Pseudocedrela kotschyi (PROTA)
Introduction |
Importance générale | |
Répartition en Afrique | |
Répartition mondiale | |
Colorant / tanin | |
Médicinal | |
Bois d'œuvre | |
Bois de feu | |
Ornemental | |
Fourrage | |
Auxiliaire |
Pseudocedrela kotschyi (Schweinf.) Harms
- Protologue: Bot. Jahrb. Syst. 22: 154 (1895).
- Famille: Meliaceae
- Nombre de chromosomes: 2n = 56
Noms vernaculaires
- Dry-zone cedar, hard cedar-mahogany (En).
Origine et répartition géographique
Pseudocedrela kotschyi est répandu dans la zone de savane depuis le Sénégal jusqu’à l’ouest de l’Ethiopie et l’Ouganda.
Usages
Le bois est apprécié pour les menuiseries haut de gamme, les meubles et l’ébénisterie, de même que pour la construction. Il ressemble à l’acajou, tout en étant plus lourd et plus dur. Il est également utilisé pour la fabrication de portes, de fenêtres, d’encadrements, de tambours, de tonneaux, de canoës, de mortiers, de bols et de crosses de fusil. Il convient pour la construction de parquets, de boiseries intérieures, la construction navale, la charronnerie, les jouets, les articles de fantaisie, les objets sculptés, le tournage, les placages et le contreplaqué. Le bois sert aussi de bois de feu et pour la production de charbon de bois.
Pseudocedrela kotschyi a de multiples usages en médecine traditionnelle, en particulier son écorce, ses racines et ses feuilles. Les décoctions ou les macérations d’écorce sont utilisées en application externe pour soigner les ulcères, les plaies, les rhumatismes, la lèpre, la syphilis, le pian, les démangeaisons, les caries et la gingivite. Par voie interne, elles servent à traiter la fièvre, les douleurs d’estomac, la diarrhée et la dysenterie, ainsi que comme diurétique et aphrodisiaque. Les préparations à base de racines ou d’écorce de racine sont prescrites comme puissant diurétique, contre l’asthme, la fièvre, la dysenterie, l’œdème, pour faciliter l’accouchement, et en application externe pour soigner les ulcères, la mastite, les hémorroïdes, les fractures, les rhumatismes, les caries et la gingivite, et comme aphrodisiaque. En Ouganda, on boit une infusion à base de poudre de racine pour soigner la cirrhose du foie. Les rameaux feuillés sont broyés et utilisés en friction pour traiter les maux de tête et les rhumatismes ; quant à la décoction de feuilles, on l’applique en compresse sur les fractures, on la boit et on l’utilise en bain contre les éruptions cutanées et les œdèmes. Les jeunes tiges et les racines servent souvent de bâtons à mâcher pour conserver des dents saines. Au Nigeria, l’écorce de la tige s’emploie dans des mélanges destinés à traiter la trypanosomose du bétail, et les feuilles sont administrées en médecine vétérinaire contre les vers intestinaux. Au Nigeria, l’écorce sert à fabriquer du poison de flèche, et en Côte d’Ivoire du poison de pêche. L’écorce produit un colorant brunâtre utilisé jadis en Afrique de l’Ouest pour teindre les vêtements. Pseudocedrela kotschyi est parfois planté comme essence ornementale d’ombrage et d’alignement. Au Nigeria, les feuilles servent d’engrais vert.
Propriétés
Le bois de cœur est brun rougeâtre et se distingue nettement de l’aubier, de couleur blanchâtre à brun pâle et de différentes épaisseurs. Il est contrefil, le grain est moyen et régulier. Le bois a un bel aspect, dégage une odeur discrète et contient un peu de gomme.
Le bois est moyennement lourd, avec une densité d’environ 750 kg/m³ à 12% d’humidité. Il faut le faire sécher à l’air lentement et avec soin afin d’éviter les fentes et le gauchissement. Les taux de retrait sont assez élevés.
Le bois se scie et se travaille bien avec des outils manuels et mécaniques. Il se rabote en donnant une surface lisse, se cloue, se visse et se colle de manière satisfaisante. Il est assez résistant, mais sensible aux attaques de Lyctus et de capricornes et assez sensible à celles des termites.
