Trabut, Répertoire: J-K
dans le nord de l'Afrique |
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Jasione montana.
Arit'lea saïouia.
Jasminum fruticans.
Agourmi - gourmi.
Bou lila
Kyane
Iasmine el berr
Ce jasmin à baies noires a dû être pris pour le Vaccinium Myrtillus ou Myrtille par Desfontaines qui signale cette dernière plante en Algérie dans la Flora Atlantica.
C. - J. grandiflorum et officinale. Cult. - Jasmin.
Iasmine
C. - J. Sambac. - Cult. en Tunisie.
Fell, foull
C. - Juglans regia. - Noyer, cult.
Tadjoudjte - Tsouik.
Djouza, djouz
Souak (l'écorce de la racine)
Dénomination des variétés cultivées : Djouz Aharri - Djouz Amchachoua - Djouz Ressas - Djouz Nemli - Djouz Benmezmaza, très grosse noix de l'Aurès.
Le Noyer était autrefois très cultivé dans le Maghreb par les Berbères, d'après les historiens il en existait des forêts dans la région montagneuse. On trouve encore dans l'Aurès de très belles variétés. Les ouvrages religieux de l'Islam font d'importantes recommandations sur l'entretien de la bouche, aussi les Arabes font une grande consommation de dentifrices, cure-dents et brosses tirés des végétaux indigènes.
Le noyer fournit le Souak qui est l'écorce de la racine et même de la
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tige. L'écorce découpée en lanières est employée pour affermir les gencives, son usage détermine une coloration des lèvres. Pour obtenir le Souak les indigènes n'hésitent pas à écorcher les jeunes noyers. Cette pratique désastreuse est tellement générale que les plantations sont devenues· très rares. Le Gouvernement a interdit l'exportation du Souak ce qui a limité le mal en diminuant les bénéfices des trafiquants de cette drogue universellement employée dans les pays musulmans et payée jusqu'à 25 francs le kilog.
Les Kabyles ont au sujet du noyer un préjugé néfaste : « Un homme qui plante un noyer meurt avant de voir les fruits ».
J. conglomeratus, J. glaucus, J. effusus, J. acutus, J. maritimus.
Azelef - Azeli T - Taleggit T - Taïziz T - Sellbou - Asselbi - Armaï - Tazmaït - Abouda.
Semar
Azemaï
Le Juncus acutus est très employé pour la confection de nattes.
J. bufonius.
Semmira
J. subulatus.
H'alline, hallan
Diss (Tripoli)
Juniperus communis. - Genévrier.
Tamerbout - Taarka - Ir'en.
Ttaga
J. Oxycedrus. - Cade.
Tamerbout - Taka - Tagga - Teka - Tiqqi - Tilkit - Tirki.
Ttaga
Les indigènes retirent du bois d'Oxycèdre l'huile de Cade : el quettrane
Un goudron est aussi préparé par le même procédé avec les bois de Pin et de Cèdre
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J. phœnicea. - Genévrier rouge.
Zimeba- Aïfz.
Arhar
Djineda
C'est par une erreur de traduction que ce Genévrier est appelé de Phénicie ; par phœnicea Linné a signifié rouge et non de Phénicie.
Ce Genévrier est communément. fumé par les indigènes du Sud, soit pur, soit en mélange, avec du tabac. Ce Genévrier persiste sur les montagnes du Sud.
J. thurifera. - Sabine à gros fruit.
Tazenzena - Abaoual - Aïoual - Taoualt - Adroumam - Takka.
Sanina (drogue).
Ce Genévrier très voisin de la Sabine a formé des peuplements importants dans l'Aurès où il devient rare par défaut de reproduction. Il est abondant dans l'Atlas marocain.
Jurinea humilis.
Tiskest - Touga-n-Tamena.
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K
Kalbfussia Mulleri.
R'errama
Lebn
Kentrophyllum lanatum.
Hacek
Meziz el Itima
Kaab R'ezal
Kigelia pinnata.
Oum Chatoura
Kleinia. - Voy. Senecio.
Knautia arvensis.
Imitzoual.
Zerigiya
Qabrour
Kochia muricata.
Meliha
Koeleria villosa.
Nims
Dil el Kherouf
Dil el halouf
Koelpinia linearis.
Adouan - Laaska.
Tehamlet el haneche
Tehamlet el R'zal
Lahiet el atrous
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Koniga libyca.
Aïn haneche
Harra
H. maritima.
Aguerma
Djerdjira
Haboudj el hadjera
Zerzira
Amimet el beldya
Achebet el ida
Khenfedj el hadjar
Qarqaz
Chourm el ibra
Kundmania sicula.
Ziyata
Nourrit partais le Pleurotus ferulae.