d'une fille qui a perdu sa virginité. »*Furet , 1708. — « Avoir la rose d'une fille, cueillir sa rose = avoir sa*virginité. » 18® siècle, Restif de la Bretonne, Œuvres, passim.*« Tu n'auras pas ma rose, locution de refus. » Galette des trib.y 6 oct.*1831. — « On prétecelte prête cette locution aux jeunes filles soucieuses de garder*leur virginité. » Marne, c. p. M. £. Maussenet.* 9. — « Etre couché sur des roses, marcher sur des roses = être riche et*heureux, n'avoir pas de difficultés. f> Richelet, 1710. — « Danser*sur des ro^es = être content. » Brisebarre, La vache enragée, comé-*diecomédie. — « Tout cela n'est que des roses au regard de... » Facecieux*Reveille-matin, 1679, p. 139. — « Bon ! ce ne sont là que des roses !*J'ons bien entendu d'autres choses ! » Le vrai recueil de Sarcelles,*1764, 1, 67. — a Ce n'est plus que roses = tout est facile maintenant. »*Furetiére, 1708. — « Tout n'est pas roses dans ce métier. » Langlé,*Un tour en Europe, comédie, 1830, p. 29.*« Ce n'est pas tout roses et tout violettes == il y a des avantages mêlés*avec des ennuis et des difficultés. » Saint-Pol (Pas-de-C), c. p. M. Ed-*Edmont.*« Les espines sont près des roses. » anc. fr., A. Keller, Romvart, p. 368.— « Après les épines on cueille les roses = après les difficultés arrive*le succès. » Richet, 1710. — « Ne soyez pas trop hastif en jugement*d'aucune chose car les roses flestrissent mais les espines demeurent**ROSA DOMESTICA 245*[249] *encores (après) piquantes en leur estre. » J. Wodroépbe, IHûrrow of*the french tangue, 1625, p. 228.*tt G« C'estoient de grandes espines parmy ces roses = de grands ctutgrins*parmi de grandes joies. » D'âudiguier, Histoire irage-comique, 1634^*p. 327. — « Jusques là ils n'avoient senty pas une dus amertumes de*Tamour et n*en a voient eu que les douceurs ot les roses- i> YùiîLrRE,*Œuvres, 1691, II, 193.*<c « II se cueille plus d*espines que de roses au jardin des courttsans. d*Sully cité par Littré.*(( « Il ne vient pas de roses sur les chardons. » Nacnur. La Marmite^*10 janv. 1896. » — « Autant vaudrait cheichcr dcB roses dans un*buisson de houx. » Ricard, Le tapajeur, romatu — « Comparer La*rose au pavot = comparer des choses qui ne sont pas comparable», »*FURETIÈRE, 1708.*« Chd que sterstet na reûza Treuvet sovè na beûsa ^ celui qui cherche*une rose, trouve souvent une bouse \ ; dans îe marimje le mariage il ne faut pas*trop chercher la perfection. » Albertville (Savoie), Eraciiët.* 10. — « Descouvrir le pot aux roses = découvrir le m*jstér^t le secret. »*DuEZ, 1664.* 11. — « Rose sent bon et verte et sèche. » Baïf, 16' s., értit. Blanchemain**1880, I, 79.* 12. — « Toutes odeurs ne sont pas des odeurs de rose, js Daire, Alman. permet. ^*1774, p. 25. — On dit couramment aujourd'hui d'un objet Je mau-*vaise mauvaise odeur : ça ne sent pas la rose. — « Un Élron est une ro&e pour*celui qui Taime. » Hautes-Pyr., Bourdette, Prov.* 13. — « Frais comme les roses à Noël, se dit par dérision. » Paria, r. p** 14. — «La filla es couma la rousa Es bella quand es ertcLaouaa == Ea flllc est*comme la rose, elle est belle quand elle e^t enfermée {(réservée) ,*Lunel (Hérault), c. p. M. Ë. Pintard.* 15. — Ce qui est charmant, c'est :*::« Solelhs de mars, ombra d'estiu,*::Roza de mai, ploja d'abriu. » anc. prov. , Levï, I, 8,**[250 ROSA DOMESTICA]**16. — « Quand les roses pourrissent à la suite de pluies successives, on peut*être assuré d'avoir beaucoup de blé germé ». Ramecourt (Pas-de-C),*c. p. M. Ed. Edmont.* 17. — « // Il est logé aux rosiers y , il plante des rosiers = il est mal dans ses*affaires, il fait des dettes ; emprunter c*'est la rose, rendre ce sont*les épines. » Anjou au l?» s., De Soland, Bulletin de VAnjoUy I, 29.— « Un rosier = un compte à crédit. » Pays wallon, Viluers cité*par Gramdgagnage. — « Laisser ou mettre un beau rosier = faire un*compte à crédit qui ne sera pas payé. » Belgique wallonne, c. p. M. J.*Feller. — « Planter un rosier = faire une dette. » argot, Bruant, 1901 .