Cymbalaire (Cazin 1868) : Différence entre versions
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<center>SCROPHULARIACÉES. — ANTIRRHINÉES. Fam. nat. — DIDYNAMIE ANGIOSPERMIE. L.</center> | <center>SCROPHULARIACÉES. — ANTIRRHINÉES. Fam. nat. — DIDYNAMIE ANGIOSPERMIE. L.</center> |
Version actuelle en date du 1 décembre 2016 à 19:30
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Nom accepté : Cymbalaria muralis
La cymbalaire se trouve dans les fentes des vieux murs en pierres.
Description. — Tiges grêles, couchées, pendantes, rameuses, diffuses, très-longues. — Feuilles longuement pétiolées, épaisses, découpées, arrondies, un peu en cœur à la base, à cinq ou sept lobes obtus, rougeâtres en dessous. — Fleurs violettes ou d'un rose bleuâtre avec un palais jaune (mai-octobre). — Corolle tubuleuse, éperon court, obtus. — Calice à divisions obtuses. — Quatre étamines, un style. — Capsule subglobuleuse.
D'une odeur nulle, d'une saveur amère, aigrelette-poivrée, la cymbalaire a été considérée comme vulnéraire, astringente, un peu excitante. C'est une de ces plantes dont la matière médicale indigène peut facilement se passer. (Matthiole la faisait manger en salade dans la leucorrhée.)