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Arum (Cazin 1868)

117 octets ajoutés, 29 janvier 2013 à 12:50
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Aroïdees. — Colocasiées. Fam. nat. — Gynandrie polyandrie. L.</center>
Cette plante vivace (PI. VI) est très-commune dans les lieux humides, lelong des haies, sur le bord des chemins, dans les bois ombragés.
Description. — Rhizome arrondi, gros à peu près comme un oeuf de pigeon,tunëreux, garni de quelques fibres, brunâtre extérieurement, blanc à l'intérieurl’intérieur,charnu et imprégné d'un d’un suc laiteux. —• Tige de 15 à 20 centimètres, cylindrique,lisse, radicale, cannelée, uniflore, tendre, spongieuse, enveloppée intérieurement parles gaines des pétioles. — Feuilles longues de 25 à 30 centimètres, sagittées, à oreillespeu divergentes, engainant la tige par leur pétiole, luisantes, d'un d’un beau vert, souventmarquées de taches blanchâtres ou brunes qui lui ont valu son nom spécifique, bienque ce caractère manque quelquefois. — Fleur terminant la lige, et présentant : 1° aulieu -, de. calice, une spalhe monophylle, membraneuse, très-ample, droite, terminée enoreilles d'âned’âne, verdâtre en dehors, blanche en dedans ; 2° un spadice spadoise très-simple, beau-coup beaucoup plus court que la spathe qui l'environnel’environne, d'abord d’abord blanc-jaunâtre, puis rougeâtreoù pourpre-livide, fleuré à sa partie inférieure, nu à son sommet ou clialonclairon, lequel estcylindrique, ressemblant à un pilon, se flétrissant et tombant avant la maturation (mai).
— Anthères nombreuses, sessiles, tétragones, disposées sur plusieurs rangs au centredu chaton et au-dessous de deux ou trois rangées de glandes aiguës. — Ovaires trôs-
• multipliés, à stigmate barbu entourant la base du chaton.— Fruits ou baies globu-leusesglobuleuses, devenant rouges en mûrissant, succulentes, uniloculaires, contenant une oudeux semences dures et arrondies, et formant un bel épi serré.
Parties usitées. — La racine (rhizome) et les feuilles.
[Culture. — L'arum L’arum n'est cultivé que dans les jardins de botanique; on le pro-page propage de graine ou de cayeux, soit encore par séparation des pieds, dont on plante leséclats en terre un peu ombragée et abritée ; les essais de culture en grand n'ont n’ont donnéaucun résultat avantageux.]
Récolte.-^ Les. feuilles, étant caduques, ne peuvent être récoltées qu'avant qu’avant lafructification, qui a lieu d'août à octobre. Les rhizomes s'arrachent s’arrachent au printemps ou àl'automne; ils demandent de la prudence quand on les emploie frais. Je ne mets enusage que la racine de l'annéel’année; plus ancienne et trop desséchée, elle est d'un d’un effet inusage pu nul. On ne peut apprécier le plus ou moins de perte de son principe actifpar la vétusté.. "■ ■
Propriétés physiques et eliimiques; usages économiques.
L'analyseL’analyse, a démontré dans la racine d'arum, de l'eau, de la gomme, de l'albumine,"une« une'substance"sucrée non cristallisable, un principe très-âcre soluble dans l'eau, unacide végétal, du ligneux, et de la fécule en grande quantité.
