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Hedera (Rolland, Flore populaire)

137 octets supprimés, 8 juillet 2013 à 21:02
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Oso~tASTI().l'E: Ucrre, De Lierre. I.e Lierre, de !.eure, Deli<;ae, /Jebrorr, noms de famille.- IEnllC - H. G.]
« l'lus n·rt Plus vert que feuille d'icrre ierre 11, anc. franç., Ho().lalFOHT. G/oss. m111., supplément, p. 1Xl\. - « Si cmn la fuelle dïcne Se tient ft·csche, nou,·ellc et Yers (Perle), Et le cuers de la fame ou\'ers Tous temps por l'01nc deccYoir. 1> .Joh. LoTH, Die S]>richw. d. altfi'cm:. Fablùwx, 1, 12. - rert couww li• lierre se dit quelquefois de t·eux qui ont la jaunisse. " Fmucr.  « ''Frouer'', c'est souiller dans une feuille de lierre it laquelle on a fait un trou rond aYct' les dents ou un couteau. en lt·,·ant la principale côte du milieu it un tiers de distant·c de la queue. En sou fIlant dans cette feuille pliée en deux dan' sa longucm·, on attire les petits oiseaux. " » .1 .-H. Snto:-;, !.a l'ipée, 17:111, p. ;iï. "  « En oetob1·e octobre et novembt'l' novembre le fruiet dt· fruict de la ,·igne vigne est en sa perfh·tion et il est un \Tay pronostique et indieatif de la pt·oehaine \'illl'e. )) » BLAIS!' DE VIGESEHE, /mayes de f'hi/os/ralc, l;>ÏI'l. - « Toute belle appm·encl· apparence que \·ous troun·t·ez vous trouverez au lierre. soit au bois. ès fueilles et aux grappes, soyez seur de la t·eneontrt·r t'Il la vigne ès vendanges suyyantes. " » G. Bon:HET, Scrécs, Houen, Hi:l;;, 1, HX.- « Si le lit'I'I'e lierre est ehm·gé aè chargé de fruits, il y aum beau- ' coup aura beaucoup de raisins. Si ces fntits fruits sont beaux et noirs, les misins st•rilnt lwaux raisins seront beaux et noi1·snoirs, et l'on fet·a fera du hon bon vin. " » ~l<'urthe, ADAM. - " « Quanti le taurêti·e est hien épamri (bien en fruits), 
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La Yen dange vendange fait du ki<i kià (du el airclair, ~c.-à-ctd. est abondante); mais ~i la gn1ppc avorte ct coule, le misin s'en rcsscntim. » FrancheComté ·Franche-Comté. ReP. lill. de Fr.-Comle, !Hfiii, p. :nn. - " « Quand le térétn· térétre est hien bien en grninsgrains, tu peux eompter compter sur beaucoup de 1·aisinsraisins. " » C.-d'Or, Ln:HET, La Côte-d'Or ù po/ d'oiseau. ltl;)8. - " « Si 1~ térétre dégri·nc, le misin dégrenc. '' » C.-d'Or, llllm. "  « On met i·s ès portes des feuilles ·de licnc de lierre pour nwnl!·er qu'il y a du dn ù wndrcà vendre. '' » xn•· s., G. Bot:CHET, édit. lh•yh., 1, .ti. " . ::« Je ne Yoy si \·olonticrs L~s ::Les houtiqucs des grossiers, ::Comme .ij'Hime aime en ~haque chaque rue ::Les bouchons des ta\·crnieJ·stavcrniers. ::Belle hieJ'J'c hierre que je suis .::Joyeux. , quand ma Ä"CU~ Hcganle veue:Regarde en tant de logis ::Ta hran~hc pendu~branche pendue ! " ::::'-.\'''s., l'audcuircs il'OliPicr Basseliu. \ïno veJHiihili suspcnsù hcdcrù nilul  « Vino vendibili suspensà hederà nihil opus. "l'roLlat» Prov. lat. du m. ù. " « Vin délkat, friand ct hon :'\'a meslier lierre ne hrandon. » Pro\·. anc. f1·., R~:IXSIOEIH;. "  « En LonaincLorraine, autrefois, au repas du HoiRoi-hoitboit, pom· cmp~~hcr pour empêcher que les toasts répétés n'cni\Tasscntenivrassent, on ornait de couroHnl'S couronnes de lierre les bouteilles, les lampes et tous les meubles de l'nppal·tementappartement. » 1'. BAIIBOEII (dans .llagasin des demoi~el/es. 1H6ti, p. 102).  « Lié·s enscmhlc Liés ensemble comme le lierre ct et l'orml·auormeau. '' THO~IASSII'i, Ucyrels facél .. Hi32, p. l!ll. " l'racslal t>ineae  « Praestat vineae ulmum esse IJillllll llederae quam hederae = Myeulx vault ol'lneau ètrc ù ormeau ètre à la ,·igne vigne que garder le lict'J'C lierre de ntineruine. " » BoVILLt~s. tii:H, f'·l :l:l, , .... " « Le licnclierre, fidellc noUJ'I'isson rcn~st ct ombrage, de ses feuilles le chesne Yieil ct sec, au pÏl'd duquel il est surc1·cu, comme par I'emcrciemcnt ct pom· rendre ù sa nourrice la pa•·ci!le. " » Du .JoNc, Chimère de la mendicité, HiOï, f..t 20, Y". - " « Le lie1Te croist au pied d'un fort chesne, sUl' lequel s'appuyant ii monte jusques ù la sommite de ses rameaux ct et l'cnla~e enlace en telle sorte qu'il i'cstouO'c, faisant pa1· par ce moyen mouti~· ingmttcment cciuy qui cstoit estoit tout son soutien, mais ](> lierre n'y gaigne guet·cguere, d'autant que Je le chesne sechant, il Ile Jiencl seche par ~onséqucnt ou, pour il· moins, sïl Yit, il faut qu'il sc traÎIWse traîne 
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:par terre.» .Vmweau Panurge avec sa végétation, 1613, p. 133. - " « L'arbre soutient le lierre en. jeunesse Et le nourrit tant qu'amont s'éyertue. Quand il est creu, si fort son adn·e presse Qu'it la parlin le sutli>que et le tue. >> » LA PERRI~:nE, Théâtre des bons ~ngins, 153!J. -" « Quand lou garric townbo La IPouno séco = quand Il' chêne tombe le liene péi'Ït. >> » Tam, CmiBESLAHOL: RELIE. "  « Le lierre et la Yignc vigne qui ont les rameaux débiles cherchent touJours toujours quelque appuy, mais il ai'I'i\'e souYent arrive souvent que la muraille accable Il' le lierre quand elle l'a soutenu quelque temps et que la treille par sa cheute fracasse les pampres. " » .1.-P. CA~IL:S, JJiotrephc, lli2H, 1, x:1. "  « Le lierre abat la muraille qui l'csleYe et le nourrit = c'est de l'ingratitude. » .1.-l'. CAm·s, Tmité du Chef' de l'Église, Hi:io, p. 1:1. - " « II est comme le lierre qui démolit la muraille it laquelle il s'attache. " » l'lice, TosELLI. [Cf. le llrO\'. Jn·eton citè .llél., XI, 20ï, E. E.[ •< Cclft•  « Cette fille m'est attachée (dit mi Yieuxun vieux) - oui, comme le lieJTe au.t· lierre aux ruines 11» (iui rt·ponditlui répondit-on.) E111<Y, Théâtre en instance, 190-l, p.l:i2. - " « Il a pour cette femnw une passion que rien ne peut détruire, c'est le lierre au mm· ... >>» La lïe populaire, recueil de romans, IXR5, p. li!J. - « Embrasser quelqu'un comme le lierre la muraille. >> » Coq ti l'asnc sur le mariage d'un COlll'tiwn, 11i20, p. li. " « Plus accostahk accostable qu'un lierre. " » AlTIIAY, Banquet des .lfuses, Hi2:1, p. 11-l.  « Ce cuille cuide li lierres Que tuit soyent ses frères." XIII" s., LE Houx u~; L. - « \'ouldroit le lien·e que ehascun fust son frei'c. » XI\'" s., GAsT01< i'HOEB!·s, éd. LaY., p. 2:1x. " Toml>ar  « Tombar lou cross d<' la léouno = tomber le creux du lierre, c'està- dire de l'estomac, e'est perdre la respinltion . .>J » Limousin, Bo~tBAI., Conte de Clwmpalibau, IX!J3, p. lili. << !l « D'une filil' fille coureuse on dit : elle est comme la lièl'ellelièrette, elle court asse~assez. » Poncin (Ain), r. p. "  « Le jum· dt· jour de la Premièt·e Première Communion, les enfants font bénir, ù à l't·gliseéglise, une h1·anche branche de lierre, que le soir ils mettent au cheYct de lem· lit, en mémoire de cc que l'\. s~. a été couronné d'une couronne de liene. >> » Neuehâtel (Suis~eSuisse).  « Porter six semaines à l'avance un collier de grains de lierre est mt des moyens d)\\'oir un hon numéro à la conscription. n » Yonne, A. :'llms~;T, l's. de /'l'onne, 1RAA. 
