Trabut, Répertoire: Z
Note : il n'y a pas de page Y.
[271]
C. — Zea mais. — Maïs.
Assengar.
Dra
Dra chami
Djabbar
Mstoura
Bechna
Qttania
Oum rhfara
Gafouli massri
Adaoua
Tourqia
Hortania safra
Draia (l'épi)
Qbala, aqbel (l'épi)
Roum
Zilla macroptera.
Oftazzen T — Ftozzer T.
Zilla
Chabrom, choubreq
D. — Zingiber officinale. — Gingembre, drogue.
Zendjebil
Eskendjebir
Zizyphora hispanica, Z. capitata.
Timeursah.
Ziziforan
Zaaleur
Fliyou
Zizyphus Lotus. — Jujubier sauvage (arrache-capote).
Hozouggart — Tazoura — Azareur — Azar —Tazouggert — Asennan — Amzmem — Bazezour — Ouari — Le fruit, Ibakaten T — Tabakat T.
Sedra
Djedjer
Nabg, nebiq (le fruit.)
[272]
Rhechoua (le fruit)
Dhal (le fruit)
Maraq es sedra (le bois de la souche, drogue)
Ce jujubier abonde dans le Nord du l'Afrique, jusque dans le Sahara, où il est parfois remplacé par le Z. Saharae. A Kairouan le jujubier fixe le sable et les débris végétaux et forme des éminence appelées Zebara ; c'est contre ces éminences que les indigènes plantent des Opuntia.
Le jujubier peut atteindre les dimensions d'un petit arbre, mais il est sans cesse coupé pour utiliser ses rameaux épineux comme clôture ; il persiste dans beaucoup de cultures de céréales où sa destruction augmenterait beaucoup le rendement.
Les auteurs anciens ont donné le nom de Lotos à plusieurs plantes ; le Z. Lotus est le Handakouka berri des auteurs arabes qui lui assignent la Libye comme habitat. Le Lotos du Coran est le Z. spina-Christi. Le Lotos d'Egypte est le Nymphaea Lotus dont le rhizome nommé biaroun est comestible.
Au sujet de cette confusion faite par des auteurs qui ont mal copié Dioscoride, Ibn Beithar proteste énergiquement : « Sachez que les savants devraient être les premiers à bien s'informer et à se tenir sur leurs gardes, les sages ont dit : il n'y a pas d'excuse pour l'erreur d'un savant parce que dans cette erreur il entraîne tout le monde ».
Voyez au sujet du Lotos et des Lotophages : Nitraria. Voir aussi : Pistacia atlantica.
Z. sativus. — Jujubier, cult.
Tabakath T — Bazegzour (fruit) — Hafas.
Zefsouf
Zfeizef
Aridj
Annab (le fruit)
Z. spina-Christi.
Abaqa T – Korna.
Zegzeg
Zefzouf,
Ardj, ourdj
R'assel
Sidr (du Coran)
Lotos (du Coran)
Nabq (du Coran), Nebga
[273]
Dans le Coran, il est, parlé plusieurs fois du Nabq ou Lotos ; d'après Gilaleddin il s'élève à la droite du trône de Dieu, les anges et les esprits ne peuvent passer au-delà (LIII, v. 14, 15, 16).
LVI, v. 27 : « Ceux qui occuperont la droite se promèneront parmi des Nabq qui n'ont point d'épines ».
XXXIV v. 15 : « Leurs jardins détruits ne produisirent plus que des fruits amers, des tamaris et quelques Nabq ».
Il s'agit dans ce cas de Nabq épineux. Ceux du Paradis sont sans épines.
En Palestine, le Nabq passe pour avoir fourni les éléments de la couronne d'épines du Christ, il est à ce sujet l'objet d'une vénération.
Ce jujubier est un bel arbre des oasis. Les indigènes mangent le fruit qu'ils nomment hanab comme le fruit du Z. sativus. Les feuilles mucilagineuses et astringentes sont employées dans le traitement des ophtalmies au début.
Ce jujubier peut être greffé avec des jujubiers améliorés, récemment introduits de Chine.
Zollikoferia. — Voy. Launaca.
Zygophyllum album, Z. cornutum, Z. Geslini, Z. Fontanesii. Z. simplex.
Haggaïa T — Tirta — Moïlhe.
Bou griba
Tartir
Haska
Khoressa
Ensal
Qillam
R'ardem
Peu recherchés par les herbivores, passent pour nuisibles au mouton ; employés dans les oasis comme engrais vert.