Sterculia oblonga (PROTA)

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Ressources végétales de l'Afrique tropicale
Introduction
Liste des espèces


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Répartition mondiale Fairytale bookmark gold.svgGood article star.svgGood article star.svgGood article star.svgGood article star.svg
Fruit Fairytale bookmark gold.svgGood article star.svgGood article star.svgGood article star.svgGood article star.svg
Médicinal Fairytale bookmark gold.svgGood article star.svgGood article star.svgGood article star.svgGood article star.svg
Bois d'œuvre Fairytale bookmark gold.svgFairytale bookmark gold.svgGood article star.svgGood article star.svgGood article star.svg
Fibre Fairytale bookmark gold.svgGood article star.svgGood article star.svgGood article star.svgGood article star.svg
Sécurité alimentaire Fairytale bookmark gold.svgGood article star.svgGood article star.svgGood article star.svgGood article star.svg
Statut de conservation Fairytale bookmark gold.svgFairytale bookmark gold.svgFairytale bookmark gold.svgGood article star.svgGood article star.svg


répartition en Afrique (sauvage)
1, base du fût ; 2, rameau en fleurs ; 3, partie de fruit. Redessiné et adapté par Achmad Satiri Nurhaman
bois
coupe transversale du bois
coupe tangentielle du bois

Sterculia oblonga Mast.


Protologue: Oliv., fl. Trop. Afr. 1: 216 (1868).
Famille: Sterculiaceae (APG: Malvaceae)
Nombre de chromosomes: 2n = 36

Synonymes

  • Eribroma oblonga (Mast.) Pierre ex A.Chev. (1917),
  • Sterculia elegantiflora Hutch. & Dalziel (1928).

Noms vernaculaires

  • Eyong (Fr).
  • Yellow sterculia, white sterculia (En).

Origine et répartition géographique

Sterculia oblonga est présent dans la zone forestière, depuis la Guinée et le Liberia jusqu’en Centrafrique, et vers le sud jusqu’au Gabon, au Congo et le nord de la R.D. du Congo.

Usages

Le bois (noms commerciaux : eyong, okoko, ohaa) est utilisé en Afrique de l’Ouest pour les revêtements de sol, les poutres, les planches et le mobilier. Il convient également à la construction, aux placages, au contreplaqué, aux châssis de véhicules, aux manches, aux articles de sport, aux jouets, aux ustensiles agricoles, aux panneaux durs et aux panneaux de particules.

Les graines se consomment. Au Cameroun, un mélange de pâte de feuilles et d’huile s’applique sur la poitrine des enfants en emplâtre pour soigner les douleurs thoraciques. Au Gabon, la décoction d’écorce se boit pour soigner les maux d’estomac aigus. L’écorce fibreuse des jeunes arbres sert de tissu d’écorce pour cloisonner les huttes.

Production et commerce international

Le Cameroun a exporté 40 550 m³ de grumes en 1997, 29 280 m³ en 2000, 5850 m³ en 2003, et 9750 m³ en 2004. En 2005, il en a exporté environ 8000 m³ à un prix moyen de US$ 217/m³ et en 2006 environ 14 000 m³ à US$ 485/m³. Les exportations camerounaises de bois sciés se sont élevées à 1120 m³ de juillet 2001 à juin 2002, 260 m³ en 2003, 190 m³ en 2004 et 110 m³ en 2006. En 2005, le Cameroun a exporté environ 1000 m³ de placages à un prix moyen de US$ 951/m³, et en 2006 de petites quantités de placages à un prix moyen de US$ 623/m³. Le Congo a exporté environ 900 m³ de grumes par an en 1967–1970, la Guinée équatoriale environ 3440 m³ de grumes par an en 1996–1998, et le Gabon en moyenne 3100 m³ par an en 2001–2005.

