Cette espèce, ainsi que les espèces voisines, sont pour ainsi dire un classique de la
pharmacopée créole — comme de toutes les pharmacopées tropicales — fréquemment
signalées dans la littérature (RICHARD, 1937 ; LEMÉE, IV, 1956 ; BOUGEROL, 1978, etc.).
Actuellement, elle est utilisée en cataplasme en application locale comme antiinflammatoire
ou en cas d’envenimations consécutives à des piqûres d’insecte ou à des