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Rosiers (Cazin 1868)

374 octets ajoutés, 15 novembre 2016 à 21:58
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La rose excite l'admiration par la perfection de ses formes, par la suavité de son parfum, par sa couleur séduisante ; et joignant l'utile à l'agréable, elle fournit à la médecine, à la parfumerie, des ressources précieuses.
 
 
Nom accepté : ''[[Rosa ]]''
 
ROSIER DE PEOVINS, ROSIER GALLIQUE, ROSIER DE FRANCE, ROSE ROUGE, ROSE OFFICINALE. ''Rosa gallica'', L. ; ''Rosa rubra multiplex'', C. Bauh. ; ''Rosa provincialis rubra'', Ray ; ''Rosa rubra'', Off., Murr. — Cet arbrisseau, cultivé dans les jardins, croît dans les montagnes de l'Orléanais, de la Touraine, de l'Auvergne. Quoiqu'il soit cultivé dans toute la France, il l'est cependant plus particulièrement à Provins, à Fontenay-aux-Roses, près de Paris, dans les environs de Metz, etc.
de son usage longtemps continué, à suspendre la marche de cette maladie et même à la guérir. Ces auteurs administraient ce médicament en grande quantité ; ils citent des malades qui en avaient pris jusqu'à vingt et trente livres dans le cours de leur traitement. Cette conserve m'a été utile dans les sueurs et les diarrhées des phthisiques.
L'infusion de roses rouges, légèrement sucrée et acidulée avec le suc decitron, modère les pertes utérines des femmes délicates qui ne pourraientsupporter des remèdes plus énergiques. Voltelen (f) <ref>''Pharm. universa.''</ref> en a obtenu d'excel-lents excellents effets. Il dit qu'elle lui a également réussi dans les fièvres putrideset malignes compliquées de diarrhées séreuses ou sanguinolentes. Il recom-mande recommande l'infusion de roses avec le sucre de lait dans les affecticns catarrhalesdu poumon, avec une sorte de diathèse hectique, flans dans les ulcérations in-ternesinternes, etc. Roques a souvent eu recours à la conserve de roses de Provinscombinée avec le sirop de pavot blanc et le nitrate de potasse, pour arrêterou modifier les hémoptysies rebelles,.
L'infusion et le vin de roses rouges, le miel et le vinaigre rosats s'em-ploient emploient en lotions, injections, gargarismes, collyres, comme astringents,toniques, résolutifs. On met fréquemment en usage, contre les ulcères ato-niques atoniques blafards, les roses infusées pendant une demi-heure dans du vinrouge bouillant (1 partie sur 16 de vin). On applique des fomentations, descataplasmes et des sachets de roses sur les tumeurs froides et indolentes,sur les engorgements atoniques, oedémateuxœdémateux.
(Avant que Velpeau et Boinet aient préconisé la teinture d'iode et l'aientfait préférer comme d'un usage plus sûr et moins douloureux, on injectaitl'infusion vineuse de roses rouges dans les cavités closes, et surtout dans latunique vaginale, siège d'bydrocèle, pour y déterminer soit une modifica-tion modification de tissu, soit l'inflammation adhésive.)
ROSIER A CENT FEUILLES. Rosa centifolia, L. ; rosa multiplex média, C. Bauh,
— Haller et Linné prétendent que ce magnifique rosier dérive du rosa m-
nina. Ses belles fleurs sont moins odorantes que celles du rosier musqué,
dont nous allons parler. On en prépare une eau distillée très-employée
pour collyres astringents, soit seule, soit comme véhicule de substances
plus actives, telles que le sulfate de zinc, le sulfate de cuivre, l'acétate de
plomb, le nitrate d'argent.
