|color=lightgreen
|titre=Résumé des usages
|texte=*fruit comestible cru, en gelée ou en boisson
*ornemental
*feuilles source de tanin
</gallery>
*Voir les [[Busserole (Cazin 1868)#Arbousier|''Plantes médicinales'' de Cazin (1868)]]
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|Tout en étant un aliment, le fruit présente des propriétés antidiarrhéiques.
Les dénominations vernaculaires sont, pour la plupart, rapportées pour la Tunisie par BOUQUET (1938) :
- soit pour la plante entière :
*ar. = methrounia, qatelabihia, açir ed debb, henna ameur, bou sbiba, chejret bou jbiba, lindj.
*ber. = ticisnou, isisnou, sisnou, ichichnou, sasnous, bahennou,
- soit pour le fruit :
* ar. : bou jbiba, bou hennou
* berb. : ouassasnou
Il note aussi que ces fruits sont recherchés, le plus souvent pour la consommation personnelle.
L'usage du fruit de cette espèce comme aliment (ar. : lindj) est aussi rappoorté par TROTTER (1915) et LEMORDANT ''et al''. (1977).
L'écorce des racines est très ''astringente'' (TROTTER).
En Algérie, le fruit est considéré ''antidiarrhéique'' et paraît être la base d'une liqueur (DORVAULT et WEITZ, 1945).
En Libye (TROTTER) les feuilles servent à ''tanner les peaux'' alors que les racines sont employées pour ''teindre'' les peaux en rouge.
{{droite|[[Ericacées (Le Floc'h, 1983)#Arbutus unedo|Le Floc'h, 1983, ''Ethnobotanique tunisienne'', 190]]}}
|}
== Références ==