Malgré les inconvénients, et les dangers même qu'entraîné l'usage ou plutôt l'abus de l'opium, il n'est pas moins démontré que ce médicament héroïque, manié avec sagesse, rend à la thérapeutique les plus grands services. « Ce remède, dit Sydenham, est si nécessaire à la médecine, qu'elle
ne saurait absolument s'en passer : ''Quinimo ita necessarium est in hominis periti manu organum, jam laudatum medicamentum, ut sine illo manca sit ac claudicet medicina ; qui vero eodem instructus fuerit, majora præstabit quam quis ab uno remedio facile speraverit'' (ï)<ref>Sydenham, ''Opere citato'', p. 148.</ref>.
Tour à tour vanté avec exagération et blâmé sans réserve, suivant son application judicieuse ou irréfléchie, son emploi mesuré ou abusif, l'opium est, pour me servir de l'expression d'Hufeland, une épée à deux tranchants, un don divin dans la main du maître, un poison redoutable dans celle de l'homme sans expérience. Aucun autre agent thérapeutique, si ce n'est la belladone, ne peut lui être comparé dans les affections douloureuses et les altérations graves du système nerveux, dans ces angoisses qui brisent pour ainsi dire les liens de la vie et plongent dans le désespoir. Ne serait-il même qu'un remède palliatif, qu'on devrait encore le considérer comme un des plus beaux présents de la Divinité, puisqu'il nous reste comme une dernière ressource pour calmer la douleur, consoler le malade, relever son courage, et le conduire, bercé par l'espérance, jusqu'aux dernières limites de la vie.
revue toute la pathologie. Un tel travail dépasserait beaucoup le but tout pratique que je me suis proposé, et serait d'ailleurs au-dessus de mes forces. Je me contenterai donc de jeter un coup d'œil rapide sur les principales circonstances dans lesquelles l'opium est mis en usage avec succès, et celles où il est inutile ou nuisible.
'''NÉVROSES'''. - Ici, l'action de l'opium est d'autant plus efficace qu'elle est directement portée sur le système qui est le siège de la maladie. Ce médicament est d'une grande utilité dans l'insomnie nerveuse, les névralgies, les vomissements et les toux spasmodiques, en un mot, dans la plupart des névroses. Cependant, certaines affections nerveuses résistent à l'effet de l'opium, ou même empirent sous son influence : telles sont, dans certaines circonstances, l'hystérie, la chorée, l'épilepsie et autres affections convulsives. C'est que, dans la plupart de ces cas, la maladie est subordonnée à.*H|eHdii;'ilpc;ale'''une lésion locale d'où partent les irradiations ou les sympathies que l'on•regard'è/regarde à tort comme idiopathiques. L'irritation phlegmàsique phlegmasique ou la lésionorgapique organique d'un point de la matrice produisant tous les symptômes de l'hy-stêriehystêrie, eh en fournit un exemple qui se présente fréquemment à l'observation...Uestdonc'contre l'affection locale, cause efficiente des symptômes ner-l^y^ilfôut diriger la médication. Malheureusement, il est souvent diffi-;^lede: découvrir le siège et la nature de celte affection, et plus difficilefM^de.ladétruire, surtout si déjà elle est passée à l'état de lésion orga-
||%P!Sm;ne:peutî comme on voit, produire dC'heureux effets dans les■W-^est donc contre l'penses: affection locale, cause efficiente des symptômes nerveux, qu'autant qu'elles sont essentiellesil faut diriger la médication. Malheureusement, il est souvent difficile de découvrir le siège et que l'on a préa-.niementla nature de cette affection,combattu les contre-indications qui s'opposent et plus difficile encore de la détruire, surtout si déjà elle est passée à son emploil'état de lésion organique.