 Nom accepté : ''[[Rosa ]]''  ROSIER A CENT FEUILLES. ''Rosa centifolia'', L. ; ''rosa multiplex media'', C. Bauh. — Haller et Linné prétendent que ce magnifique rosier dérive du ''rosa canina''. Ses belles fleurs sont moins odorantes que celles du rosier musqué, dont nous allons parler. On en prépare une eau distillée très-employée pour collyres astringents, soit seule, soit comme véhicule de substances plus actives, telles que le sulfate de zinc, le sulfate de cuivre, l'acétate de plomb, le nitrate d'argent.   Nom accepté : ''[[Rosa ]]''  ROSIER MUSQUÉ , ROSIER DES QUATRE SAISONS , ROSE DE PUTEAUX , BOSE ROSE DEDAMAS, ROSE MUSCADE OU MTJSCATEMUSCATE, ROSE MTJSCATELLEMUSCATELLE. ''Rosa moscata'', Wikl,. ;''rosa damascena'', Pharm. ; ''rosa semperflorens'', Desf. ; ''rosa bifera'', Persoon.
Ce rosier, originaire de l'Orient, est depuis longtemps naturalisé en France. On le
cultive dans les jardins, dans les bosquets ; mais il craint la rigueur des hivers, et sonssous le climat de Paris il est nécessaire de le couvrir; ses fleurs répandent une odeur déli-cieusedélicieuse. C'est de cette espèce qu'on obtient l'essence ou huile essentielle de rose, em-ployée employée principalement dans la parfumerie, et qui peut prendre la consistance du beurre[(beurre de rose).
[D'après Bilz les roses pâles renferment : essence de roses, quantité variable, taulehuilegrasse 0.065, cire 2.050, résine 1.880, tannin 0.260, gomme 25.0, sucre mcnstal-lisable incristallisable 30.00, acide citrique 2.950, acide malique impur 7.760, fibre végétale 14.00,épidermeûépiderme 4.552, eau et sel 13.483. ,,'..,,
L'essence de rose est un mélange de deux huiles essentielles, une solide jusqu'à 95 c.95° C.et qui bout à 300° C., et qui est un carbure d'hydrogène; l'autre qui contient de 1 oxy-gène l'oxygène et qui répand l'odeur de la rose; elle n'a pas été analysée. . ',
On falsifie souvent l'essence de roses avec celle du géranium rosat (géranium rosemh''geranium roseum'')celle-ci verdit par les vapeurs nitreuses, son odeur est altérée par l'acide sulfunquesulfurique, eueelle est colorée par l'iode; tandis que l'essence de roses n'est pas verdie par les vapeuisvapeurs nitreuses, n'est pas brunie par l'iode, mais l'acide sulfurique lui donne une mauvaiseodeur].
(1) Pharm. universa.downloadModeText.vue.download 962 sur 1308____________________
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ROSIERS. • 933
La plupart des auteurs de matière médicale regardent plusieurs espècesde roses, et surtout la_ rose musquée, comme purgatives. Les Allemands sepurgent av"ec la seule infusion des pétales de cette rose dans du petit-lait.Venel dit qu'il a purgé une femme avec quinze pétales de cette rose eninfusion, et quatre fois ce purgatif lui a réussi. Amatus Luzitanus considèrecette rose comme un purgatif énergique. Dans le Languedoc et la Provence,les pétales de trois ou quatre roses musquées suffisent, suivant Lémery,pourpurger. Ce purgatif est, en effet, plus actif dans les pays chauds quedans le Nord. L'eau distillée de rose musquée est également purgative à ladose de 500 gr. Loiseleùr-Deslongchamps s'étonne qu'un médicament aussiagréable soit tombé dans l'oubli, tandis que tous les jours les médecinsprescrivent, pour purger, des préparations dégoûtantes par leur couleur,leur odeur et leur saveur. C'est avec les pétales de cette rose, rosa pallidadès-officines (1), qu'on fait le sirop de rose pâle, si vanté par Guy-Patin, etcelui qu'on appelle Sirop de rose pâle composé. Le premier se prescrit commelaxatif, à la dose de 38 à 60 gr., surtout aux enfants ; le second, dans lequelentre le séné, comme purgatif. Toutes les roses appelées Pâles, à pause dela couleur de leurs fleurs comparée avec celle de la rose rouge ou de Pro-vins, ont des propriétés purgatives et peuvent être substituées les unes auxautres.[933]
