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Piper oblongifolium (Pharmacopées en Guyane)

53 octets ajoutés, 24 mai 2022 à 15:44
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brûlant du suc décroissent des racines vers les feuilles. Les tiges et les racines écrasées
sont également enfoncées dans le nez des chiens de chasse pour exciter leur odorat. Les
mêmes parties de la plante entrent enfin dans la préparation du curare ([[Strychnosguianensis (Pharmacopées en Guyane)|cf. ''Strychnosguianensis'', Loganiacées) <ref>Cette espèce, ainsi que ''P. alatabacum'' et ''P. bartlingianum'', dont les propriétés n'avaient jamais été décrites, semble pouvoir être rattachée au groupe des « faux jaborandi », Pipéracées à saveur brûlante, telles que ''Piper jaborandi'' Vell. et ''P. corcovadensis'' (Miq.) DC. du Brésil méridional ou ''Piperdactylostigmum'' Yuncker, ''Piper daguanum'' C. DC., ''Piper darienense'' C. DC. et ''Piper ottonoides'' Yuncker d'Amazonie (MORS et RIZZINI, 1966 ; SILVA ''et al.'', 1977 ; SCHULTES et RAFFAUF, 1990 ; BALÉE, 1994 ; MUNOZ ''et al.'', 2000a).<br>Plusieurs ''Piper'' non identifiés cités, pour les Guyanes, par divers auteurs (CREVAUX, 1883 ; GEYSKES,
1942 ; FRIKEL, 1973) comme adjuvants du curare, se rattachent sans doute à ce groupe.<br>
L’usage de ''Piper'' entrant dans la préparation des curares (''Piper caudatum'' Vahl, ''P. dumosum'' Rudge ou ''P. hispidum'' Swartz) a également été observé en Amazonie occidentale (SCHULTES et RAFFAUF, 1990).</ref>.
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