Bouch derbendy (Ibn al-Baytar) : Différence entre versions

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*Ibn HEZARD,u\J!i,!j.Js yjl. C’est une plante que l’on triture en masse et que l’on emploie en collyres. On l’emploie aussi contre les inflammations. Elle est émolliente et rafraîchissante. Elle est utile contre la goutte aiguë sous forme d’embrocations. Elle est froide et sèche à la fin du premier degré.
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*Ibn Hezardar ,u\J!i,!j.Js yjl. C’est une plante que l’on triture en masse et que l’on emploie en collyres. On l’emploie aussi contre les inflammations. Elle est émolliente et rafraîchissante. Elle est utile contre la goutte aiguë sous forme d’embrocations. Elle est froide et sèche à la fin du premier degré.
 
*Ibn Rodhouàn. C’est le suc de la feuille d’un arbre de petite taille ressemblant à la feuille du henné. On prend cette feuille à l’état frais, on la broie, on en extrait le suc et on le fait sécher.
 
*Ibn Rodhouàn. C’est le suc de la feuille d’un arbre de petite taille ressemblant à la feuille du henné. On prend cette feuille à l’état frais, on la broie, on en extrait le suc et on le fait sécher.
 
*Razès, dans son Livre sur la Goutte. Le collyre dit el-khare:y isj/^, qui nous vient d’Arménie, employé avec de la morelle, est d’une grande efficacité contre la goutte.
 
*Razès, dans son Livre sur la Goutte. Le collyre dit el-khare:y isj/^, qui nous vient d’Arménie, employé avec de la morelle, est d’une grande efficacité contre la goutte.

Version actuelle en date du 27 février 2019 à 18:36

Bouzeidân
Ibn al-Bayṭār, Traité des simples
Boussîr


374 - Bouch derbendy.


Nom accepté : [[]]

[1-284]

  • Ibn Hezardar ,u\J!i,!j.Js yjl. C’est une plante que l’on triture en masse et que l’on emploie en collyres. On l’emploie aussi contre les inflammations. Elle est émolliente et rafraîchissante. Elle est utile contre la goutte aiguë sous forme d’embrocations. Elle est froide et sèche à la fin du premier degré.
  • Ibn Rodhouàn. C’est le suc de la feuille d’un arbre de petite taille ressemblant à la feuille du henné. On prend cette feuille à l’état frais, on la broie, on en extrait le suc et on le fait sécher.
  • Razès, dans son Livre sur la Goutte. Le collyre dit el-khare:y isj/^, qui nous vient d’Arménie, employé avec de la morelle, est d’une grande efficacité contre la goutte.
  • Avicenne. Il nous vient d’Arménie.