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Androssakes (Ibn al-Baytar)

Révision de 18 avril 2017 à 19:57 par Michel Chauvet (discussion | contributions)

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Andahimân
Ibn al-Bayṭār, Traité des simples
Enbetron


165 - Androssakes, ANDROSACES.


Nom accepté : [[]]

[1-150]

  • C’est une espèce de plante salée qui est connue par les Arabes sous


[151]

le nom de mollâh xxx, et de kechmelakh xxx.
  • DIOSCORIDES, III, 140. C’est une plante qui croît sur les rivages de Syrie, annuelle, blanche, à rameaux grêles, amère, âcre, sans feuilles, portant à son sommet un follicule rempli de graines. Prise à la dose de deux drachmes dans du vin, elle fait uriner abondamment les hydropiques. La graine et la plante agissent ainsi. On emploie aussi avec succès la plante en cataplasme contre la goutte.
  • GALIEN, livre VI. Cette plante est amère et acre. Desséchée et administrée à l’intérieur, de même que sa graine, elle provoque d’abondantes urines. En même temps elle est résolutive et dessiccative.

On a varié sur la nature de cette plante et sur la classe qu’elle doit occuper. Linnée l’a rapportée, dit Sprengel, successivement aux genres Sertularia, Madrepora et Tubularia. Nous avons rectifié le titre de notre manuscrit, qui donne xxx, ce qui est évidemment une transcription fautive du grec androsaces. Quant aux synonymes, nous avons adopté la leçon des notes de la traduction arabe de Dioscorides xxx. Meninski en fait un halymus, d’après Golius. (Vovez le n° 2172.)