La plante est par ailleurs un charme de pêche. Les tiges sont arrachées par enroulement
sur une pointe de flèche métallique.
Une fois séchées, elles sont pilées et mélangées à du ''sipɨ'', produit de maquillage (cf.[[Protium heptaphyllum (Pharmacopées en Guyane)|Burseracées]]), dont on s’orne le visage. On dépose alors sur un rocher du fleuve une
offrande faite de bananes et de larmes de Job (''[[Coix lacryma-jobi]]'' L„ Poacées). Ce rituel doit
amener ''Pilawi'', la mère des poissons, à accorder une pêche particulièrement fructueuse