,"La  »La racine fraîche, de même que les feuilles, est d'une âcreté telle qu'elle produitflans la bouche, lorsqu'on lorsqu’on la mâche, une saveur brûlante qui se dissipe difficilement.La:dessiccation, ainsi que nous l'avons l’avons dit plus haut, lui ôte en grande partie cette*cïimonie ; 0 n'en n’en reste aucune trace si l'on soumet cette racine à la torréfaction oua des ébulliùpJ»é«-rt!p*té^s. On obtient par ces procédés une fécule blanche très-nour-nssantenournssante, Çj^éÇ\l§quJ5MSiuivant Cirillo, on peut faire de fort bon pain. Il y a évidem-ATII évidemATII U3AS* $§?aT 1 aiQÉ^Sfntre l'arum l’arum et le manioc, avec lequel on se nourrit auxAntilles/,Mns lm c^inftydluis l'autre, la matière nutritive se trouve mêlée au poison
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dont il est facile de la séparer. (Les Arabes des environs de Tenez et de Dahra, dé-pourvus dépourvus de grains, ont l'ait l’ait sécher au soleil les racines de l'arum (Begouga), pour leurenlever leur àcreté. Quoiqu'ils Quoiqu’ils aient mélangé avec la poudre qu'ils en avaient obtenueun cinquième de farine d'orged’orge, ils n'en accusèrent pas moins cette nourriture de pro-duire produire des coliques, de l'embarras intestinal, de l'empâtement des membres.)
[D'après D’après Bucholz, le rhizome d'arum contient sur 100 parties: huilé grasse 0.0,extrait sucré k.k, gommé 5.6, mucilage 18.0, amidon humide 71 Zi.l
La racine d'arum d’arum a joui d'une grande réputation pour l'extraction d'un amidon biensupérieur à celui des céréales ; de là le nom de racine aiuidonnière qu'elle qu’elle avait enNormandie. On s'est servi de cet amidon comme blanc de fard.
PRÉPARATIONS PHARMACEUTIQUES ET DOSES.
A. L'INTÉRIEURL’INTÉRIEUR. — Poudre (racine), U à 10 gr.dans un véhicule aqueux ou'un ou’un électuaire(comme purgatif ou éméto-cathartique), 1 à2 gr. comme altérant.
A L'EXTÉRIEUR. — Racines et feuilles appli-quées appliquées fraîches, comme vésicant; cataplasme
rubéfiant. — Racines coupées en tranchesminces pour produire le même effet.La racine d'arum d’arum -est un des ingrédients dela poudre stomachique de Birkmann et dela poudre cachectique de Duchesne (pule'upule’u eacheclicus Quercetani), qui ont joui d'uned’une grande réputation.
L'arum est un poison violent. Mâché, il est d'abord d’abord presque insipide; maisil développe bientôt une saveur acre et brûlante; des douleurs vives et lanci-nantes lancinantes se font sentir dans tout l'intérieur l’intérieur de la bouche, auxquelles succèdentimmédiatement de violentes douleurs d'estomacd’estomac, des vomissements, des coli-quescoliques, des convulsions, des crampes, des évacuations alvines, le refroidisse-ment refroidissement des membres, la petitesse du pouls, la rétraction des muscles, etc. Cessymptômes s'accompagnent s’accompagnent du gonflement excessif de la langue, d'une in-flammation inflammation intense de la bouche et du pharynx qui s'oppose s’oppose à la déglutition,et qui rend très-difficile l'administration des remèdes. (Dans un cas publiédans la Gazette médicale de Porto (1860, n° 6), on ne put même pas intro-duire introduire une sonde oesophagienne, tant était grande la tuméfaction des par-tiesparties.) La mort, plus fréquente chez les jeunes sujets, arrive par surexcita-tion surexcitation nerveuse ou par asphyxie.
L'empoisonnement L’empoisonnement récent réclame l'emploi des vomitifs les plus prompts.On doit se titiller Farrière-bouche avec les doigts pour provoquer le vomis-sementvomissement. Lorsque l'inflammation a lieu, il faut lui opposer les saignées géné-rales générales et locales, les bains tièdes. Pour calmer les douleurs gastriques et intes-tinalesintestinales, on aura recours aux préparations d'opium. Le vinaigre, conseillé parVicat, serait funeste au début en dissolvant le principe vénéneux de la plante,et en la présentant à l'absorption l’absorption sous une l'orme l’orme plus assimilable encore.Il ne doit être administré que plus tard, lorsqu'à lorsqu’à la réaction ont succédéles signes de stupeur et de narcotisme, et encore vaut-il mieux alors em-ployer employer les stimulants généraux, l'opiuml’opium, les révulsifs à l'extérieur. Lorsquela langue est tellement gonflée que la déglutition est devenue impossible, ilfaut la scarifier.
