Drymaria cordata (Pharmacopées en Guyane)
De PlantUse Français
Révision de 29 décembre 2020 à 19:15 par Michel Chauvet (discussion | contributions) (Page créée avec « {{DISPLAYTITLE:''Drymaria cordata'' (Pharmacopées en Guyane)}} {{Tournepage Pharmacopées en Guyane |titrepageprécédente= (Pharmacopées en Guyane) |nomcourtprécédent... »)
|
Sommaire
Drymaria cordata (L.) Willd.
Synonymie
- Holosteum cordatum L. [1]
Noms vernaculaires
- Créole : petite griffe |ti-grif|, ti mignonette |ti-miyonnèt|.
- Wayãpi : —
- Palikur : asukatye arib.
- Portugais : jaboti-caá.
Écologie, morphologie
Petite herbe prostrée, fréquente sur les aires régulièrement désherbées de la région littorale.
Collections de référence
Grenand 1609 ; Moretti 268 ; Prévost 3658 ; Jacquemin 1497.
Emplois
L’infusion passe, en médecine créole, pour diminuer les fuites albuminuriques. Il nous a été rapporté que cette plante était autrefois employée dans le traitement de la lèpre. Les Palikur préparent une décoction fébrifuge de la plante entière prise en tisane [2].
Étymologie
- Créole : ti mignonette, « petite mignonne », en raison du port gracile des fleurs et des feuilles.
- Palikur : de asukatye, « oiseau euphone (créole, ti louis, Euphonia spp.) » et arib, « queue », en raison de l’aspect de la plante.
Chimie et pharmacologie
Tests chimiques en fin d’ouvrage.
____________________