Propriétés

Le bois de cœur, jaune pâle veiné de blanc, ne se démarque pas nettement de l’aubier, large de 10–20 cm. Le fil est droit ou légèrement contrefil, le grain est moyen à relativement grossier. Les surfaces sciées sur quartier ont un joli dessin. Le bois est huileux au toucher et le bois frais dégage une odeur déplaisante.

C’est un bois de poids moyen à assez lourd, d’une densité de 680–840 kg/m³ à 12% d’humidité. Il sèche lentement à l’air et a tendance à gercer en surface, à se déformer ou à développer des fentes ou un effondrement. Les taux de retrait du bois vert à anhydre sont élevés : de 4,5–5,0% radialement et de 10,2–12,2% tangentiellement. Une fois sec, le bois est moyennement stable en service.

A 12% d’humidité, le module de rupture est de 91–153 N/mm², le module d’élasticité de 12 600–17 110 N/mm², la compression axiale de 49–67 N/mm², le cisaillement de 3–13 N/mm², le fendage de 12–18 N/mm et la dureté Janka de flanc de 4980 N.

Le bois se scie bien, avec un effet d’usure modéré sur les dents de scie. Il se travaille bien avec des machines-outils, mais plus difficilement avec un outillage à main. Un angle de coupe de 20° est recommandé pour le rabotage. La finition est difficile et un apprêt est nécessaire. La coloration et le polissage sont satisfaisants. Les propriétés de clouage et de vissage sont bonnes, mais les surfaces sciées sur quartier peuvent se fendre sous les clous. Le bois se colle bien. Les caractéristiques de déroulage et de tranchage sont bonnes. Les caractéristiques de cintrage à la vapeur sont moyennes.

Le bois n’est pas durable, étant sensible aux attaques de champignons, de foreurs du bois sec et de termites. L’aubier est sensible aux foreurs Lyctus. Le bois de cœur est extrêmement rebelle à l’imprégnation avec des produits de conservation, l’aubier est perméable. La composition chimique du bois anhydre est : cellulose 36,2–46,2%, furfurals 11,5–12,4%, pentosanes 19,8–21,2%, lignine 18, 2–22,7%, cendres 1,3–3,2%. La solubilité dans l’eau chaude est de 2,7–6,2%, dans l’alcool-benzène de 1,2–9,2% et dans une solution de NaOH à 1% de 16–23,5%.

Falsifications et succédanés

Le bois ressemble à celui de Pterygota et Amphimas spp.

Description

  • Arbre caducifolié, de taille moyenne à grande, atteignant 45 m de haut ; fût dépourvu de branches jusqu’à 21 m de haut, atteignant 150 cm de diamètre, droit, cylindrique, à contreforts atteignant 3,5 m de haut ; surface de l’écorce grisâtre, à petites écailles, écorce interne fibreuse, blanche à jaune, à stries orange, fortement résineuse, à odeur caractéristique ; cime étroite, branches verticillées.
  • Feuilles alternes, simples et entières ; stipules rapidement caduques ; pétiole de 2–7 cm de long ; limbe elliptique, de 6–15 cm × 3–8 cm, arrondi à obtus à la base, courtement acuminé à l’apex (à 3 pointes chez les gaules), à denses poils étoilés au-dessous à l’état jeune, pennatinervé à 10–14 paires de nervures latérales. Inflorescence : étroite panicule axillaire de 3–10 cm de long ; bractées lancéolées, poilues, d’environ 3 mm de long, caduques.
  • Fleurs unisexuées, régulières, 5-mères, ivoire à jaune verdâtre, d’environ 6 mm de long ; périanthe constitué de tépales libres, à poils étoilés à l’intérieur ; fleurs mâles à environ 10 anthères portées par une longue tige commune avec de longs poils dans la partie basale ; fleurs femelles à ovaire constitué de 5 carpelles réunis lâchement.
  • Fruit constitué de (4–)5 follicules ligneux de 10–15 cm de long, glabrescents, vert-jaune à jaune-brun, contenant de nombreuses graines.
  • Graines ovoïdes, comprimées, de 2–2,5 cm × environ 1 cm, à tégument charnu jaune vif.
  • Plantule à germination épigée.