IOSIER DE BENGALE. Rosa indicaLa plupart des auteurs de matière médicale regardent plusieurs espèces de roses, L. ; Rosa Rengalensiset surtout la rose musquée, Hortcomme purgatives.—Cette charLes Allemands se purgent avec la seule infusion des pétales de cette rose dans du petit-lait. Venel dit qu'il a purgé une femme avec quinze pétales de cette rose en infusion, et quatre fois ce purgatif lui a réussi. Amatus Luzitanus considère cette rose comme un purgatif énergique. Dans le Languedoc et la Provence, les pétales de trois ou quatre roses musquées suffisent, suivant Lémery,mante espècepour purger. Ce purgatif est, à feuilles luisantesen effet, fleurit toute plus actif dans les pays chauds que dans le Nord. L'eau distillée de rose musquée est également purgative à la dose de 500 gr. Loiseleur-Deslongchamps s'étonne qu'un médicament aussi agréable soit tombé dans l'année en pleine terreoubli, tandis que tous les jours les médecins prescrivent, pour purger, des préparations dégoûtantes par leur couleur, leur odeur et leur saveur. UneC'est avec les pétales de ses nombreuses variétés a cette rose, ''rosa pallida'' des pétales qui sentent le thé à sofficines<ref>''Journal de pharmacie''y méprendre,ce qui l1826, t. XII, p. 446.</ref>, qu'a on fait appeler la le ''sirop de rosepâle'', si vanté par Guy-thé ou rosier à thé. Si on parvenait à fixer cetteodeurPatin, et celui qu'on pourrait en faire usage appelle ''Sirop de rose pâle composé''. Le premier se prescrit comme laxatif, à lla dose de 38 à 60 gr., surtout aux enfants ; le second, dans lequel entre le séné, comme purgatif. Toutes les roses appelées 'instar du thé'Pâles'', à pause de la couleur de leurs fleurs comparée avec celle de la rose rouge ou de Provins, ont des propriétés purgatives et peuvent être substituées les unes aux autres.
ROSIER DE CHIEN, — ÉGLANTIER A FLEURS BLANCHES OU ROSES. — Rosa ca-
niiw, — Ce rosier, à fleurs blanches ou d'un blanq rosé, champêtre, est
ainsi nommé parce qu'on a vanté sa racine contre la rage. Les dieux mêmes,
suivant Pline, avaient révélé en songe cette merveilleuse propriété à une
mère dont le fils avait été mordu par un chien atteint de cette terrible ma-
ladie. Ce prétendu antirabique a été proposé par un particulier à l'Académie
de médecine de Paris (2), en citant à l'appui quarante cas de guérison par
cemoyen. Tout cela est bien oublié et mérite de l'être. Loiseleur-Deslong-
; champs a obtenu plusieurs évacuations alvines au moyen des pétales do
' cette rose pulvérisés et donnés à la dose de 1 à 2 gr. 50 centigr. J'ai admi-
nistré cette poudre à la dose de 4 gr. ; elle a provoqué cinq selles, précé-
dées de légères coliques. Le fruit ou cynorrhodon, connu sous le nom de
jratte-cuï, à cause du prurit que les poils qu'il renferme causent à la peau,
sert à préparer la confection de cynorrhodon, qu'on emploie dans la diar-
rhée, surtout chez les phthisiques, dans la débilité des voies digestives. En
Allemagne on l'offre au dessert et on le mange avec les viandes. Celle qu'on
Wi Strasbourg et à Colmar est sucrée, légèrement acide et d'un goût fort
agréable. J'ai quelquefois mis en usage la décoction des fruits concassés du
tosier de chien (après en avoir enlevé les semences hérissées de poils), avec
une suffisante quantité de sucre, dans les diarrhées des enfants. Cette pré-
paration simple, et d'un goût agréable, tient lieu de sirop de coing là où il
«t pas toujours possible de se procurer ce dernier (3).
nn rUVet des semences du cynorrhodon, appliqué sur la peau, y cause
; ^démangeaison insupportable suivie de douleur, d'un léger gonflement
g) topai de pharmacie, 1826, t. XII, p. m.