*%fe*amL'opium ne peut, Opère eHatocomme on voit,v.produire d'w. ■downloadModeText.vueheureux effets dans les affections nerveuses qu'autant qu'elles sont essentielles, et que l'on a préalablement combattu les contre-indications qui s'opposent à son emploi.download 791 sur 1308
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762 PAVOT.<references/>
Tétanos. — Cette affection nerveuse par excellence réclame, ainsi que
nous l'avons dit plus haut, l'emploi de l'opium à dose élevée et proportion-
née à l'intensité de la maladie, n Littleton (in Mérat et Delens) assure que"
si on ne guérit pas plus souvent le tétanos avec l'opium, c'est qu'on n'en
donne pas assez; il dit avoir fait prendre une once (30 gr.) de laudanum
liquide par jour à un enfant de dix ans qui a guéri, et 14 gros (56 gr.) à un
autre sujet, en douze heures de temps, conjointement avec le jalap et le
calomel; ce qui fait dire à Bégin que'dans cette maladie l'estomac digère
l'opium. C'est surtout dans le tétanos traumatique que l'effet narcotique et
antispasmodique de l'opium ne peut se manifester qu'autant qu'on l'admi-
nistre à doses énormes. Cependant, dans les hôpitaux militaires de la Grande
Armée, et notamment pendant la campagne de 1809, en Autriche, si désas-
treuse parla gravité des blessures, j'ai vu l'opium, administré mêmeaui
doses les plus élevées, échouer le plus souvent contre cette cruelle affection,
Coindet, de Genève (in Mérat et Delens), a injecté avec succès une solutiond'opium dans les veines d'un tétanique. Guérin a également réussi en enfrottant les gencives d'un autre tétanique. On le donne en lavement quandla déglutition ne peut avoir lieu. Hufeland préfère cette voie dans tous lescas. On a quelquefois administré des bains d'opium, en faisant dissoudreplusieurs onces de cette substance dans l'eau du bain. (Moyen très-dispen-dieux.) Voyez MORPHINE.[762]
Chore'e'Tétanos''. — Trousseau et Pidoux vantent beaucoup Cette affection nerveuse par excellence réclame, ainsi que nous l'opium à haute dosedans cette névrose. «Dans les cas les avons dit plus rebelleshaut, disent ces auteurs,nousavons dl'abord tenté, en désespoir emploi de cause, de hautes doses dl'opium, à dose élevée etnous sommes arrivés proportionnée à des résultats si extraordinaires et si satisfaisants, quenous avons depuis lors traité un grand nombre de chorées par cette mé-thode. Mais quand la chorée est très-grave, l'opium doit se. donner à desdoses considérables intensité de 5 centigrla maladie. à 1 gr. par jour : à l« Littleton ('Hôtel-Dieu nousavons porté chez une femme la dose de sulfate de morphine jusqu'à 40 centi-grammes (8 grainsin'' Mérat et Delens) dans les vingt-quatre heures. En un motassure que, nous faisonsdonner 25 milligrammes (1/2 grain) dsi on ne guérit pas plus souvent le tétanos avec l'opium d'heure en heure, jusquc'à ceque les mouvements convulsifs soient notablement calmés, et est qu'il y aitcommencement don n'ivresseen donne pas assez ; puis nous entretenons toujours le maladedansleil dit avoir fait prendre une once (30 gr.) de laudanummême état d'intoxication pendant cinqliquide par jour à un enfant de dix ans qui a guéri, six et même huit jours; nous nousarrêtons alors pour donner quelques bains et faire reposer le malade14 gros (56 gr. Puis) à un autre sujet,nous recommençons quelques jours après. Il est rare qu'au bout de quinzejours la chorée ne soit pas tellement modifiée, que la nature achève elle-même la guérison en peu douze heures de temps. » Trousseau , conjointement avec le jalap et Pidoux auraient Iajouter le calomel ; ce qui fait dire à Bégin que dans cette maladie l'estomac digère l'opium . C'est toujours nuisible surtout dans les eas de chorée où il y acongestion sanguine au cerveau. Dans un cas de cette espèce, le tétanos traumatique que j'ai ob-servé l'année dernière, chez un garçon effet narcotique et antispasmodique de dix ans, à tête volumineuse, àface turgescente et très-colorée, l'opium administré par un médecin ne peut se manifester qu'autant qu'on l'administre à doses énormes. Cependant, dans les hôpitaux militaires decampagnela Grande Armée, d'après et notamment pendant la méthode campagne de Trousseau et Pidoux1809, produisit immédia-tement en Autriche, si désastreuse par la gravité des accidents tels qu'une abondante hémorrhagie nasale put seulele sauver d'un danger imminent. Siblessures, à côté de lj'éloge de ai vu l'opium contrela chorée, Trousseau et Pidoux eussent placé administré même aux doses les plus élevées, échouer le plus souvent contre-indications de sonemploi dans cette maladie, l'erreur que nous venons de signaler n'eût pasété commise. . . < cruelle affection.