Pour faire cesser les violentes douleurs de la bouche, résultant de l'aruml’arum simplement mâché, on a conseillé l'huile l’huile d'olives ou d'amandes douces, oul'oseille, moyens presque toujours insignifiants.
La racine d'arum, seule partie usitée autrefois, est à tort négligée aujour-d'hui aujourd’hui dans la thérapeutique, où la mode exerce son empire comme sur tantd'autres choses. Elle est regardée, par les auteurs qui en ont parlé, commeincisive, résolutive, expectorante, purgative. Les anciens, et surtout Diosco-rideDioscoride, recommandaient la racine de pied-de-veau dans l'asthme l’asthme et les affec-tions affections chroniques des organes respiratoires. Antoine Constantin, médecinprovençal, à l'imitation l’imitation de Mesué conseille aussi dans ces cas des potionsou des pilules d'arum d’arum avec le jus d'origand’origan, d'absinthe ou de sauge. Cellecomposition, dit-il, à la dose de quatre scrupules, purge efficacement et sansviolence. Les moyens employés dans ces formules pour corriger le principetrop actif de la racine d'arum d’arum administrée à l'état frais sont à remarquer.
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Us viennent à l'appui de l'opinion émise par Martin Lauzer (1) sur l'effica-cité efficacité présumée des huiles essentielles de thym ou de menthe dans l'empoison-nement empoisonnement Causé par cette plante.
Gesner dit avoir guéri trois hommes et une femme atteints de phthisiecommençante,"  » et en avoir soulagé plusieurs autres en leur administrant l'ex-trait extrait vineux des feuilles et des racines de cette plante, en parties égales.L'effet de ce remède était de produire des expectorations abondantes. Hor-tius Hortous rapporte l'observation l’observation d'un enrouement très-invétéré guéri au moyend'un d’un looch composé de poudre de racine d'arum mêlée avec du sucre candiet un sirop approprié.
J'ai J’ai fait cesser en dix jours une bronchorrhée chez un cultivateur qui enétait atteint depuis un mois, par suite d'une d’une bronchite aigùe, en administranttrois fois par jour 1 gramme de racine de cette plante mêlée en forme d'élee-tuaire d’életuaire avec q. s. de miel. Je l'ai l’ai employée aussi avec succès chez un enfantde trois ans, atteint d'une d’une coqueluche qui menaçait de se terminer par unepneumonie chronique. Je faisais prendre 30 centig. de cette racine pulvériséetrois fois par jour, et ensuite cinq fois. Elle produisait quelquefois le vomis-sementvomissement, et toujours quelques évacuations alvines. Après douze à quinze joursde son usage, la guérison était complète. Dans d'autres d’autres cas, je l'ai associée àla poudre de racine de belladone. Son effet me paraissait analogue à celui del'ipé'cacuanhal’ipécacuana, qu'elle qu’elle peut, je crois, remplacer comme expectorante, ayantlà même action sur les muqueuses bronchique et gastrique. Je n'employaisn’employais que la racine de l'année.
(L'usage L’usage de l'arum dans les affections chroniques des voies respiratoirestrouve une consécration dans, celui que les praticiens américains font del'arum l’arum triphyllum.)
• J'ai J’ai administré la racine d'arum, dans l'asthme humide, la cachexie suitede fièvres intermittentes prolongées, l'hydropisie, comme purgative et diuré-tiquediurétique. Je commençais par la dose de 2 à 3 gramtram. en poudre dans de la tisaned'orge ; j'étais souvent obligé de diminuer cette dose pour l'augmenter gra-duellementgraduellement. J'ai J’ai aussi donné avec avantage le suc exprimé à la dose de i à 2gram. étendu dans une solution mucilagineuse un peu aromatisée. Lewis,qui a administré ce suc avec succès dans l'hydropisiel’hydropisie, l'enveloppait de muci-lagemucilage, et le donnait sous forme d'émulsion d’é mulsion depuis 30 centig. jusqu'à jusqu’à 1 gram.30 centigrammes.
