Solenostemma arghel (Criquet) : Différence entre versions
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'''Références bibliographiques''' : | '''Références bibliographiques''' : | ||
| − | OZENDA P., 2004. – Flore et végétation du Sahara. 3ème éd. (mise à jour et augmentée). – CNRS : Paris. p. 373 | + | OZENDA P., 2004. – ''Flore et végétation du Sahara.'' 3ème éd. (mise à jour et augmentée). – CNRS : Paris. p. 373 |
| − | QUÉZEL P. & SANTA S., 1962. – Nouvelle flore de l’Algérie et des régions désertiques méridionales. – Centre National de la Recherche Scientifique : Paris. p. 750 | + | QUÉZEL P. & SANTA S., 1962. – ''Nouvelle flore de l’Algérie et des régions désertiques méridionales.'' – Centre National de la Recherche Scientifique : Paris. p. 750 |
== Intérêt pour le Criquet pèlerin == | == Intérêt pour le Criquet pèlerin == | ||
Version actuelle en date du 17 juillet 2023 à 16:48
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Solenostemma arghel (Delile) Hayne
Famille : Asclepiadaceae
Basionyme : Cynanchum arghel Delile
Synonymes : Cynanchum oleifolium Nectoux, Solenostemma oleifolium (Nectoux) Bullock & E.A. Bruce ex Maire (1933)
Type physionomique : Buisson ou ligneux bas
Description : Espèce formant des buissons bas (45 à 65 centimètres de haut) pouvant constituer de petites colonies en bordure de certains oueds. Tige raide, de couleur claire. Feuilles petites (environ 3 centimètres de long), rappelant celles de l’olivier. Fleurs en petits glomérules axillaires, lâches, odoriférantes. Fruit globuleux, lisse, de couleur plus ou moins violacée, libérant de nombreux akènes munis d’aigrette à maturité. Plante médicinale plus ou moins antiseptique.
Biogéographie : Espèce saharo-sindienne.
Type biomorphologique de Raunkier : Chamaephyte.
Port : Plante formant de petits buissons bas, parfois réunis en colonies ripicoles.
Préférences édaphiques : Espèce des sols complexes, plus ou moins rocailleux.
Préférences hydriques : Espèce eury-méso-xérophile et supportant la sécheresse.
Tolérance aux sels : Non.
Milieux : Plante souvent ripicole (bordure de lit d’oueds petits ou moyens) et des pentes rocailleuses, principalement au Sahara central (Hoggar) mais aussi dans les massifs montagneux méridionaux (Aïr).
Références bibliographiques :
OZENDA P., 2004. – Flore et végétation du Sahara. 3ème éd. (mise à jour et augmentée). – CNRS : Paris. p. 373
QUÉZEL P. & SANTA S., 1962. – Nouvelle flore de l’Algérie et des régions désertiques méridionales. – Centre National de la Recherche Scientifique : Paris. p. 750
Intérêt pour le Criquet pèlerin
Peut servir d’abri mais non consommée.