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" « On guérit les cors en faisant infuser um· une feuille dl• de lierre dans du vinaigre pendant neuf jours puis l'Il en frottant les cors pendant neuf autres jours. " :\lall•sherbcs » Mallesherbes (Loii·ctLoiret).  « Le lierre est l'mployé· employé comme remède par l'l'LIX qui sont atteints du /(•u de Sainl-f.aurenl. l'our que le rcmi·de fasse son cfl'l't, il faut cueillir la plante au clair de la lune, la mettre trl'lllPl'I' dans J'cau pendant trois jours, ct sc laver ensuill' an·e cette eau. ~~ » Bocage nonnand, LECU·TH. " Cunln•  « Contre les matadi<·,; maladies des />t'lesbêtes. On fait IH'l'IHII·e aux animaux malades des feuilles de licnc en nombre impair, cinq. sept, neuf ou onze. :\lais c'est an•c neuf feuilles qu'on a le plus cllcbance de les guérir." » Saint-Caradet·-TI·égoul'i Olorbihan), c. p. :\1. l'. LE :\EST0\'1\. "  « Treize gntins grains de lil'l'l'l' lierre arborescent meurs l'! pulverisez pt'IHiant neuf mois rendent la femme sté·l'ile. , » (;,·yo:s, Cours tic mc'dccine, lliï:l, 1, :IIi~>. "  « Quand un malade t;n·de ù gucTÏI', la ''diseuse de JIUIIPIIinc•s se IHnouvaines'c•senll' l'! se présente et lui persuade qu'elle seule peut le tirer de 1:'1. "  « En retournant ù à sa maison, elle eueillc Ulll' poignée de feuilles de lic:ye, et elle en choisit ecrtain nombre qu'elle met trempl·r pendant :!+heures dans l'cau bé·nill' de l';iqm·s ou de la l'cnll'ci>tc, selon la saison. Il faut toujours de la de1·nii·rc faill'. sans quoi l'cxpC:·ricnl'l' manquerait. Il en serait de nH'mc si l'on mé·langeait l'ancicnllc cau bénite an·c avec la nouvelle : da11s ldans ce cas 'l' cas l'une /lllllliJImangerait l'rllil Iautre'IIIIIJ't•, l'! et toutes deux perdrail'llt perdraient leur n'l'tuvertu. "  « S'l·tant étant done poui'\lll' pourvue de feuilles de li<;!/<''liège'' et d'cau eau bénite eonn·nablesconvenables, notre guel'isscuse guerisseuse y dé·pose t'illq ù dépose cinq à six feuilles ù à chacune desquelles elle atti·ibue lill attribue un nom de saint ditlé·rentdifférent, afin de san> ir savoir duquel le malade est lin/ ''tint'' (lisez ft• nu''tenu''). Dans sa pcnsC: ·c cc pensée ce sont les saints qui tiennent les gens l'Il l-Iat en état de maladie afin qu'•m les in\.<HJUl' pour l'ti'c guéri. [Cf. l'expression commune « m· sa\'l>ir à quel saint sc Youer "· E. E.[ ~lais tout le monde Ill' sait pas s'y prendre pour saYoio· qul'i saint tient ainsi les patil'nts l'Il son pou\·oio·. C'est dt· lù que le besoin d'une pl•rsonnc initiée url hoc a fini par se faii'e sentir dans beaueoup de eommum·s. " Yingt « Vingt-quatrc quatre heures apn:s l'immersion dt·s ft•uilles, fil diseuse de ne1wui11es les re!ii'C an~e précaution ct et examine lesquelles sont taché·cs; cat· iJ·cst eei·tain que cc sont lt•s saints auxqul'ls ont été attrihut:cs et•s feuilles dont son clknt est li11t. 