Chorée alcoolique ou delïrium tremensCoindet, avec ou sans délire, ou avec de irsans tremblement. LGenève ('opium à petites doses fréquemment répétées'in'' Mérat et Delens), et por emême progressivement à a injecté avec succès une dose très-élevée, est solution d'une efficacité reconnu.opium dans cette affection, que lles veines d'on considère aujourdun tétanique. Guérin a également réussi en en frottant les gencives d'hui comme essentiellemeunerveuse, et contre laquelle on emploie bien rarement un autre tétanique. On le donne en lavement quand la saignée, qui,plus souvent, s'est montrée nuisible : 5 à 15 centigrdéglutition ne peut avoir lieu. peuvent être aunés toutes Hufeland préfère cette voie dans tous les heures jusqucas. On a quelquefois administré des bains d'à ce que le malade sopium, en faisant dissoudreplusieurs onces de cette substance dans l'endorme profondemeieau du bain.downloadModeText(Moyen très-dispendieux.vue) Voyez MORPHINE.download 792 sur 1308
''Chorée''. — Trousseau et Pidoux vantent beaucoup l'opium à haute dose dans cette névrose. « Dans les cas les plus rebelles, disent ces auteurs, nous avons d'abord tenté, en désespoir de cause, de hautes doses d'opium, et nous sommes arrivés à des résultats si extraordinaires et si satisfaisants, que nous avons depuis lors traité un grand nombre de chorées par cette méthode. Mais quand la chorée est très-grave, l'opium doit se donner à des doses considérables de 5 centigr. à 1 gr. par jour : à l'Hôtel-Dieu nous avons porté chez une femme la dose de sulfate de morphine jusqu'à 40 centigrammes (8 grains) dans les vingt-quatre heures. En un mot, nous faisons
donner 25 milligrammes (1/2 grain) d'opium d'heure en heure, jusqu'à ce que les mouvements convulsifs soient notablement calmés, et qu'il y ait commencement d'ivresse ; puis nous entretenons toujours le malade dans le même état d'intoxication pendant cinq, six et même huit jours; nous nous arrêtons alors pour donner quelques bains et faire reposer le malade. Puis,
nous recommençons quelques jours après. Il est rare qu'au bout de quinze jours la chorée ne soit pas tellement modifiée, que la nature achève elle-même la guérison en peu de temps. » Trousseau et Pidoux auraient dû ajouter que l'opium est toujours nuisible dans les cas de chorée où il y a
congestion sanguine au cerveau. Dans un cas de cette espèce, que j'ai observé l'année dernière, chez un garçon de dix ans, à tête volumineuse, à face turgescente et très-colorée, l'opium administré par un médecin de campagne, d'après la méthode de Trousseau et Pidoux, produisit immédiatement des accidents tels qu'une abondante hémorrhagie nasale put seule le sauver d'un danger imminent. Si, à côté de l'éloge de l'opium contre la chorée, Trousseau et Pidoux eussent placé les contre-indications de son emploi dans cette maladie, l'erreur que nous venons de signaler n'eût pas été commise.
