Coronope (Cazin 1868) : Différence entre versions
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− | <center>CORONOPE. Cochlearia coronopus, L. | + | <center>'''CORONOPE'''. ''Cochlearia coronopus'', L. |
− | + | ''Coronopus ruelli''. Ger. — ''Coronopus ruelli sive nasturtium verucosum''. J. Bauh. — ''Ambrosia campestris repens''. C. Bauh. — ''Senebiera coronopus''. Poiret. — ''Coronopus vulgaris''. De Candolle. | |
− | + | Corne de cerf, — sénebière coronope, — cresson de rivière, — ambrosie sauvage. | |
− | + | CRUCIFÈRES. Fam. nat. — TÉTRADYNAMIE SILICULEUSE. L.</center> | |
Version actuelle en date du 1 décembre 2016 à 19:14
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Nom accepté : Lepidium coronopus
Coronopus ruelli. Ger. — Coronopus ruelli sive nasturtium verucosum. J. Bauh. — Ambrosia campestris repens. C. Bauh. — Senebiera coronopus. Poiret. — Coronopus vulgaris. De Candolle.
Corne de cerf, — sénebière coronope, — cresson de rivière, — ambrosie sauvage.
CRUCIFÈRES. Fam. nat. — TÉTRADYNAMIE SILICULEUSE. L.
Cette plante annuelle croît abondamment dans les lieux humides, incultes, le long des rivières et des chemins.
Description. — Tige rameuse, étalée. — Feuilles longues, pinnatifides, à lobes obtus, pinnatifides et incisés. — Fleurs blanches, petites, en grappes courtes, axillaires, ou le plus souvent opposées aux feuilles (juin-juillet). — Silicules réniformes, très-rudes.
La coronope est excitante, diurétique, antiscorbutique. Cette plante, étant très-commune, peut remplacer le cresson, le cochlearia, le raifort, etc., dans les lieux où ceux-ci sont rares.