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Um• « Une fois cc ce résultat obtenu, la pythonisse retourne ù la maison du malade ct ordonne de suppr·imcr toute espèce de r·cmi·dc, jusqu'à cc qu'elle ait tait sa neuvaine en l'honneur du saint ou des saints dont les feuilles ont i·té tal'lrécs. Au bout de la ncuYaine, elle fait dii·c une mt·ssc ù l'intention du malade, t't met un cierge brûler de,·arJt la statue du saint qui le lient. Si le cierge brîrle hien, c'est hon signe: si, au contraire, un noeud ou un autr·c autre défaut dans la mèche l'cmpéchc de l>nHer clair, il faudr·a recommencer· faudra recommencer l'opi·rationopération. » Pays de Bray (Seim·-Inf.), Le Mayasin nurmatul, lllti!l, \'1, lïO. -Cf. Rev. tl. trad. pop., Js!l(i, p. 2<il t't SAINT-AMAND, J.eltrl'S d'Ill! l'oyageur à l'emboudmre de la Seine, 111211, p. 130. " (jtH•Iqu « Quelqu'un est-il atteint d'une maladie inconnut·inconnue, aussitùt aussitôt on s'cmpr·essc dt• empresse de mettre neuf feuilles de cd te cette plante dans un \'a sc l'empli d't•atl eau bénite, en ayant soin d'attaeher· ù attacher à la queue de chaeunc chacune d'elles un petit mon·cau morceau de papier est inscrit le nom d'un saint. Au bout de neuf jours, lt's les feuilles sont prist·s une ù à une, ct et celle qui por•tt• Il' plus de taches indique le saint qu'il faut in,·ocjucr invoquer pour obtenir la guér·ison guérison du malade. " » Bocage nornHHHI, LEcmt·n. '' l'our  » Pour savoir il à quel saint un malade doit reeourir·. recourir, il doit place!' placer des feuilles de licne, sur des pierres, a\'ec des numi·ros correspondants aux divers saints du pays et lt's y laisser la nuit. Le matin suivant, la feuille la plus marqucti·t• dim quel est le saint it qui l'on doit s'adr·esser·. " » Pays d'Albret (L.-t't-(1.), DAIIIlY, Il, :Hi5. - " » On plonge une feuille dt• 1. dans un \'t'l'l't' d'cau; selon la forme qu'elle prend, on sait que l't·nfant enfant est malade de tel ou tel saint. , » Lot, HEY, .llonoumphil' de Cuslelfi'rmc, li!XO, p. 2:1.  « l'mu· savoir· Pour savoir quels sont les saints qui ont besoin de prii·t·csprières, on prend des feuilles de liciTe it chacune dcsqut'l!l's on attaeht· un papier portant le nom d'tilt mcmhre de la famille di·ci·di·. (juclqucs jour·s après, t•cllcs qui sont eou\'t•rtcs de rainUI'l'S ct de taches représentent les parents ayant hesoiu dt· prières, les autr·cs restent intactes. Les tat'ltcs, selon leur nature, indiquent le gem·c de prii·res qui est dcmandi· par· les mot·ts. Ainsi une simple ligne demande IIIW messe, tlllt' taehe jaune, un grand servir:e mortuaire, ct~~ >> » Lot, e. p. ~1.-.1. DAYMAIID. " Pom·  « Pour savoir si quelque chose niussira. réussira, on met des feuilles dt· de 1. dans Jl'cau eau pendant neuf jour·s jours ; si les feuilles, alors, tombent 
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au fond, l'affaire ne 1·éussira réussira pas; au eont•·ain-contraire, si elles .,u•·nagcntsurnagent. » Pienefonds (Oise), 1'r. p.  « On répand des feuilles de lierre sur le em·ps corps des jeunes filles mortes. " » Yar, :'lhLLIN, l'oy. dans le Midi, Ill, ;;, - « On je-ttc jette du lien:e sm· liere sur le ec•·cucil cercueil d'une jeune fille ,·ic•·gcvierge, en signe de stérilité ct et des rost•s roses blanches, en signe de Yirginitévirginité. n l'l·oYence» Provence, MISTRAL, 1, p. 10112.  « Si une: fille cm·oye envoye une feuille de licrrt·. lierre, dans une lettn·. lettre, à un jeune homme, elle st'sera sûre de l'a stîrc dt• J'épouser, mais, lui, moUITa jt•unemourra jeune. " :\'aintré » Naintré (\ïenm•Vienne), r. p. Syml>oliqw·  ''Symbolique''. - « Le linre lierre signifie : inuruliludcingratitude. >> » Traité cri/'. des cou/., Hi4!l. Le lit•nc t•st Il- symbole de l'umilié: je IIH'Urs oli Je m'a/lache. - 1 D'oi1. par déformation inconsciente ou fae<·tieuse : « je suis comme le lièl>re, je meurs où je m'attache »· E. E.l « l'ne image l'l'Jll't•st•ntant un lit'ITC cntoumnt un chl-nc mort signifk : .Je sèche IIP!'C loi. " LA FElcll.LE, DePises, lli!l:l. - " « Le 1. signifk signifie : fidélilt'fidélité, lendresse récrjnoquetendresse réciproque. " » .Y01w. Viel. du laug. tl!' l't~uwur, IH:IIi.- " v l'n houqud cnYoyt· it une fille ou mis ù s:f fcnl-tre ,.,tune sanglanll' ïnju•·c; on Ycut dire p:11· lù qu'elle t'si um· chèvre coifli'e (um· court·use), la ehc·\TC mangeant yoJnnticrs Il- licnc. " » Dordogne, Corrèze, Gimndt·, r. p. /)er>irr!  ''Devinette''/1!•. - " lkl'lu « Berlu sur hcl'luberlu, si tu ne dcYincs devines pas, tu st·ras seras pendu. - I.e Le lierre S•=:HILLOT," /JcPirr. de /11 Haule llrel.
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