2 Séance du 24 avril 1832.tHC[ n S0™ 11030118 ont été analysés par Bilz (Journal de pharmacie de Tromensdorff,Hllisshl» î , y a trouvé une huile volatile, une huile grasse, du tannin, du sucre incris-B»nme À» v Nom accepté : '* ,myricfae, une résine solide, une résine molle, de la fibrine, de l'albumine, de la«iwiacide citrique, de l[[Rosa ]]''acide malique, des sels, etc.downloadModeText.vue.download 963 sur 1308
934 • RUEROSIER DE BENGALE. ''Rosa indica'', L. ; ''Rosa Bengalensis'', Hort. — Cette charmante espèce, à feuilles luisantes, fleurit toute l'année en pleine terre. Une de ses nombreuses variétés a des pétales qui sentent le thé à s'y méprendre, ce qui l'a fait appeler la ''rose-thé'' ou ''rosier à thé''. Si on parvenait à fixer cette odeur, on pourrait en faire usage à l'instar du thé.
et de points rouges qui se dissipent spontanément dans l'espace d'une
heure. Ce duvet peut être employé à l'intérieur comme vermifuge. Il agit
immédiatement et mécaniquement sur les vers en les piquant à la manière
du poil à gratter (dolichos pruriens, L.), que Chamberleine (1) a vanté comme
anthelminthique. J'ai plusieurs fois employé ces poils à la dose de 15 à 30
centigr., mêlés avec un peu de miel. Ce vermifuge, que les enfants prennent
avec facilité, tue les vers lombrics, et n'a aucun inconvénient. Ni les poils
du dolichos, ni ceux du cynorrhodon, ne produisent sur la muqueuse des
voies digestives l'irritation qu'ils déterminent à la peau; ils agissent exclu-
sivement sur les vers.
ROSIER SAUVAGE ou DES HAIES, ÉGLANTIER. — Arbrisseau formant un buis-
son épais, à fleurs d'un beau jaune. Une variété de cette espèce a les pétales
d'un rouge éclatant (rouge ponceau). Le nom d'Églantier s'applique aussi
au rosier de chien, dont nous venons de parler. Les propriétés du rosier
sauvage sont à peu près les mêmes que celles de ce dernier.