Autres données botaniques

Le genre Sterculia est présent partout dans les régions tropicales et comprend environ 150 espèces, dont environ 25 en Afrique tropicale.

Anatomie

Description anatomique du bois (codes IAWA pour les bois feuillus) :

  • Cernes de croissance : 2 : limites de cernes indistinctes ou absentes.
  • Vaisseaux : 5 : bois à pores disséminés ; 13 : perforations simples ; 22 : ponctuations intervasculaires en quinconce ; 23 : ponctuations alternes (en quinconce) de forme polygonale ; 24 : ponctuations intervasculaires minuscules (très fines) ( 4μm) ; 25 : ponctuations intervasculaires fines (4–7 μm) ; 30 : ponctuations radiovasculaires avec des aréoles distinctes ; semblables aux ponctuations intervasculaires en forme et en taille dans toute la cellule du rayon ; 42 : diamètre tangentiel moyen du lumen des vaisseaux 100–200 μm ; 43 : diamètre tangentiel moyen du lumen des vaisseaux 200 μm ; 46 : 5 vaisseaux par millimètre carré.
  • Trachéides et fibres : 61 : fibres avec des ponctuations simples ou finement (étroitement) aréolées ; 66 : présence de fibres non cloisonnées ; 70 : fibres à parois très épaisses.
  • Parenchyme axial : 85 : parenchyme axial en bandes larges de plus de trois cellules ; 87 : parenchyme axial en réseau ; 92 : quatre (3–4) cellules par file verticale ; (93 : huit (5–8) cellules par file verticale).
  • Rayons : 98 : rayons couramment 4–10-sériés ; 99 : rayons larges couramment > 10-sériés ; 102 : hauteur des rayons > 1 mm ; (103 : rayons de deux tailles différentes) ; 107 : rayons composés de cellules couchées avec 2 à 4 rangées terminales de cellules dressées et/ou carrées ; 110 : présence de cellules bordantes ; 114 : 4 rayons par mm ; (115 : 4–12 rayons par mm).
  • Structure étagée : 120 : parenchyme axial et/ou éléments de vaisseaux étagés.
  • Inclusions minérales : 136 : présence de cristaux prismatiques ; 137 : cristaux prismatiques dans les cellules dressées et/ou carrées des rayons ; 141 : cristaux prismatiques dans les cellules non cloisonnées du parenchyme axial ; 142 : cristaux prismatiques dans les cellules cloisonnées du parenchyme axial ; 154 : plus d’un cristal approximativement de même taille par cellule ou par loge (dans les cellules cloisonnées).
(E. Uetimane, H. Beeckman & P.E. Gasson)

Croissance et développement

Sterculia oblonga est classé comme une essence de lumière non pionnière. Cela signifie qu’on trouve des semis complètement à l’ombre, mais les gaules ne poussent que dans les petites trouées de la canopée forestière. Au Ghana, l’accroissement moyen en hauteur est d’environ 30 cm pendant la première année, tandis que les arbres de 9 ans font 3–15 m de haut. Sous le couvert forestier en Guinée, des gaules ont atteint 50 cm de haut 1 an après la plantation et 125 cm de haut après 2 ans. En Côte d’Ivoire, des arbres ont montré un accroissement annuel moyen de diamètre de fût de 13 mm au cours des 14 premières années après la plantation. En Centrafrique, l’accroissement annuel moyen en diamètre était de 1,7–7,3 mm pour des arbres d’environ 25 cm de diamètre de fût, la croissance la plus rapide s’étant manifestée dans une forêt exploitée et éclaircie. L’accroissement annuel en diamètre en forêt secondaire au Cameroun était en moyenne de 18,6 mm. Dans cette forêt, des individus de Sterculia oblonga étaient présents comme arbres émergents d’une hauteur moyenne de 41 m, tandis que la hauteur de la canopée principale de la forêt se situait à 15–30 m. Au Ghana, la floraison a lieu en septembre, octobre et janvier et on rencontre des fruits de septembre à janvier. La dissémination des graines est probablement effectuée par les oiseaux.

