comme souverain contre les ronflements. Les tiges grillées et malaxées avec de l’huile de
''carapa'' (cf. [[Carapa guianensis (Pharmacopées en Guyane)|''Carapa guianensis'']], Méliacées) ou du ''tyo-tyo'' (cf. [[Astrocaryum vulgare (Pharmacopées en Guyane)|''Astrocaryum vulgare'']], Arécacées)
donnent un onguent qui, frotté localement, arrête les saignements de nez <ref>Les Yanomami emploient l'infusion des rhizomes en cas de fièvre (MILLIKEN et ALBERT, 1996).<br>Les Sekoya se servent du rhizome pour soigner la grippe, la fièvre et le ''mal de viento'' (comparableau vent des Créoles, cf. 2e partie, p. 45) (SCHULTES et RAFFAUF, 1990). <br>Chez les Carib de Guyana, il estutilisé pour soigner les maux d'estomac (VAN ANDEL, 2000). ''Cyperus articulatus'' et ''C. odoratus'' L. sontsignalés (BENNETT, 1992) comme hallucinogène utilisé par les chamanes dans les ethnies de languejivaro (Shuar, Achuar, Aguaruna).</ref>.
== Étymologie ==