PAVOT''Chorée alcoolique'' ou ''delirium tremens'', avec ou sans délire, ou avec délire sans tremblement. L'opium à petites doses fréquemment répétées, et porté même progressivement à une dose très-élevée, est d'une efficacité reconnue dans cette affection, que l'on considère aujourd'hui comme essentiellement nerveuse, et contre laquelle on emploie bien rarement la saignée, qui, plus souvent, s'est montrée nuisible : 5 à 15 centigr. peuvent être donnés toutes les heures jusqu'à ce que le malade s'endorme profondément. 763
j'ai administré» en pareil cas, lorsque l'affection était portée à un haut degré
d'intensité, jusqu'à 2 gr. d'extrait d'opium dans les vingt-quatre heures[763]
; J'ai administré, en pareil cas, lorsque l'affection était portée à un haut degré d'intensité, jusqu'à 2 gr. d'extrait d'opium dans les vingt-quatre heures avant d'obtenir l'effet désiré. L'opium réussit également dans la paralysiedes ivrognes.
''tremblement Tremblement mercuriel, chorée mer curiellemercurielle''.— Trousseau et Pidoux ontméri.'guéri très-rapidement, à l'Hôtel-Dieu de Paris, plusieurs chorées mercu-rieies-fûrt mercurielles fort graves, en administrant l'opium comme dans le ''delirium tremens '' ;mais ils ont remarqué que, dans ce cas spécial, le délire succédait quelquefois à cette médication, et persistait pendant quelques jours.
■ maisils ont remarqué ''Hystérie''. — L'opium est regardé par un assez grand nombre de praticiens comme généralement utile dans l'hystérie, surtout lorsqu'il existe des douleurs aiguës, telles quele clou hystérique, les crampes. Les topiques opiacés rendent alors de grands services. Bichat<ref>''Matières médicales manuscrites''.</ref> conseillait, dans l'hystérie, les injections vaginales avec des préparations d'opium. Uni aux antispasmodiques, disent Trousseau et Pidoux, l'opium est évidemment utile dans l'hystérie ; une mixture dans laquelle entrent l'opium, l'assa fcetida et l'éther, nous a paru convenir à la plupart des phénomènes hystériques. « De tous les agents thérapeutiques, il n'en est aucun, dit Gendrin, qui soit plus approprié à la curation de l'hystérie que l'opium à haute dose. En commençant par 50 centigr. par jour, on arrive à 60, 75 centigr., progressivement, avant d'avoir un effet narcotique ; dès que cet effet se produit, tous les accidents hystériques décroissent, et l'on est obligé de diminuer chaque jour les doses d'opium qui provoquent alors la somnolence. Je guéris par ce cas spécialmoyen plus de la moitié des hystériques<ref>''Note lue à l'Académie royale de médecine'', le délire succédait 11 août 1846.</ref>. » Opposons à cette opinion celle de Landouzy : « J'ai vu, dit ce praticien, comme le médecin de la Pitié, des hystériques supporter sans narcotisme plus de 25 centigr. de chlorhydrate ou d'acétate de morphine par jour ; mais j'en ai vu bien davantage chez lesquels les opiacés excitaient des vomissements constants, quoique l'estomac fût en bob état ; j'en ai vu surtout un grand nombre chez lesquels l'opium, administré à dose forte ou minime, produisait des syncopes incessantes, et je suis très loin de le regarder comme pouvant guérir la ''moitié'' des hystériques. Malgré tout le mérite des travaux de M. Gendrin, on peut penser qu'il se sera laissé illusionner par une série de faits que le hasard n'aura pas assez variés, car l'observation est là, et, après elle, l'appréciation étiologique, pour montrer que l'opium, à quelque-fqisâicëtteimédicationdose qu'il soit administré, doit être considéré comme un calmant momentané, et persistait pendant quelques joursnon comme le remède spécifique de l'hystérie<ref>''Traité complet de l'hystérie'', 2° édit., p. 310, note.</ref>.»
[ \Sysiérie''Epilepsie''.—-L'opium ne peut être utile dans cette affection qu'autant qu'il existe des convulsions prolongées, ou des accès en quelque sorte subintrants dont la violence menace la vie. Dans ces cas même, la belladone est beaucoup plus efficace, et est regardé par un assez grand nombre indiquée, en outre, comme remède curatif de praticienscette névrose.