* 18. — « Lorsqu'une rose reste seule sur sa tige et qu'elle est tournée ou pen-*chée penchée vers la maison, on croit que l'un des habitants doit bientôt mou-*rirmourir. » Du MÈGE, Statist. des dép. pyrén.y II, 276. — « Quan era*roso d'et cazaou S'enclino dé cap at oustaou MéAdet! A *ra porto*era mour que hè : gnaou ! = Quand la rose du jardin sHncline du*côté de la maisony méfie-toi, à la porte la mort fait miaou ! comme*le chat pour appeler. » Vallée du Lavedan, E. Gordier, Dial. du L.,*1878.* 19. — « Quand le tonnerre gronde on brûle des roses bénies à la Fête-Dieu*pour être préservé de la foudre. » Ghauvelot, Scènes de la vie de*campagne, roman bourguignon, 1861, p. 68. — « Pendant l'octave*de la Fête-Dieu, au salut du Très-Saint-Sacrement les fidèles dépo-*sent déposent sur Tautel des petits bouquets de boutons de roses Le prêtre*les fait toucher à Tostensoir, et c'est une pieuse croyance que ces*bouquets conservés préservent de la foudre. » Laval (Mayenne), Soc.*d'agriculture d'Angers, 1896, p. 67. Get usage se retrouve un peu*partout.* 20. — i( Lorsque le cordon ombilical d'un nouveau-né se détache, gardez-vous*bien de le jeter au feu. L'enfant tomberait infailliblement lui-même*au feu un jour ou l'autre ; enterrez-le au pied d'un rosier pour*que le petit ait beau teint. » Laval (Mayenne), Soc. d'agric. d'AngerSy*1896, p. 75.*?! 21. — (( Si la veille de la S*-Jean-Baptiste, quand midi sonne, vous effeuillez*vos rosiers et vos groseilliers, ils fleuriront et produiront deux fois*dans l'année. » Ardennes, Meyrac, p. 184,**I'*s- ♦■**ROSA DOMESTICA [251]**22. — Langage des fleurs. — « La rose symbolise la difficulté (^). » Legrand,*Leroy de Cocagne, comédie, 1718. — a Comme mai la rose symbolise*la passion brûlante. » Avesnes (Nord), Pierart, Guide. — « Roûze,*Présent du cour {cœur). » Pays wall., Scmertier (dans Walloma, 1899,*p. 24.) — « Ine foye de rouze, Dji n*éhale persoune = un pétale de*rosCy je vC encombre j je nHmportvne personne. » Idem. — « La rose*blanche symbolise l'innocence. » Marie***. — « La rose blanche*indique que la jeune fille est sans tache, » Semertier (dans Y^allonia^*1899, p. 23). — <c Offrir un bouquet de roses routes à une jeune fille est*une insolence. » Paris, r. p. — Dans l'ouvrage de La Feuille, Devises^*1693, des gravures représentant des roses ont la signification suivante :*« Un bouton de rose fermé = mon odeur deviendra douce. » « Une rose*à cent-feuilles = beauté de peu de durée {^). » « Une rose accompagnée*d'un lys = pureté et candeur. » « Une rose à côté d'un ail = mon*odeur en est plus douce. » « Une rose dans un vase plein d^eau =je*vis dans les larmes. »* 23. — a La rose blanche est bénie depuis que la Vierge Mère Tarrosa l'arrosa de son*lait. Marie cultivait un pied de roses rouges. Un jour Teau l'eau vint à*manquer; des voisins en apportèrent, mais Joseph, altéré par la fièvre,*la but. Les roses desséchèrent et Tenfant l'enfant Jésus qui avait coutume de*s'en amuser, se mit à pleurer en les voyant en cet état. Alors, Marie*laissa tomber une goutte de son lait sur les roses flétries qui reprirent*vie et devinrent toutes blanches. » Gascogne^ Rev. de Gascogne, 1883,*p. 78.* 24. — Bibliographie. On trouvera sur la rose des renseignements intéressants*dans :
*RoSENBERG (J. G.), Rhodologia seu philosophico-medica rosae descriptio,
*Francof., 1631, in-12, 404 pages.
*JoRET (Gh.), La rose dans V antiquité et au moyen-Age^ Paris, 1892, in-8.
*Blondel (R. E.), Les produits odorants des rosiers, Paris, in-4% 1889.
*Annales de la société archéolog. de Bruxelles, 1893, p. 234-240. (La*rose dans l'Héraldique.)*TixiER, Dictionn. d'orfèvrerie, 1857, p. 1335. (La rose d'or décernée par*le pape à un roi ou à un grand personnage.)
*Mélusine, III, col. 347. (Rosières en Bretagne.)
**____________________ (*1) A cause des épines.*(2) « n y a toujours dans cette rose une tendance à se flétrir, à cause du tissu faible et
*mince de ses folioles, n Siringb, Mélanges botaniques, 1818, 1, 25.
**[252 ROSA GALLICA OFFICINALIS]**ROSA GALLICA== ''Rosa gallica'' == ''Rosa gallica''. (Linné). —LA ROSE DE PROVINS.
*c( Le jardinage faisait partie des amusemens du roi René. C'est lui, dit-
*on, qui fit apporter en France les œillets de Provence, les roses de