Gypsophila (Rolland, Flore populaire) : Différence entre versions
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Sommaire
[Tome III, 8]
Gypsophila
- fjijpsophile^ L, Tranc-iis savant.
- jiipso^y ni.^ Cis^irs (Eure), rec. pers.
- gipsaritçiij ipsoritça^ iperige^ ipcarige^ roumain, Brandza.
- tjijffehtemj. néftrK, (Ujpemans. [A. de C]
- ntîst^ Itahies' hreaUt^ anglais des Etats-Unis, Bergen.
- lyszc%ec %ieky polonais, Linde.
Gypsophila saxifraga
- irâoucû pêim^ f., env. d'Avignon, Palun.
- îraouco-murj m. , ùav. de Barbaste (Lot-et-Gar.), c. par M. L. Dardy.
- Kossifratja^ Vérone, 1*ollini.
- krenika, scrbo-rruatCnj Šulek.
- gipskruid, néerl.. Van Dale. [A. DE C.]
Gypsophila muralis
- It/stfiiia (= renard), tichtchytiia, petit russien. [Th. V.]
Gypsophila repens
- mikt ûf. rochfn, nu, français. Buisson, 1779.
[9]
Gypsophila compressa
- oudmi, kabyle, Hanoteau.
Gypsophila paniculata
- (TTpo'jOtov, ancien grec, Dioscoride, selon Ed. Bonnet.
- saponaire d'Orient y f., saponaire d* Egypte , f., français, Bull. de la Soc. bot., 1860, p. 897.
- œillet d^amour, m., français, Mail.
- blumenschleier^ Carinlhie, Zwanziger.
- katoune, perekoty'-pole (= qui se roule dans les champs), koty-pole, petit russien. [Th. V.]
- holioutschki poliovi, gouvernem. de Voronèje, c. par M. Dikarev.
- schatter, pérékatipoléy russe de Roschestvino, Pallas, Voyage en Russie, I, 287.
- katschimy près de Stavropol, Pallas, Voy. en Russ.^ I, 287.
- katipolé, près du Kinel, Pallas, Voy. en /?., I, 287.
- katoun, pokatour, près du Jaïk, Pallas, Voy. en /?., I, 287.
- cheven, turc, Bourgeau (dans BuU. de la Soc. bot., 1860, p. 897.)
- fTjpiq, punique de Carthage, Ed. Bonnet, p. 4.
« Cette plante est un objet de commerce en Turquie ; on remploie surtout pour en faire une sorte de nougat que les Turcs nomment halva. Pour le préparer, on coupe en morceaux et l'on réduit en poudre la racine de la plante, puis on la fait bouillir et on la remue jusqu'à ce que la décoction ait pris la consistance de la gélatine. On y ajoute alors ordinairement une petite quantité de miel, puis on vide la chaudière dans un vase de forme ovale ou autre. Le halva, en se refroidissant, prend la forme du vase dans lequel il a été versé et devient plus ferme que du pain d'épice. On vend cette substance sur les marchés de toutes les villes; son prix varie suivant la distance où Ton se trouve des localités où croît la plante. La Lycie est un pays qui la produit en abondance. La racine brute est vendue dans les campagnes 25 centimes le kilogramme,
- à Smyrne 45 centimes, et sèche 60 centimes. Cette racine est en outre très savonneuse, et les habitants s'en servent pour dégraisser le linge ; quelques morceaux mis dans de l'eau et bien agités font mousser immédiatement cette eau. » (Note prise à Elmalu, le 27 juin 1860). E. Bourgeau (dans Bull. de la Soc. botanique, 1860, p. 897).
[10]
Gypsophila struthium
- soude vermiculaire^ f., kali à blanchir la laine, m., français, Saint-Germain, 1784.
- sapounéro doou levant, f., provençal mod., Lions.
- albada, albaida (de l'arabe al-boédhâ = la blanche), espagnol, Colmeiro.
- trincola, catalan, Costa.
Gypsophila rokejeka
- roqeyqah (selon Forskal et Delile), sirr (selon Forskal ; cf. Tancien punique (Tvpiç nom de la gypsophila paniculata), arabe égyptien, Ascherson et SCHWEINFURTH.