' comme généralement utile dans l'hystérie, surtout lorsqu'il existe Convulsions des dou-leiirs aiguës:, telles enfants''. — Les indications curatives dans ces affections sont aussi variables que le clou hystérique, les crampescauses qui produisent les affections elles-mêmes. Les topiques opiaCelles-cl rendent alors de grands servicesci sont quelquefois très-obscures. Bichat (1) conseillaitOn fait alors la médecine symptomatique, dans let si, après s'hystérieêtre assuré qu'il n'existe point de congestion cérébrale,ou lorsque celle-ci a été préalablement combattue par une application de sangsues au cou ou derrière les.!injections vaginales avec des préparations doreilles, les convulsions persistent,on peut recourir à l'opium. Uni aux antispa-On donne ordinairement le laudanum en lavement. Guérin, de Bordeaux (''in'' Mérat et Delens), a guéri des convulsions, en
< sinp^iques, .disent.Trousseau et Pidoux, l'opium est évidemment utile dansl'hystérie; une mixture dans laquelle entrent l'opium, l'assâ fcetida et l'éther,____________________
: nous'a paru 'convenir à la plupart des phénomènes hystériques. «De touslB'à^éà'te.'thérapeutiques, il n'en est aucun, dit Gendrin, qui soit plus ap-proprié à'la curation de l'hystérie que l'opium à haute dose. En commençant<references/>
:par';50'cëntigr. par jour, on arrive à 60, 75 centigr., progressivement, avant
; d'avoir un .effet narcotique; dès que cet effet se produit, tous les accidentshjiériqiïes.décroissent, et l'on est obligé de diminuer chaque jour les doses ■■ fppiûinquiprovoquent alors la somnolence. Je guéris par ce moyen plusd|îampié des hystériques (2).» Opposons à cette opinion celle de.Lan- ?doijzy '.; « 'J'ai yu, dit ce praticien, comme le médecin de laPitié, des hysté-riques supporter sans narcotisme plus de 25 centigr. de chlorhydrate ou 'd'acétate, de morphine par jour; mais j'en ai vu bien davantage chez les-qdëislesQpïacés excitaient des vomissements constants, quoique l'estomac : itèn;hoB état; j'en ai vu surtout un grand nombre chez lesquels l'opium, \f^|?i?tféji dose forte ou minime, produisait des syncopes incessantes, et ■ jè^àisjtrè^-loin de le regarder comme pouvant guérir la moitié des hysté-; nques^'Malgré tout le mérite des travaux de M. Gendriti, on peut penser: qû'irsé^sera laisséi illusionner par une série de faits que le hasard n'aura ■ E^t^^riés, car l'observation est là, et, après elle, l'appréciation étio-• piP|ê; pour montrer que l'opium, à quelque dose qu'il soit administré, ^ojtj'êtré considéré comme un calmant momentané, et non comme le re-'i n||spjcificjuè de l'hystérie (3). » : |p'ïe|«'e; -^L'opium ne peut être utile dans cette affection qu'autant1 p'ii-'existe--des convulsions prolongées, ou des accès en quelque sorte sub-mirants.:d.o.nt la .violence menace la vie. Dans ces cas même, la belladone: KkbeaucQup plus efficace, et est indiquée, en outre, comme remède:-' cW*f:da cette: névrose. .Wwî&ioiis: dçs enfants, — Les indications curatives dans ces affections: S^Fs.si:'tariables que les causes qui produisent les affections elles-mêmes..iWF'--^fti:,4ûél'que,fois très-obscures. On fait alors la médecine sympto-pS^'^sJ! après s'être assuré qu'il n'existe point de congestion céré- ■ IS^ipraque celle-ci a été préalablement combattue par une applica-IlSWgsues àû cou ou derrière les oreilles, les convulsions persistent,iJH^PW" 1, à l'opium. On donne ordinairement le laudanum en lave-.i„:??érin. de Bordeaux (in Mérat et Delens), a guéri des convulsions, en {8 fé*es médicales manuscrites. (3Ymui? a lAcadémie royale de médecine, le 11 août 1846. [! lmU mplet de l'hystérie, 2° édit., p. 310, note.downloadModeText.vue.download 793 sur 1308 76/t PAVOT.764]
appliquant de l'opium sur les plaies dénudées des vésicatoires. Ce moyeu