Ecologie

Sterculia oblonga se trouve très communément dans la forêt semi-décidue, surtout la forêt secondaire. Il préfère les endroits secs.

Multiplication et plantation

Le poids de 1000 graines est d’environ 1100 g. Les graines doivent être semées aussitôt après la récolte. La germination débute au bout de 8–15 jours, mais le taux de germination peut être faible. En pépinière, les semis ont besoin d’être maintenus à l’ombre. Lorsqu’ils font 25–30 cm de haut, on peut les repiquer sous le couvert de la canopée forestière ou dans les sentiers. Il est recommandé de s’abstenir de planter en plein soleil.

Gestion

En Centrafrique, la régénération naturelle de Sterculia oblonga est bonne, et meilleure dans les forêts exploitées que non exploitées. En forêt naturelle, en moyenne 9,7 arbres par ha ont été dénombrés en 1995, soit un volume de 4,24 m³ par ha. Le volume moyen de bois d’œuvre de Sterculia oblonga au Gabon a été évalué en 1963 à 0,11 m³ par ha. Le brûlage du sous-bois en forêt nuit à la régénération de Sterculia oblonga, mais il est apparemment moins sensible au feu que Sterculia rhinopetala K.Schum.

Rendement

Un arbre d’un diamètre de 60 cm produit environ 3,3 m³ de grumes, un arbre de 100 cm et un arbre de 150 cm en produisent 11,6 et 27,8 m³, respectivement.

Traitement après récolte

Les grumes fraîchement récoltées coulent et ne peuvent être transportées par voie fluviale. Pour empêcher le bleuissement et les attaques de scolytes, les grumes doivent être traitées avec un produit de conservation dès que possible après l’abattage et débardées de la forêt, sciées et séchées rapidement.

Ressources génétiques

Le bois d’œuvre de Sterculia oblonga est précieux et exploité de façon sélective. Ceci a conduit à la raréfaction de l’espèce dans la région de Limbe, au Cameroun, et probablement également dans d’autres régions. Il figure dans la catégorie “vulnérable” sur la Liste rouge de l’UICN, en raison du déclin de son milieu.

Perspectives

Le bois de Sterculia oblonga a de bonnes propriétés de résistance, mais il est difficile à sécher et sa durabilité naturelle est limitée. Sa surexploitation doit être évitée, car l’espèce est considérée comme vulnérable. La lenteur de sa croissance ne laisse guère envisager un quelconque potentiel comme espèce de plantation.

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Sources de l'illustration

  • Hallé, N., 1961. Sterculiacées. Flore du Gabon. Volume 2. Muséum National d’Histoire Naturelle, Paris, France. 150 pp.
  • Wilks, C. & Issembé, Y., 2000. Les arbres de la Guinée Equatoriale: Guide pratique d’identification: région continentale. Projet CUREF, Bata, Guinée Equatoriale. 546 pp.

Auteur(s)

  • C.H. Bosch, PROTA Network Office Europe, Wageningen University, P.O. Box 341, 6700 AH Wageningen, Netherlands
  • D. Louppe, CIRAD, Département Environnements et Sociétés, Cirad es-dir, Campus international de Baillarguet, TA C-DIR / B (Bât. C, Bur. 113), 34398 Montpellier Cedex 5, France

Citation correcte de cet article

Bosch, C.H. & Louppe, D., 2008. Sterculia oblonga Mast. In: Louppe, D., Oteng-Amoako, A.A. & Brink, M. (Editors). PROTA (Plant Resources of Tropical Africa / Ressources végétales de l’Afrique tropicale), Wageningen, Netherlands. Consulté le 15 décembre 2024.


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