Priva lappulacea (Pharmacopées en Guyane)
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Sommaire
Priva lappulacea (L.) Pers.
Synonymie
- Verbena lappulacea L.
Nom vernaculaire
- Créole : vingt quatre heures [vennkatrèr] [1].
- Wayãpi : —
- Palikur : —
Écologie, morphologie
Petite herbe fréquente autour des habitations, reconnaissable à ses poils crochus.
Collections de référence
Moretti 140 ; Prévost 3242.
Emplois
La plante entière est broyée avec un peu de sel et appliquée en cataplasme par les Créoles sur les entorses (démissures en créole) [2].
Étymologie
- Créole : vingt quatre heures, car tel est le temps nécessaire à la plante pour guérir une
entorse.
Chimie et pharmacologie
Tests chimiques en fin d’ouvrage.
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- ↑ Certains Créoles donnent le nom de vingt quatre heures à Cyanthillium cinereum (Astéracées).
- ↑ L’espèce est réputée antigrippale aux Antilles françaises (STEHLÉ, 1962) et pour soigner la toux et la diarrhée à St-Domingue (DUKE et VASQUEZ, 1994). Les Tacana utilisent les racines et les feuilles pour soigner les morsures de serpent (BOURDY et al., 2000).