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Trabut, Répertoire: A

10 octets ajoutés, 28 mars 2012 à 20:47
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corrections typographiques Ammi majus
Nounkha
Ibn el Beithar, dans son ''Traité des simples'', à l'article Athrilal signale une ombellifère utilisée dans le traitement de la Lèpre par une section de la tribu des Oudjeham, les Beni bou Chaïb du Zaoua près Bougie, en 1220 ; il a ·vu des malades venus de loin dans une sorte de sanatorium et traités à forfait. Ces malades étaient, après avoir bu une préparation d'Athrilal, exposés au soleil, les parties mala-
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des découvertes. Ce n'est que dans ces conditions que le médicament agissait. D'après le récit d'Ibn el Beithar il est évident que dès le XIII<sup>e</sup> Siècle on prntiquait pratiquait méthodiquement l'héliothérapie à Bougie.
Leclère, traducteur d'Ibn el Beithar a cru reconnaître dans l'athrilal le ''Ptychotis ammoides'' ; mais d'un autre côté les indigènes de la Province de Constantine appellent encore Athrilal ll’''Ammi majus '' et la description du botaniste de Malaga se rapporte mieux à cette ombelli­fère. Il est certain que la cure des ulcères n'est attribuable qu'aux rayons solaires.
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