Le bois contient des limonoïdes, notamment des pseudrélones. Des extraits de l’écorce ont montré in vitro une activité antibactérienne, ainsi qu’une activité anti-ulcéreuse chez les rats. Lors d’essais, les racines ont fait ressortir une activité antimicrobienne à large spectre. Des extraits au dichlorométhane de la racine ont démontré une activité antileishmanienne. Les extraits et les composés isolés, la 7-désacétylgédunine et la 7-désacétyl-7-oxogédunine, ont montré in vitro une activité contre Leishmania donovani, Trypanosoma brucei rhodesiense, Trypanosoma cruzi et Plasmodium falciparum, avec une faible activité cytotoxique contre la lignée cellulaire L-6. La 7-désacétoxy-7-hydroxy-gédunine, un limonoïde isolé de Pseudocedrela kotschyi, a montré une activité anti-VIH. Des extraits de Pseudocedrela kotschyi ont inhibé la prolifération de lymphocytes et montré une activité molluscicide. Des extraits bruts à l’éthanol des feuilles ont montré une activité vermifuge nette contre Haemonchus contortus, nématode pathogène pour les petits ruminants. Des extraits de Pseudocedrela kotschyi ont également mis en évidence une activité contre Ascaris suum. L’application de jus de racines peut provoquer une grave nécrose de la peau, la prudence devant donc être de mise lorsqu’il est utilisé sur les ulcères par exemple.
Les huiles essentielles provenant de l’écorce de tige et de racine se composent exclusivement de sesquiterpénoïdes. Dans l’huile issue de l’écorce de la tige, c’est le δ -cadinène qui était le principal composant (31%), alors que dans celle en provenance de l’écorce de racine c’était les cubébols. On a trouvé que les activités anti-oxydantes et anti-radicalaires des huiles essentielles étaient faibles.
Description
- Petit arbre caducifolié, monoïque, atteignant 12(–20) m de haut ; fût dépourvu de branches jusqu’à 7,5 m, rectiligne et cylindrique, atteignant 70 cm de diamètre ; surface de l’écorce grise, fissurée longitudinalement, écorce interne à nervures rougeâtres ; cime oblongue à pyramidale, généralement dense ; jeunes rameaux courtement poilus.
- Feuilles alternes mais souvent en groupes aux extrémités des rameaux, composées paripennées à 8–18 folioles ; stipules absentes ; pétiole et rachis atteignant ensemble 30(–40) cm de long ; pétiolules de 1–3 mm de long ; folioles alternes à presque opposées, lancéolées-elliptiques, de 5–15 cm × 2–6 cm, arrondies et asymétriques à la base, obtuses à l’apex, bords irrégulièrement ondulés ou dentés à dents arrondies, densément poilues lorsque jeunes, pennatinervées.
- Inflorescence : panicule axillaire atteignant 30 cm de long, souvent plusieurs groupées, courtement poilue.
- Fleurs unisexuées, fleurs mâles et femelles d’apparence très similaire, régulières, (4–)5-mères, blanchâtres ; pédicelle de 2–4 mm de long ; calice lobé presque jusqu’à la base, d’environ 1,5 mm de long ; pétales libres, carénés, de 3,5–5 mm de long, étalés ; étamines soudées en un tube urcéolé d’environ 3 mm de long, à (8–)10 lobes, chaque lobe bifide et à anthère sessile ; ovaire supère, 4–5-loculaire, tête du style discoïde ; fleurs mâles à ovaire rudimentaire, fleurs femelles à anthères indéhiscentes.
- Fruit : capsule étroitement obovoïde à en massue de 7–14,5 cm de long, érigée, brune, déhiscente à 5 valves ligneuses, avec des fibres entre les valves, contenant de nombreuses graines.
- Graines de 4–6 cm de long, brun pâle, ailées à l’apex.
Autres données botaniques
Le genre Pseudocedrela est monotypique, et se caractérise par des folioles ondulées-dentées et des fruits érigés.
Anatomie
Description anatomique du bois (codes IAWA pour les bois feuillus) :
- Cernes de croissance : 1 : limites de cernes distinctes.
- Vaisseaux : 5 : bois à pores disséminés ; 13 : perforations simples ; 22 : ponctuations intervasculaires en quinconce ; 23 : ponctuations alternes (en quinconce) de forme polygonale ; 24 : ponctuations intervasculaires minuscules (très fines) (≤ 4μm) ; 30 : ponctuations radiovasculaires avec des aréoles distinctes ; semblables aux ponctuations intervasculaires en forme et en taille dans toute la cellule du rayon ; 42 : diamètre tangentiel moyen du lumen des vaisseaux 100–200 μm ; 46 : ≤ 5 vaisseaux par millimètre carré ; 47 : 5–20 vaisseaux par millimètre carré ; 58 : gomme ou autres dépôts dans les vaisseaux du bois de cœur.
- Trachéides et fibres : 61 : fibres avec des ponctuations simples ou finement (étroitement) aréolées ; 65 : présence de fibres cloisonnées ; 66 : présence de fibres non cloisonnées ; 69 : fibres à parois fines à épaisses.
- Parenchyme axial : 76 : parenchyme axial en cellules isolées ; 78 : parenchyme axial juxtavasculaire ; 79 : parenchyme axial circumvasculaire (en manchon) ; (85 : parenchyme axial en bandes larges de plus de trois cellules) ; (86 : parenchyme axial en lignes minces, au maximum larges de trois cellules) ; 89 : parenchyme axial en bandes marginales ou semblant marginales ; 93 : huit (5–8) cellules par file verticale.
