Drymaria cordata (Pharmacopées en Guyane) : Différence entre versions

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Version du 29 décembre 2020 à 19:16

Caryocar villosum
Pharmacopées traditionnelles en Guyane, 2004
Cecropia obtusa



Famille Caryophyllaceae

Drymaria cordata (L.) Willd.

Synonymie

  • Holosteum cordatum L. [1]

Noms vernaculaires

  • Créole : petite griffe |ti-grif|, ti mignonette |ti-miyonnèt|.
  • Wayãpi : —
  • Palikur : asukatye arib.
  • Portugais : jaboti-caá.

Écologie, morphologie

Petite herbe prostrée, fréquente sur les aires régulièrement désherbées de la région littorale.

Collections de référence

Grenand 1609 ; Moretti 268 ; Prévost 3658 ; Jacquemin 1497.

Emplois

L’infusion passe, en médecine créole, pour diminuer les fuites albuminuriques. Il nous a été rapporté que cette plante était autrefois employée dans le traitement de la lèpre. Les Palikur préparent une décoction fébrifuge de la plante entière prise en tisane [2].

Étymologie

  • Créole : ti mignonette, « petite mignonne », en raison du port gracile des fleurs et des feuilles.
  • Palikur : de asukatye, « oiseau euphone (créole, ti louis, Euphonia spp.) » et arib, « queue », en raison de l’aspect de la plante.

Chimie et pharmacologie

Tests chimiques en fin d’ouvrage.

____________________

  1. Les collections d'herbier indiquées ci-dessus avaient été identifiées dans la première édition comme Lindernia crustacea F. Muell.• Scrophularlacées.
  2. Les auteurs anciens (AUBLET, 1775 ; HECKEL, 1897) indiquent « consommé en salades rafraîchissantes » comme usage de la présente espèce.