Al-bodj (Ibn al-Baytar)
De PlantUse Français
Révision de 16 avril 2017 à 15:07 par Michel Chauvet (discussion | contributions) (Page créée avec « {{Tournepage Baytar |titre=Ibn al-Bayṭār, ''Traité des simples '' |titrepageprécédente=Aakil nafsihi (Ibn al-Baytar) |nomcourtprécédent=Aakil naf... »)
|
Nom accepté : [[]]
- HONEÏN. C’est l’acoron, ūǧ, de la Chine.
- IBN RODHOUAN. Ce sont des racines qui nous viennent de l’Inde, de couleur blanche et tachées de noir. J’ai expérimenté sa grande efficacité contre les épinyctides, et voici comment je l’administrais : j’en donnais le premier jour une demi-drachme avec de l’oxymel par environ deux onces, le second jour un demi-mithkal, le troisième jour une drachme, et les épinyctides étaient guéries, sans qu’il fût besoin de purgatif. On obtient avec ce médicament des effets vraiment prodigieux. On peut aussi le triturer, l’associer à de l’huile de rose et en faire des embrocations à la surface du corps. On peut obtenir les mêmes résultats avec un excipient quelconque, par la vertu propre de ces racines. Elles sont amères et chaudes.
Nous ignorons quelles sont ces racines.