4 026
modifications
Modifications
Page créée avec « {{Tournepage |titre=Cazin, ''Traité des plantes médicinales'', 1868 |titrepageprécédente=Coloquinte (Cazin 1868) |nomcourtp... »
{{Tournepage
|titre=[[Cazin, Traité des plantes médicinales|Cazin, ''Traité des plantes médicinales'', 1868]]
|titrepageprécédente=Coloquinte (Cazin 1868)
|nomcourtprécédent=Coloquinte
|titrepagesuivante=Concombre (Cazin 1868)
|nomcourtsuivant=Concombre
}}
__TOC__
[345]
== Colza ==
Voir la page ''[[]]''
COLZA. Bràssica campestris. L.
Colsat.
CRUCIFÈRES. Fam. nat. — TÉTRAnYNAMiE SILIQUEUSE. L.
Le colza, que l'on cullive surtout dans le nord de la France, comme plante
oléagineuse, croît spontanément dans les moissons à terre forte des pro-
vinces du Midi.
: L'huile de colza,- dont se rapproche beaucoup l'huile de navette, espèce
voisine, d'une couleur jaune, très-visqueuse, ayant une odeur analogue à
celle des plantes crucifères, est douce et d'une odeur agréable quand elle
est bien épurée. Cette huile, qui sert à l'éclairage et à la fabrication des
savons^ noirs, peut, comme l'huile douce de moutarde, être employée en
médecine; elle est laxative et vermifuge. Prise à la dose de 60 à 100 gr., par
cuillerées, elle a fait cesser des constipations opiniâtres. Dans ces cas et dans
les affections vermineuses, je l'ai fait aussi administrer en lavements. On
peut s'en servir à l'extérieur pour remplacer les huiles d'amande douce et
d'olive dans la composition des liniments.
[[Catégorie:Cazin 1868]]
|titre=[[Cazin, Traité des plantes médicinales|Cazin, ''Traité des plantes médicinales'', 1868]]
|titrepageprécédente=Coloquinte (Cazin 1868)
|nomcourtprécédent=Coloquinte
|titrepagesuivante=Concombre (Cazin 1868)
|nomcourtsuivant=Concombre
}}
__TOC__
[345]
== Colza ==
Voir la page ''[[]]''
COLZA. Bràssica campestris. L.
Colsat.
CRUCIFÈRES. Fam. nat. — TÉTRAnYNAMiE SILIQUEUSE. L.
Le colza, que l'on cullive surtout dans le nord de la France, comme plante
oléagineuse, croît spontanément dans les moissons à terre forte des pro-
vinces du Midi.
: L'huile de colza,- dont se rapproche beaucoup l'huile de navette, espèce
voisine, d'une couleur jaune, très-visqueuse, ayant une odeur analogue à
celle des plantes crucifères, est douce et d'une odeur agréable quand elle
est bien épurée. Cette huile, qui sert à l'éclairage et à la fabrication des
savons^ noirs, peut, comme l'huile douce de moutarde, être employée en
médecine; elle est laxative et vermifuge. Prise à la dose de 60 à 100 gr., par
cuillerées, elle a fait cesser des constipations opiniâtres. Dans ces cas et dans
les affections vermineuses, je l'ai fait aussi administrer en lavements. On
peut s'en servir à l'extérieur pour remplacer les huiles d'amande douce et
d'olive dans la composition des liniments.
[[Catégorie:Cazin 1868]]