Nom accepté : ''[[Rosa ]]''  ROSIER DE CHIEN, — ÉGLANTIER A FLEURS BLANCHES OU ROSES. — Rosa canina. — Ce rosier, à fleurs blanches ou d'un blanc rosé, champêtre, est ainsi nommé parce qu'on a vanté sa racine contre la rage. Les dieux mêmes, suivant Pline, avaient révélé en songe cette merveilleuse propriété à une mère dont le fils avait été mordu par un chien atteint de cette terrible maladie. Ce prétendu antirabique a été proposé par un particulier à l'Académie de médecine de Paris<ref>Séance du 24 avril 1832.</ref>, en citant à l'appui quarante cas de guérison par ce moyen. Tout cela est bien oublié et mérite de l'être. Loiseleur-Deslongchamps a obtenu plusieurs évacuations alvines au moyen des pétales de cette rose pulvérisés et donnés à la dose de 1 à 2 gr. 50 centigr. J'ai administré cette poudre à la dose de 4 gr. ; elle a provoqué cinq selles, précédées de légères coliques. Le fruit ou cynorrhodon, connu sous le nom de ''gratte-cul'', à cause du prurit que les poils qu'il renferme causent à la peau, sert à préparer la confection de cynorrhodon, qu'on emploie dans la diarrhée, surtout chez les phthisiques, dans la débilité des voies digestives. En Allemagne on l'offre au dessert et on le mange avec les viandes. Celle qu'on fait à Strasbourg et à Colmar est sucrée, légèrement acide et d'un goût fortagréable. J'ai quelquefois mis en usage la décoction des fruits concassés du rosier de chien (après en avoir enlevé les semences hérissées de poils), avec une suffisante quantité de sucre, dans les diarrhées des enfants. Cette préparation simple, et d'un goût agréable, tient lieu de sirop de coing là où il n'est pas toujours possible de se procurer ce dernier (3)<ref>Les cynorrhodons ont été analysés par Bilz (''Journal de pharmacie de Tromensdorff'', t. VIII, p. 63). Il y a trouvé une huile volatile, une huile grasse, du tannin, du sucre incristallisable, de la myricine, une résine solide, une résine molle, de la fibrine, de l'albumine, de la gomme, de l'acide citrique, de l'acide malique, des sels, etc.</ref>. Le duvet des semences du cynorrhodon, appliqué sur la peau, y cause une démangeaison insupportable suivie de douleur, d'un léger gonflement ____________________  <references/>  [934] et de points rouges qui se dissipent spontanément dans l'espace d'une heure. Ce duvet peut être employé à l'intérieur comme vermifuge. Il agit immédiatement et mécaniquement sur les vers en les piquant à la manière du poil à gratter (''dolichos pruriens'', L.), que Chamberleine<ref>''A practical treatise on the efficacy of stilozobium or cowlage'', etc. Londres, 1784.</ref> a vanté comme anthelminthique. J'ai plusieurs fois employé ces poils à la dose de 15 à 30 centigr., mêlés avec un peu de miel. Ce vermifuge, que les enfants prennent avec facilité, tue les vers lombrics, et n'a aucun inconvénient. Ni les poils du dolichos, ni ceux du cynorrhodon, ne produisent sur la muqueuse des voies digestives l'irritation qu'ils déterminent à la peau ; ils agissent exclusivement sur les vers.   Nom accepté : ''[[Rosa ]]''  ROSIER SAUVAGE ou DES HAIES, ÉGLANTIER. — Arbrisseau formant un buisson épais, à fleurs d'un beau jaune. Une variété de cette espèce a les pétales d'un rouge éclatant (rouge ponceau). Le nom d'''Églantier'' s'applique aussi au rosier de chien, dont nous venons de parler. Les propriétés du rosier sauvage sont à peu près les mêmes que celles de ce dernier. Il naît sur le fruit, la tige et la feuille des rosiers sauvages, par la piqûred'un insecte parasite (''cynips roscerosæ''), une excroissance spongieuse (Fungusrosa-ceus''Fungus rosaceus'', Offic. ; ''Spongiola cynorrhodon'', Pline), éponge d'églantier, connue dansles anciennes pharmacopées sous le nom de ''Bédéguar'', et à laquelle on at-tribuait attribuait des propriétés astringentes, litbontriptiques, fondantes, etc. On lacroyait même propre à dissiper les goitresgoîtres, à combattre les affections vermi-neusesvermineuses, les scrofules, l'hydrophobie, l'alopécie, la piqûre de la taren-tuletarentule. Cette production a été, dit-on, employée avec succès pendant le coursd'une épidémie de dysenterie en Sicile. Il est probable que l'analyse y ren-contrerait rencontrerait des principes semblables à ceux qui entrent dans la compositionde la noix de galle, si l'on en juge par l'analogie d'origine. L'expérience afait justice de l'éloge exagéré des vertus du bédéguar, aujourd'hui tout à
fait inusité.
 
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[[Catégorie:Cazin 1868]]
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