Seguieria americana (Pharmacopées en Guyane)
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Sommaire
Noms vernaculaires
Écologie, morphologie
Liane épineuse rare de la forêt primaire humide.
Collections de référence
Grenand 1117 ; Prévost et Grenand 892.
Emplois
Cette plante peu connue et qui mériterait sans doute une étude plus approfondie nous a été signalée par l’un de nos informateurs wayãpi pour avoir jadis été utilisée comme poison de chasse : la racine et la tige étaient préparées de façon très proche de celle du curare (cf. Strychnos guianensis, Loganiacées) [3].
Chimie et pharmacologie
Tests chimiques en fin d’ouvrage.
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- ↑ Lors d’une de nos enquêtes, le nom mokolo a aussi été appliqué à Celtis iguanaea (Jacq.) Sarg. (Ulmacées) (Prévost et Grenand, 871) que la majorité des Wayãpi nomme yakale ãkutãy, « ce qui accroche la tête du caïman ». L’habitat ripicole de Celtis iguanaea nous incite à préférer cette seconde assertion.
- ↑ wɨlapa laɨ est plus communément attribué à un autre poison de chasse, Fevillea cordifolia (cf. Cucurbitacées).
- ↑ Le nom et l’usage s'appliquent également à Seguieria aculeata Jacq. (Jacquemin 2346).