« Plus accostable qu'un lierre. » Auvray, ''Banquet des Muses'', 1632, p. 114.
« Ce cuide li lierres Que tuit soyent ses frères." » XIII<sup>e</sup> s., Le Roux De L. — « Vouldroit le lierre que chascun fust son frere. » XVI<sup>e</sup> s., Gaston Phœbus, éd. Lav., p. 238.
« ''Tombar lou cross de la léouno'' = tomber le creux du lierre, c'est-à-dire de l'estomac, c'est perdre la respiration. » Limousin, Bombal, ''Conte de Champalibau'', 1893, p. 66.