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Coronope (Cazin 1868)

Révision de 1 décembre 2016 à 19:14 par Michel Chauvet (discussion | contributions)

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Coronille
Cazin, Traité des plantes médicinales, 1868
Crambé maritime

[353]

Nom accepté : Lepidium coronopus


CORONOPE. Cochlearia coronopus, L.

Coronopus ruelli. Ger. — Coronopus ruelli sive nasturtium verucosum. J. Bauh. — Ambrosia campestris repens. C. Bauh. — Senebiera coronopus. Poiret. — Coronopus vulgaris. De Candolle.

Corne de cerf, — sénebière coronope, — cresson de rivière, — ambrosie sauvage.

CRUCIFÈRES. Fam. nat. — TÉTRADYNAMIE SILICULEUSE. L.


Cette plante annuelle croît abondamment dans les lieux humides, incultes, le long des rivières et des chemins.

Description. — Tige rameuse, étalée. — Feuilles longues, pinnatifides, à lobes obtus, pinnatifides et incisés. — Fleurs blanches, petites, en grappes courtes, axillaires, ou le plus souvent opposées aux feuilles (juin-juillet). — Silicules réniformes, très-rudes.

La coronope est excitante, diurétique, antiscorbutique. Cette plante, étant très-commune, peut remplacer le cresson, le cochlearia, le raifort, etc., dans les lieux où ceux-ci sont rares.