Bergius et Gilibert prétendent avoir guéri avec l'arum l’arum des fièvres intermit-tentes intermittentes et des céphalées gastriques rebelles.
' Willis employait dans les affections rhumatismales la racine fraîched'arum d’arum en émulsion avec de la gomme, le blanc de baleine, etc. Hooperprescrit contre le rhumatisme chronique la poudre de racine d'arum d’arum à la dosede 50 cent, dans du vin blanc d'Espagne, trois fois par jour. Voici ce quedit, au rapport de Bulliard, l'auteur d'un l’auteur d’un Traité de médicaments simples :«J'ai « J’ai éprouvé d'heureux d’heureux effets de l'usage de cette racine dans le traitementdes douleurs du rhumatisme, surtout quand elles étaient fixes et situées pro-fondémentprofondément. En pareil cas j'ai fait prendre depuis dix grains jusqu'à un scru-pule scrupule de racine fraîche d'arumd’arum, deux ou trois fois par jour; elle s'avalait enbol ou en émulsion, jointe à des substances huileuses et mucilagineuses quiempêchaient que son âcreté et son irritation ne se fissent sentir vivement etne produisissent sur la langue une impression douloureuse. En général, elleoccasionne par tout le corps une légère agitation, avec picotement, et quandle malade se tient chaudement au lit, elle cause des sueurs abondantes. »
A l'extérieurl’extérieur, les feuilles fraîches piléés, ou la racine récente coupée entranches minces, appliquées sur la peau, y produisent un effet rubéfiant etvésicarïtvésicant. J'ai souvent employé ce vésicatoire, parce que je l'ai toujours trouvé
(1) Revue de thérapeutique médico-chirurgicale, t. IDr, p.-157. '
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sous la main pendant la belle saison. (Les campagnards appliquent sur le coldans les inflammations de la gorge un cataplasme de racines de gouetfouet, ré-duites réduites en pulpe grossière. Matthiole recommande le suc qu'on qu’on en exprimecomme caustique sur les polypes nasaux. Albrecht (1) a vu au Japon em-ployer employer contre l'acarus de la gale une variété d'arum mal déterminée. Hme Hme semble que l'application de ce remède pourrait avoir plus d'un incon-vénient inconvénient si l'on l’on tentait de suivre l'exemple des Japonais avec notre arum.)Un mélange de feuilles d'arum d’arum et d'oseille, cuites sous la cendre dans unefeuille de choux, et incorporées avec du saindoux, m'a m’a souvent servi commematuratif sur les abcès froids, les tumeurs scrofuleuses ouvertes, mais encoreengorgées dans leur voisinage, dans tous les cas où il fallait animer des tissustuméfiés, soit cellulaires, soit glanduleux. L'oseilleL’oseille, mitigeant l'action del'aruml’arum, empêche la vésication et borne cette action à un effet puissammentrésolutif, stimulant et détersif. Quand ce mélange est fait avec les feuillesfraîches pilées dans un mortier, il est plus actif et convient surtout pourdissiper les engorgements oedémateux, l'hygromal’hygroma, etc. 11 peut, dans beau-coup beaucoup de cas, remplacer comme résolutif les préparations d'ioded’iode, dont le prix,quand l'usage l’usage doit en être longtemps continué, est trop élevé pour l'ouvrierl’ouvrier des campagnes.
J'ai J’ai détergé promptement des ulcères atoniques, scorbutiques ou scrofu-leuxscrofupeux, par l'application du suc des feuilles et delà racine d'arum ; son actionest très-énergique et change le mode d'irritation d’irritation des parties affectées. Unesuppuration de bonne qualité a lieu, et une cicatrisation solide s'opère s’opère peuà peu. Un cas très-curieux, pour lequel j'ai j’ai été consulté en 1848, mérited'être rapporté.
