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Trabut, Répertoire: A

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<center><big><big>'''Répertoire des Noms indigènes'''</big></big>
http://uses.plantnet-project.org/f/index.php?title=Trabut,_R%C3%A9pertoire:_A&action=edit
<big><big>'''des plantes spontanées, cultivées et utilisées dans le Nord de l'Afrique'''</big></big></center>
'''Ambrosia maritima.''' - Ambroisie.
Hachich <el AouinetA"!.y'11( """' 1 Demsissa Aouinet
Amelunehier vulgaris. - Amelanchier.Asrlwrsif bouzerou - Lamr.Demsissa
Ammi majus.
Athrilal - Therilal - Thalilm - La.tlilet - Oual!hilan -
A l!halla.
'''Amelanchier vulgaris.''' - Amelanchier.
 
''Asrharsif bouzerou - Larar''.
 
 
'''Ammi majus.'''
 
''Athrilal'' - ''Therilal'' - ''Thalilen'' - ''Lallilet'' - ''Ouakhilan'' - ''Akhalla''.
Q\:iba Qçiba Zfenari e) el maïz Nounkha
Ibn el Beithar, dans son Traité des simples, à l'article Atl1rilal j)l._?. ,.11 Athrilal signale une ombellifère utilisée dans le traitement de la Lèpre par une section de la tribu des Oudjeham, les Beni bou Chal'b Chaïb du Zaoua près Bougie, en 12:?0 i 1220 ; il a ·vu des malades venu1:1 venus de loin dans une sorte de sanatorium et traités à forfait. Ces malades étaient, api'ès après avoir bu une préparation d'Athrilal, exposés au soleil, les parties mala-
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- 23-les découvertes. Ce n'est que dans ces conditions que le médicament agissait. D'après le récit d'Ibn el Beithar il est évident que dès le XIII<sup>e</sup> Siècle on prntiquait méthodiquement l'héliothérapie à Bougie.
<les découvertrs. Ce n'est que dans ces condiliuns que• .le mèdicamen.t agis-sait. D'après Je récit d'lhn cl Beithar il est évident que dès le XJJl<l Siècle on prntiquait méthodiquement l'héliothérapie à Bougie.Leclère, traducteur d'llm Ibn el Beit.har Beithar a çru reconnaUre cru reconnaître dans l'athrilalle ''Ptychotis llmmoides ammoides'' ; mais ffd'un autre côté les indigènes de la Province Province de Constant.in.,e Constantine appellent. encore Athri-lal Athrilal l'Ammi ma-fus majus et la description dn du botaniste de Malaga se rapporte mieux à cette ombelli­ fèreombelli­fère. 11 Il est cPrtain certain que la cure des ulcères n'est attribpahlc attribuable qu'aux rayons solaires.
A. Visnaga. - Cm·edent du Prophète.
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