Nostoch (Rolland, Flore populaire)
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Sommaire
[Tome VIII,
Nostoch commune
- muscus fugax membranaceus pinguis, anc. nomencl., MAGNOL, 1686.
- tremella nostoch, nomenclat. de LINNÉ. [Le mot nostoch a été créé par PARACELSE et adopté postérieurement par les botanistes. Voyez à ce sujet VALLOT, Dissertation sur le nostoch (dans Mémoires de la Société linnéenne de Paris, t. 1 (1822), p. 473-494.]
- tremelle, f., gelée végétale, f., franç., NEMNICH, 1793.
- tremelle verte, f., français, BuLLIARD, Hist. des champign., 1791.
[194]
- trumèlo, f., Laguiole (Aveyr.), r. p.
- tunèl', f., Saint-Georges-d.-Gros (Orne), r. p.
- archée céleste, f., beurre magique, m., fille du ciel, f., fleur du soleil, f., fleur de la terre, f., merde de coucou, f., crachat de la lune, m., franç. popul., CARIOT [ED. EDM. ].
- échcupi dé coucu (= crachat de coucou), m., Brive (Corr.), LÉP.
- éscrà dé la luno, m., Provence, MrsTR.
- merde de coucou, f., M.-et-L., DESVAUX.
- mèrdo dé bèrmous (== m. de vers), Lectoure (Gers), r. p. (Dans le Pays messin on voit dans le nostoch des chiures de vers, r. p.)
- mèrdo dé pouzouères (= m. de sorcière), Pays d'Albret, DucoMET.
- hite di steûle (= merde d'étoile), f., sud-est de Liège, E. MoNSEUR. Folkl. wall., p. 61, (On dit dans le pays wallon en voyant une étoile filante : voilà une étoile qui hite.)
- fille de la lune, f., Char.-Inf., JôNAIN.
- ôburon, m., Velorcey (H.-Saône), r. p.
Voir aussi Duchesne pour d'autres noms.