Géneau, âgé de sept ans, habitant Samer, bourg avantageusement situé ettrès-salubre, constitution grêle, tempérament éminemment lymphatique,ayant eu des croûtes de lait pendant sa première et sa seconde dentition,était atteint depuis dix-huit mois environ d'une d’une tumeur blanche à l'articula-tion l’articulation huméro-cubitale gauche, contre laquelle on avait employé des frictionsavec la pommade d'iodure d’iodure de potassium iodurée, et le vésicatoire ; à l'inté-rieurintérieur, la décoction de houblon et l'huile de foie de morue. Ce traitement,irrégulièrement suivi, fut abandonné à cause de l'indocilité l’indocilité de l'enfantl’enfant. Ons'en s’en tint seulement à l'entretien d'un vésicatoire occupant la moitié externede la tumeur. Quand je vis ce malade, à la fin d'avril d’avril 1848, la tumeur blancheétait très-volumineuse ; elle occupait toute l'articulationl’articulation, qui était immobileet en demi-flexion. Un fongus fondus de la grosseur du poing s'était développé surtoute l'étendue l’étendue du vésicatoire, qui, négligé, pansé avec des corps gras, s'étaitulcéré. Cette énorme hypersarcose, d'un d’un aspect hideux , peu douloureuse,saignant au plus léger frottement, fournissait une suppuration abondante.La partie non ulcérée de la tumeur blanche était pâle, excepté au pourtourdu fongusfondus. 11 y avait pâleur du teint, amaigrissement, grande débilité; par-fois parfois irritation gastro-intestinale manifestée par la diarrhée ou la constipation,mais toujours assez bon appétit et sommeil paisible. Dunan, Courtois etGrignon, médecins à Pâmer, avaient, me dit-on, déclaré que l'amputationl’amputation du bras était le seul moyen à employer. Je dois avouer que je partageaiscette opinion ; mais comme les parents s'opposaient s’opposaient à toute opération san-glantesanglante, je proposai subsidiairement la destruction du fongus fondus par l'applicationdu caustique de Vienne. On demanda un délai de quelques jours. Un gué-risseur guérisseur de campagne fut consulté. Ce dernier conseilla l'application journa-lière journalière des feuilles d'arumd’arum, broyées et réduites en.pulpe, sur toute l'étenduedu fongusfondus, et des compresses imbibées de la décoction des racines delàmême plante, autour de l'articulation. L'action L’action corrosive du suc d'arum dé-truisit détruisit peu à peu l'hypersarcose. La plaie, ramenée au niveau des téguments,
(1) Union médicale, 1863, n° 70.
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se cicatrisa. La fomentation de décoction de racine d'arum d’arum fut continuéecomme résolutif. Bref, après trois mois de ce traitement, la guérison étaitobtenue. Il restait seulement un léger engorgement autour de l'articulationl’articulation,et un peu de gêne dans les mouvements d'extension, résultant de l'immo-bilité immobilité prolongée du membre, et probablement d'un état phlegmasique ad-hésif adhésif des tissus blancs. Ne pigeât ex plebeis sciscitari, si quid ad cwationemutile (1).
Ge serait un livre vraiment utile.que celui qui contiendrait tous les remèdespopulaires traditionnellement répandus dans les campagnes. Fernel, au rap-port rapport de Bordeu, méditait, au moment où il mourut, un ouvrage sur l'usagel’usage et l'administration_ l’administration_ de tous les remèdes domestiques, empiriques et autres :« Quel malheur, dit le médecin béarnais, qu'un qu’un homme qui paraît avoir étépropre à marier le dogme à l'empirismel’empirisme, n'ait pas eu le temps de remplircet important objet!... »
[[Catégorie:Cazin 1868]]
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