Tabebuia capitata (Pharmacopées en Guyane)
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Sommaire
Tabebuia capitata (Bureau et K. Schum.) Sandw.
- Nom accepté : Handroanthus capitatus
Synonymies
- Tabebuia hypolepra Sprague et Sandw. ;
- Tecoma capitata Bureau et K. Schum.
Noms vernaculaires
- Créole : ébène verte [débenn-vert] [1].
- Wayãpi : waiwɨ’ɨ. Le premier ɨ comporte un tilde suscrit.
- Palikur : kwik kamwi.
Écologie, morphologie
Grand arbre de forêt primaire et de forêt sèche, assez commun.
Collections de référence
Grenand 1109, 1123 ; Jacquemin 1894.
Emplois
Chez les Wayãpi, l’écorce est préparée en décoction, utilisée comme fébrifuge en lavage externe.
Étymologie
- Créole : l’arbre est comparé à l'ébène africain (du genre Diospyros, Ebénacées) pour la dureté de son bois qui est ici non pas noir mais vert à la coupe.
- Wayãpi : de waiwɨ, « femme » et ɨ, « arbre ». Ce nom fait référence au mythe de création de la femme (F. GRENAND, 1982).
- Palikur : kwik, « arbre Tabebuia serratifolia », kamwi, « qui ressemble ».
Chimie et pharmacologie
Tests chimiques en fin d’ouvrage.
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- ↑ Tabebuia capitata est difficilement distinguable de l'espèce suivante, Tabebuia serratifolia.