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<center>SÉNEÇON. Senecio vulgaris. L.

''Senecio minor vulgaris''. C. BAUHBauh., TOURNTourn. — ''Senecio vulgarissive érigeraierigeron''. J. BAUHBauh.

SYNANTHÉRÉES. — SÉNÉCIONiDÉES. Fam. nat. — SYNGÉNÉSIE POLYGAMIE SUPERFLUE. L.</center>  Cette plante annuelle croît abondamment dans les lieux cultivés, les jar-dinsjardins, le long des murailles, etc. Les vaches, les chèvres et les cochons lamangent, mais les moutons n'en veulent pas. Les lapins en sont au contrairetrès-avides. Les chardonnerets et les serins sont très-friands de cette plante. '''Description'''. — Racine petite, blanche. — Tige tendre, fistuleuse, rameuse, striée, haute de 30 centimètres environ. — Feuilles alternes, molles, épaisses, embrassantes, ailées, un peu velues en dessous. — Fleurs flosculeuses, jaunâtres, solitaires, disposées en corymbes, réunies dans un involucre à un seul rang de folioles noira, entouré de quelques bractées à sa base (tout l'été). — Fleurons courts, nombreux, hermaphrodites, à cinq divisions. — Cinq étamines. — Un style. — Huit akènes ovales, longs, bruns, couronnés d'une aigrette simple, molle, sessile.

Description. — Racine petite, blanche. — Tige tendre, fistuleuse, rameuse,striée, haute de 30 centimètres environ. — Feuilles alternes, molles, épaisses, emnras-santes, ailées, un peu velues en dessous. — Fleurs flosculeuses, jaunâtres, somaire,disposées en corymbes, réunies dans un involucre à un seul rang de folioles noira ,entouré de quelques bractées à sa base (tout l['été). — Fleurons courls, n°iuf'eu*'I,Parties usitées'''maphrodiles, à cinq divisions. — Cinq étamines. — Un style. — Huit akènes o\< -.longs, bruns, couronnés d'une aigrette simple, molle, sessileToute la plante.

[Parties usitées'''Culture'''. — Toute la planteLe séneçon n'est cultivé que dans les jardins botaniques.On le propage de graines. Il vient dans tous les terrains.]

Culture'''Propriétés physiques et chimiques'''. — Le séneçon n'est cultivé que dans les jardins botaniques. On le P1"-page de graines. 11 vient dans fous les terrains.]inodore, sa

SERPOLETsaveur est fade et herbacée. Il a cependant quelque chose d'acide et même d'âcre, si on le mâche longtemps. Nous ne possédons pas d'analyse de ce végétal. 10H

«pur Le séneçon est fade émollient, adoucissant et herbacéeun peu résolutif. Il a cependant quelque chose d'acide On le considérait autrefois comme apéritif, et même on en conseillait la décoction dans la jaunisse et les maladies du foie. En Angleterre, au rapport de Ray, on donnait le suc de séneçon aux chevaux qui étaient tourmentés par des vers. « C'est peut-être d'acreaprès cela, simîle mâche longtempsdit Loiseleur-Deslongchamps, que quelques médecins ont recommandé ce suc à la dose de 60 gr. Nous ne possédons pas contre les vers intestinaux de l'homme. » Fenazzi prétend que le suc de séneçon récent, à la dose d'analyse une cuillerée à bouche, deux ou trois fois par jour, fait cesser avec la rapidité de l'éclair les convulsions les plus violentes, surtout celles dont la cause est inconnue !... (1)<ref></ref> et cela, sans tenir compte de la diversité des causes de l'affection, et par conséquent de celle des indications curatives. C'est de l'empirisme tout pur. Schroeder et plusieurs autres médecins assurent que ce végétalsuc mêlé avec de la bière, et la décoction de la plante, mêlée avec le miel et les raisins de Corinthe, font vomir, et que ce remède est utile dans la jaunisse, les maladies du foie, les flueurs blanches, et même dans le vomissement et le crachement de sang. L'eau distillée passait pour guérir les flueurs blanches.

Lei séneçon est émollient, adoucissant et un peu résolutif. On le consi-dérait autrefois comme apéritif, et C'était principalement à l'extérieur qu'on en conseillait la décoction dans lajaunisse et les maladies faisait usage du foieséneçon. En Angleterre, au rapport de Ray, on don-nait Boerhaave employait le suc de séneçon aux chevaux qui étaient tourmentés par des vers.« C'est peut-être mélange d'après cela, dit Loiseleur-Deslongchamps, que quelquesmédecins ont recommandé ce oxycrat et de suc à la dose de 60 gr. contre cette plante dans les vers intes-tinaux maux de gorge inflammatoires. On l'homme. » Fenazzi prétend que le suc de séneçon récent, à ladose da conseillée cuite dans l'une cuillerée à bouche, deux eau ou trois fois par jourle lait, fait cesser avecla rapidité de et convertie en cataplasme contre l'éclair engorgement laiteux des mamelles, les convulsions hémorrboïdes douloureuses, les plus violentesphlegmons, les croûtes de lait, surtout celles dontla cause est inconnue !rétention d'urine, etc..... (1) et celaFrite avec du beurre frais, sans tenir compte de la diversité descausés de lelle forme un topique maturatif que j'affection, et ai vu employer avec avantage par conséquent les paysans. Ces derniers mettent presque toujours une poignée de celle des indications curatives.uséneçon dans les lavements qu'ést (le l'empirisme tout pur. Schroeder et plusieurs autres médecins as-surent que ce suc mêlé ils préparent avec de la bière, mauve et le son pour combattre la décoction de la plante, mêléeavec le miel constipation et calmer les raisins douleurs intestinales. Ils font un grand usage de Corinthe, font vomir, et que ce remède est utilecette plante dans la jaunisse, les maladies du foie, les flueurs blanches, et même dans levomissement et le crachement de sang. L'eau distillée passait pour guérirlés flùeûfs blanchesmédecine vétérinaire.