- Rayons : 98 : rayons couramment 4–10-sériés ; (104 : rayons composés uniquement de cellules couchées) ; 106 : rayons composés de cellules couchées avec une rangée terminale de cellules dressées et/ou carrées ; 115 : 4–12 rayons par mm.
- Structure étagées : 122 : rayons et/ou éléments axiaux irrégulièrement étagés (échelonnés).
- Inclusions minérales : 136 : présence de cristaux prismatiques ; 137 : cristaux prismatiques dans les cellules dressées et/ou carrées des rayons ; (141 : cristaux prismatiques dans les cellules non cloisonnées du parenchyme axial).
Croissance et développement
Au Bénin, l’accroissement annuel moyen du diamètre est estimé à 7,5 mm. Les arbres fleurissent au milieu de la saison sèche. Les fruits mettent presque un an à fleurir. Les graines sont dispersées par le vent.
Ecologie
Pseudocedrela kotschyi se rencontre en savane boisée et arborée, jusqu’à 1200 m d’altitude, sur des sols lourds et mal drainés. Les arbres sont souvent exposés au feu, mais ils sont très résistants et survivent aux feux annuels plus de 50 ans, comme l’a montré un essai à long terme mené dans le centre de la Côte d’Ivoire. En Ouganda, on a observé une régénération souvent intense lors de la saison des pluies, ce qui a permis d’avancer que les feux de la saison sèche amélioraient la germination des graines. Par ailleurs, on a également signalé que les graines étaient détruites par le feu et que dans les endroits régulièrement brûlés la régénération se limitait aux drageons.
Multiplication et plantation
Le poids de 1000 graines est d’environ 230 g. Les graines perdant rapidement leur viabilité, elles doivent être semées sans tarder après la récolte. Les immerger dans l’eau chaude et les laisser tremper pendant une nuit améliore les résultats de germination. Elles peuvent être conservées pendant au moins 2 mois dans des récipients hermétiques à l’abri de la chaleur. Etant facilement attaquées par les insectes, il est recommandé de leur adjoindre de la cendre lors du stockage. Les semis ont un long pivot qui rend le repiquage difficile. La plante forme des drageons, grâce auxquels elle peut s’étaler tout à son aise, et qui donnent des touffes d’arbres.
Gestion
En Ouganda, Pseudocedrela kotschyi est cultivé en peuplements purs ou bien en association avec d’autres arbres comme le manguier et l’anacardier. L’arbre peut être traité par recépage et étêtage. En peuplement naturel, le fût est souvent bas branchu et rabougri à cause des dégâts causés par le feu, ce qui a une incidence non négligeable sur la qualité et la quantité de bois.
Récolte
Pour une exploitation durable dans le nord du Bénin, un diamètre minimal d’abattage de 55 cm est nécessaire.
Ressources génétiques
Pseudocedrela kotschyi est répandu et localement commun, voire grégaire. Cependant, sa répartition est irrégulière et dans certaines régions à l’intérieur de son aire, il est peu commun ou même absent.
Perspectives
Pseudocedrela kotschyi est un arbre de savane important qui fournit non seulement du bois d’œuvre mais également du bois de feu et de l’ombre ; c’est aussi une source indéniable d’ingrédients pour la médecine locale. Il convient de protéger les arbres du feu si l’on veut qu’ils aient des fûts rectilignes, ramifiés très haut, susceptibles de produire par la suite un bois d’œuvre d’excellente qualité. La récolte effrénée de l’écorce et des racines à des fins médicinales peut menacer les peuplements locaux, alors faut-il privilégier des systèmes de récolte qui soient sans effets néfastes. Une étude préliminaire des activités pharmacologiques destinées à l’élaboration de médicaments modernes à base de plantes a donné des résultats encourageants.
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Sources de l'illustration
- Akoègninou, A., van der Burg, W.J. & van der Maesen, L.J.G. (Editors), 2006. Flore analytique du Bénin. Backhuys Publishers, Leiden, Netherlands. 1034 pp.
Auteur(s)
- R.H.M.J. Lemmens, PROTA Network Office Europe, Wageningen University, P.O. Box 341, 6700 AH Wageningen, Netherlands
Citation correcte de cet article
Lemmens, R.H.M.J., 2008. Pseudocedrela kotschyi (Schweinf.) Harms. In: Louppe, D., Oteng-Amoako, A.A. & Brink, M. (Editors). PROTA (Plant Resources of Tropical Africa / Ressources végétales de l’Afrique tropicale), Wageningen, Netherlands. Consulté le 23 décembre 2024.
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