''[[Doliocarpus]]'' spp. <ref>À titre indicatif, les ''Doliocarpus '' collectés par notre équipe sont :* ''[[Doliocarpus brevipedicellatus ]]'' Garcke (Grenand 608) ;* ''[[Doliocarpus dentatus ]]'' (Aubl.) Standl. (Gr. 1464) ;* ''[[Doliocarpus paraensis ]]'' Sleumer (Oldeman 3094) ;* ''[[Doliocarpus ]]'' sp. (Grenand 3271 ; Moretti 768).
</ref>
*Nom accepté : ''[[]]''
== Synonymie ==
utilisent l’eau contenue dans les tiges comme un remède absorbé brut contre la
coqueluche, la diarrhée et, en traitement de longue durée, contre le diabète <ref>AUBLET signale sous le nom de liane rouge des ''Tigarea'' (actuellement autant ''Tetracera'' que
''Doliocarpus'') dont la sève était alors utilisée comme dépuratif (''in '' DEVEZ, 1932).</ref>.On utilise également ces lianes de la même façon que les [[Clusia (Pharmacopées en Guyane)|''Clusia'']] (Clusiacées) pour soigner
la blesse ou ''sikgep'' <ref>La tige ou la sève d'un ''Doliocarpus'' non identifié sont utilisées par les Aluku, pour soigner les
douleurs abdominales, la blennorragie et les morsures de serpent (FLEURY, 1991). Les Urubu-Ka'apor utilisent la sève des ''Davilla'' et des ''Doliocarpus'' comme tonique (BALÉE, 1994).
En Guyana, les tiges de plusieurs Dilléniacées (dont ''Tetracera volubilis'' L.), en association ou non
avec d'autres plantes telles que ''[[Strychnos ]]'' spp. (Loganiacées) et [[Smilax (Pharmacopées en Guyane)|''Smilax schomburgkiana'']](SmilacacéeSmilacacées), sont considérées comme un puissant aphrodisiaque (VAN ANDEL, 2000).
</ref>.