Bokkom (Ibn al-Baytar)
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Nom accepté : [[]]
[1-246]
Ce mot s’écrit avec un ba souscrit-d’un point et surmonté d’un dhamma, un kaf également surmonté d’un dhamma et redoublé, puis un mîm. C’est le nom que l’on donne dans l’Yémen à l’arbre qui produit la noix métel Jo’Uj,_j=-. Nous en parlerons à la lettre djim.
Les traducteurs allemands écrivent ce nom bokkum, faute d’avoir lu attentivement le. texte d’Ibn el-Beithâr. Freytag a commis une erreur, à propos de cette substance. H confond btMam avec bokkom. Il donne d’abord la synonymie Planta nacis malel, avec la transcription vicieuse hokkam, puis il ajoute : «Sprengelius eam Cœsalp’miain sappan appellat, « ce qui est une erreur. Sprengel ne parle pas du bokkom, noix ou datura métel , mais bien du bakkam, bois de teinture, et la confusion n’est pas possible d’après sa remarque au sujet de cette substance tinctoriale : « Maxime memorabile est tinctorium hoc lignum brasiiium a Rabbinis appellari, ecc annis anteBrasiliam détectai!), unde efiici 1ère potest Brasiliam potius ab hoc iigno quam lignum a provincia nomen accepisse. »