Androcymbium gramineum : Différence entre versions

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Pour PARIS et DILLEMAN (1960) et PARIS et MOYSE (1967), cette Liliacée à alcaloïde renferme de la colchicine en quantité voi­sine, mais inférieure, à celle des organes de ''Colchicum''.
 
Pour PARIS et DILLEMAN (1960) et PARIS et MOYSE (1967), cette Liliacée à alcaloïde renferme de la colchicine en quantité voi­sine, mais inférieure, à celle des organes de ''Colchicum''.
 
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Version actuelle en date du 13 février 2020 à 22:08

Androcymbium gramineum
(Cav.) J. F. Macbr.

alt=Description de l'image Image non disponible.JPG.
Ordre Liliales
Famille Colchicaceae
Genre Androcymbium

2n =

Origine :

sauvage et cultivé

Français
Anglais


Résumé des usages
  • toxique
  • médicinal


Description

Noms populaires

Classification

Androcymbium gramineum (Cav.) J. F. Macbr. (1918)

basionyme :

  • Melanthium gramineum Cav. (1801)


Cultivars

Histoire

Usages

S'il est rapporté un emploi médicinal pour l'espèce, elle est cependant surtout réputée pour sa toxicité.

En Libye, KOTOB HUSSEIN (1979) indique cette Liliacée comme étant utilisée dans le traitement de la goutte.

La toxicité de cette espèce, riche en colchicine, se manifeste par une forte mortalité, aux premières pluies d'automne, dans les troupeaux ovins parcourant les pâturages sahariens où elle existe (RODIER, 1956). Le même auteur cite les premiers travaux concernant cette espèce [1] et rapporte ses propres observations à l'autopsie des animaux, ainsi que les résultats de ses analyses confirmant la haute teneur en colchicine des fleurs, feuilles et bulbes de cette Liliacée.

Pour PARIS et DILLEMAN (1960) et PARIS et MOYSE (1967), cette Liliacée à alcaloïde renferme de la colchicine en quantité voi­sine, mais inférieure, à celle des organes de Colchicum.

  1. PERROT, E., 1936 - Une plante nouvelle à colchicine, le "lofout" Liliacée saharienne. Bull. Sciences Pharmacologiques mai, n° 5 : p. 257-258.

Références

Liens